Oui, je sais, 6 postes, ce n’est qu’un embryon de collection, mais j’avais envie de faire découvrir ces ancêtres d’un autre âge…
Voilà donc le résultat d’une journée de rédaction, bonne lecture a tous ceux qui prendront le temps de me lire…
L’article est ici : http://www.radioman33.com/pages/postes-a-lampes/les-postes-batterie-1920-1930.html
Si vous trouvez des erreurs, n’hésitez pas à me les signaler, et merci à tous ceux qui ont répondu à mes questions !
Elle très étoffée cette collection par rapport à la mienne qui ne se compose que d’un poste Gody modèle Résonnance avec un diffuseur Amplion. Je crois d’ailleurs que le terme de « diffuseur » était encore employé à cette époque autant que celui de « haut- parleur ».
Au niveau du montage et de la présentation, il était bien difficile à cette époque de différencier un modèle amateur d’un modèle de marque qui se distinguait souvent que par la présence d’un logo.
Merci pour cette très intéressante présentation des tous premiers postes à batteries .
Le terme de « diffuseur » a été utilisé pour désigner les haut-parleurs électromagnétiques à membrane en carton ou parchemin entre 1927 et 1932, ceci pour les différencier les haut-parleurs à pavillon ou col de cygne utilisés précédemment dans la période 1921 et 1928 environ.
Le terme de haut-parleur est revenu ensuite avec les haut-parleurs électrodynamiques au début des années 30.
Le type et la méthode et les matériaux de construction étaient les mêmes que ce soit pour un amateur, un artisan constructeur, une marque plus importante ou une grande marque.
Un amateur expérimentait souvent divers montages et matériels, donc il n’est pas rare de voir des traces de ce passé dans des trous multiples, rebouchés ou non dans les plaques d’ébonite ou la planche de bois formant le châssis.
Comme par la suite avec les postes secteur, les artisans constructeurs qui fabriquaient et écoulaient localement leur production en très petites séries ne les signaient pas d’un nom ou d’un logo, ils ne faisaient pas non plus de publicité ou juste des annonces insérées dans la presse locale.
Finalement les petites « marques » régionales et artisans constructeurs connus et répertoriés ne sont que ceux qui ont laissé des traces, par une plaquette ou décalcomanie sur le poste, de la publicité avec description des postes ou des catalogues, ou alors une tradition orale qui s’est perpétuée jusqu’à notre époque.
bjr,
j’ai lu et parcouru énormément de revues et de livres avant de rédiger cet article, car mes connaissances dans ce domaine si particulier étaient proches de zéro !
si je peux conseiller un seul livre, c’est celui-là :
parce qu’il aborde le sujet de manière simple et compréhensible par tous…
Ensuite il y a le site de CFP-RADIO : une véritable mine de renseignements, dommage que leur forum ne soit plus suivi!
bjr,
Comme je l’ai dit plus haut avant d’écrire mon article (sans prétention aucune) je me suis énormément documenté!
J’ai lu ou parcouru les livres proposés, ainsi que de nombreuses revues qui sont dans les archives de DOCTSF.
j’ai ainsi appris beaucoup de choses sur la radio ancienne, cela ne s’est pas fait en un jour et il a fallu beaucoup essais plus ou moins réussis pour arriver a construire des postes fonctionnels et surtout faciles à utiliser…
Quand on pense que c’était il y a à peine 100 ans on voit aujourd’hui les progrès accomplis!
Je trouve pour ma part que les plus grands progrès ont été réalisés dans les récepteurs de radio dans la décennie 1929 - 1939, d’où l’on part des postes batterie construits en bois et ébonite pour terminer dix ans après avec des postes secteur de luxe avec accord automatique à moteur.
@Jeanmonod_Henri-Louis tout a fait ! Avec une production industrielle un coût en baisse une démocratisation massive et un développement parallèle de l industrie du disque sans compter une vie politique qui se multiplie liée à de nombreuses crises variées !!!
Doctsf (Modèles & Marques)
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