et quand on met une R de 806 ohms en serie avec un pot de reglage de 220 ohms elle n’a pas besoin d’une telle préçision
idem pour toutes celles qui servent de talon aux pots
seule chose que l’on lui demande c’est sa stabilité en T°
c’est sans doute pour acceder a cette stabilité qu’ils ont utilisé des R a 1%
Ceci étant , il n’y avait aucune difficultés pour trouver des résistances à 1% dans les années 80 et j’ae n’ai jamais entendu dire du mal des montages de mr Thobois
La spécialité de Mr Thobois était la conception et la réalisation d’ensembles E/R pour la radiocommande de modèles réduits… Il a aussi décrit d’autres appareils utiles en R/C,chargeurs, testeurs de servos…
Et aussi des appareils de mesure pour mettre tout ça au point, oscillo,frequencemetre,generateurs…
On pouvait lui écrire, papier ,timbre ,enveloppe…il répondait
Vendait ses bobinages…
J’ai le souvenir de deux ouvrages de Francis Thobois : Construction d’ensembles de radiocommande et initiation à la radiocommande ainsi que ses articles dans Radio Pratique. Dans un autre domaine, il y avait Lucien Leveilley pour les petits récepteurs. En feuilletant des anciens numéros, je suis tombé sur des articles de Bernard Mourot dont Georges F6CER doit connaitre les montages. Je pense qu’il vaut mieux oublier ceux de Duranton.
je n’ai rien contre les schémas de Mr Thobois, le circuit imprimé pratiquement irréalisable avec des méthodes amateur en 1981 dixit Mr Thobois lui-meme, selectronic vendait le circuit imprimé, le kit complet et la face avant en « scotchcal » précisé dans l’article, c’est vrai qu’en 1981 les résistances à 1% n’existaient que dans la série E96 qui n’avaient pas les valeurs de e12-e24,
c’étaient les balbutiements de l’électronique amateur « moderne », pour souder une diode sur un circuit imprimé les revues conseillaient de faire un « anneau de chaleur », avec le fer à souder de 80 watts qui était courant pour le cablage des chassis lampes…
c’est toujours difficile de fixer les dates des évènements mais je pense que pour les diodes sensibles/fragiles à la température c’était bien avant 1980.
J’ai du faire mes 1ers circuits imprimés en 73 ou 74 avec des méthodes de bricoleur pauvre.
Feutre spécial pour la gravure directe, j’en ai fait aussi avec de la peinture glycéro en copiant les bords de piste directement sur le cuivre avec du papier carbone et avec un stylo bille pour faire le transfert du dessin,
Aprés (en 75) j’ai pu avoir accès à une insoleuse. c’était des pastilles et des bandes pour faire les transparents avec les plaques présensibilisées.
en 80 les circuits intégrés étaient largement utilisés.
Pour souder les transistors (silicium) et diodes avec des fers à point fine sans avoir besoin de prendre des précautions particulières
le coût des pcb elektor en 1978, le générateur de fonctions du numero 1 que j’ai acheté à l’époque : 35 FF en 1978 ce qui correspond à 25 euros actuels avec calcul de l’inflation, c’est bizarre çà me semblait cher à l’époque, alors que 25 euros me paraissent dérisoires aujourd’hui ?
il était simple face , sérigraphie, vernis épargne et non étamé mais un espece de vernis thermosoudable pour les pins
d’un autre coté je viens de simuler sur jlcpcb un 150x110mm qui est a peu pres la taille du generateur de fonctions, c’est 28 euros avec la méthode d’envoi la moins chere,