Bonjour à tous les Amis présents,
J’ai toujours pensé que Marthe DOURIAU n’existait pas et était en fait le pseudo de Marc DORY (voir photo ci-jointe)
Or on la voit en photo plus haut dans ce post!
Quelqu’un a-t’il une réponse à me donner ?
Merci par avance et sinçères amitiés à Vous Tous. Cordialement, B. THOMAS
Je pense que Marthe Douriau est son vrai nom
Elle avait dû prendre un pseudo car à cette époque , les femmes n’étaient pas vraiment prises au sérieux dans ces métiers dit "masculin "
J’ai trois livres d’elle , mais aucun sous son pseudo masculin
pour ceux qui sont dans le coin il peuvent lui rendre visite
Certains de ses ouvrages traitant de l’automobile ont été publiés sous le pseudonyme de Marc Dory. Marthe Douriau est née le 1er février 1899 à Bourges (18) et est décédée à Paris le 8 octobre 1968. Elle repose au cimetière de Menetou-Salon dans le Cher.
@Remi s’est également penché sur la carrière de Marthe Douriau, qui a également travaillé chez Ferrix.
Non , en fait j’en ai 4 , j’ai retrouvé « L’électricité et l’automobile » sous son pseudo
Bonsoir aux Amis présents,
Merci pour vos réponses qui ont (enfin) éclairées ma lanterne.
Donc Marthe DOURIAU a bien existé et c’est donc Marc DORY qui n’était qu’un pseudo. J’ai moi aussi quelques ouvrages tous signés Marthe DOURIAU.
Merci encore pour votre aide, bonne nuit à Tous & sincères Amitiés. B. THOMAS
Bonjour,
Marthe Douriau auteure de chroniques T.S.F. dans différents journaux et magazines.
Deux au hasard (cliquer 2X pour agrandir les pages)
Cet article sur les Ets ERGOS de Nice avec photos
Et celui ci sur l’alimentation des récepteurs sur Auto
Son Radio formulaire 54.2Mo est téléchargeable ici:
Bonne lecture
Bonjour Jean-Pierre,
Merci pour votre mail qui confirme bien toutes les réponses reçues précédement;
Merci encore pour votre recherche et votre interet pour ma question.
Sincères Salutations. Cordialement. B. THOMAS
Bonjour,
J’ai pu bobiner avec succès des transformateurs d’alimentation et de sortie simplement après avoir lu un de ses ouvrages sur les transformateurs, je n’ai eu besoin de rien d’autre.
Ses explications sont d’une grande limpidité, faciles à comprendre et on trouve très vite le tour de main à prendre.
Le calcul complet des transformateurs, dimensions, tôles fil, isolant y est très bien expliqué, c’est la bible du bobinier condensée dans 200 pages…
Je suis content d’avoir trouvé une photo de cette dame.
cdt,
Gérard
Bonjour à tous,
Marthe DOURIAU est née le 1er février 1899 à BOURGES et est décédée à PARIS en octobre 1968. Elle était originaire par sa mère de MENETOU-SALON et y est enterrée (le tombe en triste état existe toujours).
Elle a vécu à BOURGES jusque vers 1918/1920, ensuite je perds sa trace pour la retrouver à NICE où elle achète un appartement dans le Palais Colomba en 1935, à deux pas de chez FERRIX et ERGOS avenue St-Lambert. Elle n’y est probablement pas restée longtemps car les recensements postérieurs à 1936 ne la mentionnent plus.
Je la retrouve en 1948 à BOULOGNE-BILLANCOURT (elle a peut être travaillé chez RENAULT car certains de ses ouvrages traitent d’électricité auto). La même année, elle achète un appartement boulevard de la Tour Maubourg et semble travailler chez PHILIPS où elle termine sa carrière.
Elle est restée célibataire et a eu sa mère à charge jusqu’au décès de cette dernière en 1965.
Elle a légué ses biens à différentes personnes proches qui n’ont pas eu l’idée de venir entretenir la sépulture bien qu’ayant accepté la succession…Comme bien souvent hélas.
@guilhem
J’ai les deux livres sur le bobinage des transfo
Rien qu’avec les tableaux , on n’a pratiquement aucun calcul à faire
Tout les transfos que j’ai fais en m’aidant de ses livres ont fonctionnés impeccablement
Une photo d’elle agrandi ( j’aurai aimer la rencontrer à cette époque , c’était vraiment une belle femme )
Oui, elle était jeune là sur la photo.
A +.
@Remi Bonjour,
Son père Charles Douriau était tourneur sur bois au 33 rue Mirebeau à Bourges
Marthe - Renée - Antoinette Douriau est née à cette même adresse.
La sépulture à Menetou-Salon
Oui, la tombe est en triste état, j’y suis allé par deux fois et dernièrement en novembre 2022. La stèle en pierre calcaire est fendue et se délabre au gré du gel.
Charles DOURIAU est mort en 1918 et est enterré au cimetière St-Léonard de BOURGES. Marthe DOURIAU était fille unique.
Si je comprends bien, j’ai eu la bonne idée de poser ma première question en Octobre 2018 !
Que de réponses captivantes vous m’avez tous apportées !
Beaucoup d’autres auteurs mériteraient nos hommages posthumes.
Malgré mes demandes au Radio-Club de Nice, je n’ai pu obtenir de réponses satisfaisantes sur
F. VAGLIO (F8UI), rédacteur en chef de l’excellente revue « ONDES COURTES » au début des
années 50.
Quelqu’un pourrait-il m’aider ?
Amitiés à tous
Jean-Pierre
Bonjour aux Amis présents,
Un grand merci pour vos mails & recherches.
La photo de la tombe ne laisse plus aucun doute et est partiulièrement émouvante.
Je vous adresse encore tous mes remerciements et salutations. Cordialement. B.THOMAS (RFL 76).
Certes, la tombe est en triste état, mais elle existe encore, ce qui est une bonne chose, à mon humble avis. Je trouve toujours très émouvant de me trouver devant la tombe d’une personnalité, qui a beaucoup fait parler d’elle, dans un sens positif. Je m’étonne souvent combien une telle tombe peut-être modeste à côté de beaucoup d’autres tombes beaucoup plus « publicitaires ».
Marthe avait probablement eu la chance d’être enfant unique, car avec un frère, il n’est pas certain qu’elle ait pu faire des études pour devenir « ingénieur » comme écrit sur la carte de visite de Philips. De nos jours, on parlerait d’ingénieure ou d’ingénieuse. Je ne sais pas au juste.
Bonjour
On dirait « ingénieure », « ingénieuse » a une autre signification 
Mais une ingénieure peut être ingénieuse 
@F6BGV Bonjour F6BGV,
Avec F.Vaglio on a F6FXY de Nice
Avec F8UI on a Vidal Jean de Hyères
Je m’étais amusé à faire quelques recherches sur les auteurs d’ouvrages consacrés à la TSF et j’ai arrêté. Je me suis rendu compte que cela n’intéressait personne et encore moins les héritiers ou ayants-droits.
Pour Marthe DOURIAU, j’avais retrouvé un enfant d’une des légataires de cette dernière et cela ne l’intéressait pas.
A titre documentaire, je me suis aussi intéressé à Pierre HEMARDINQUER, ingénieur conseil auteur d’ouvrages sur la TSF mais aussi le cinéma d’amateur. J’ai découvert qu’il était né à REIMS en 1897 et mort en son domicile à PARIS 17 en 1979. Son fils, jean Jacques HEMARDINQUER était historien, décédé en janvier 2020.
Pierre HEMARDINQUER repose au cimetière du Montparnasse, il est assez facile à trouver car étant le cousin par sa mère de Raymond ARON, il est dans la même tombe.
J’avais écrit à l’héritière de Jean Jacques HEMARDINQUER pour savoir si elle accepterait de m’indiquer plus précisément le parcours de Pierre HEMARDINQUER. Je n’ai jamais eu de réponse…
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