Eh oui , le chauffeur Polonais , malheureusement , aurait tout bonnement suivi les indications de … son GPS !
[color=darkred]Souvenez vous , qu’ en toutes circonstances , le Commandant de bord , c’ est vous , et pas le GPS !
Et interrogez vous et méfiez vous le jour où on vous proposera une voiture sans volant , dans laquelle le GPS commandera directement la colonne de direction !!! ( pourquoi pas ??? )
Votre montre vous indique l’ heure , tout comme la carte routière vous indique le réseau routier ( mais pas la " soit disant " meilleure route à emprunter ! ) .
De même votre montre ne vous dit pas ( encore !) qu’ il est l’ heure de manger , d’ aller au boulot , ou d’ aller au lit ! C’ est encore vous qui prenez ces décisions …
Tout au plus , votre ’ réveil " vous informe qu’ il est l’ heure de vous lever, puisque à cet instant vous n’ êtes pas complètement conscient .
De même la carte routière vous informe que c’ est une route avec 10 km de lacets , et à forte pente !!! mais ne vous dit pas " tourner à droite à la prochaine intersection " !!!
Votre controleur universel vous indique la tension qu’ il mesure entre deux points , mais pas ( encore ) si vous pouvez y mettre le doigt !
Ceci dit, le GPS, surtout, ne dispense pas de l’observation des panneaux routiers. En l’occurence, la route était interdite aux autocars…
C’est donc le chauffeur, malheureusement décédé, et donc la compagnie qui est responsable.
L’assurance de cette compagnie a du souci à se faire. Si les familles polonaises ne sont pas niaises au point d’accuser la fatalité ou la main de Dieu, elles déposeront plainte et auront toutes les chances d’obtenir gain de cause, si ça ne ressucitera pas les victimes.
Dans quelques décennies ou quelques siècles, les gens voyageront grâce à la téléportation (gare aux mouches !), et la circulation donc la pollution routière ne seront plus qu’un souvenir ancien. De même que le GPS.
le " GPS " de nos voitures , utilise le système " GPS " pour se transformer en indicateur d’ itinéraire, en prenant des responsabilités sans en asumer les conséquences ! .
Le " GPS " en lui même , n’ est qu’ un indicateur de position ! , simplement pour savoir " où on est " !!
donc utile si on est perdu en forêt ou dans le désert …
Moi , j’ ai pas de GPS , simplement une bonne carte " Michelin "ou " IGN " , ou en ballade et randonnée " d’ état major " !!!
les " victimes " doivent donc aussi pouvoir , peur être , incriminer le " GPS " qui a omis d’ indiquer certaines informations fondamentales … par ex que la route était interdite aux cars non autorisés expressément !
exact , donc est ce que les " GPS " indiquent aussi les " restrictions " concernant les conseils donnés , tout comme la notice d’ un médicament indique les " mises en garde ", incompatibilités et " contre indications " ?? !!!
Tout à fait ! C’est le film « la mouche », dont il y a eu un remake avec Jeff Goldblum, sorti en 1987, d’où mon clin d’oeil .
Pas d’accord ! Comme vous le dites plus haut, la conduite relève de la responsabilité du conducteur. Le GPS ne se substitue en rien au code de la route.
GPS ou pas, le chauffeur était tenu de respecter les nombreux panneaux qui explicitaient très clairement l’interdiction aux poids lourds et notamment aux autocars.
moi aussi je l’ ai descendue , avec ma dauphine , sans ralentisseur électrique … entre 1964 et 1966, quand j’ étais étudiant à l’ INPG !
et je n’ ai pas fini dans le parapet !
je crois que déjà alors cette côte était interdite aux camions non munis de ces fameux ralentisseurs …
j’ ai aussi maintes fois monté à " la bastille " ! et même que les deux CV de l’ époque , qui ne " braquaient pas ", ne parvenaient pas à passer les lacets sans faire une manoeuvre et marche arrière ! et dans la cote du " rabot " , je les doublais par l’ intérieur du virage …
dans la montée du " rabot " les camions de fuel , qui ne pouvaient prendre les virages , montaient un lacet en marche avant , et le suivant en marche arrière , et ainsi de suite jusqu’ à la cité U !
je suis aussi revenu du lac de " la morte " , en hiver , en marche arrière sur 1500 m , jusqu’ à pouvoir retourner la dauphine " à la main " en la faisant riper sur la neige tassée , ayant terminé la petite route qui mène au village derrière le passage du chasse neige , qui s’ était " bêtement " arrété là , sans chauffeur ( disparu on ne sait où ?? ) sans faire un demi tour … et n’ ayant donc pu faire le mien de demi tour
et des fois aussi , au printemps , on montait prendre un demi à URIAGE , à vélo !!!
je sais pas si je saurais encore faire ( faut dire que j’ avais 22 ans et pas 63 , et que je pesais 56 kg , et pas 85 ! )
et on redescendait " à fond la caisse ", sans un coup de pédale ni casque, bien entendu ( ça n’ était pas à la mode à l’ époque " !! )
je suis aussi allé à Villard de Lans , et à ST Nizier du Mouchetrotte à mobylette , ainsi qu’ à St Pierre de Chartreuse … , en échangeant tous les 2 km la mobylette avec celle du copain qui chauffait ( lui pesait déjà au moins les 80kg !!! )
je suis ausi monté au " mont EYNARD " avec ma dauphine !
et j’ oubliais les montées aux " deux alpes " à 4 dans la deux pattes … qui n’ en pouvait plus … on descendait en marche dans les lacets , on coupait à pied par le " petit raccourci " et on arrivait avant le conducteur au dessus , pour remonter , en marche ( ou bien il ne repartait plus !!! )
dans les descentes de " la bastille « , même la seconde de la dauphine à trois vitesses s’ emballait, surtout si on était à quatre dedans , et fallait donner régulièrement un petit coup de frein , et particulièrement en arrivant dans les courbes en épingle à cheveux, sans abuser pour pas faire " chauffer » les garnitures , mais surtout pour pas aller " au décor " ! .
Qui se souvient des " garnitures " des freins de la dauphine ?? y avait pas beaucoup de surface , et les freins, tous quatre à tambours … étaient pas " assistés " !
En tant qu’automobiliste (très) « moyen », le seul intérêt que je trouve à ces appareils (mais je n’en ai pas…) est d’indiquer les RADARS fixes ou mobiles !!! Mais, pour un VRP perdu en région parisienne ou lyonnaise ou autre, ça doit vraiment être utile !!
Dites, les anciens, vous allez me faire chialer! J’y étais aussi dans le coin (4CV de 63 à 66, puis Dauphine d’occase) et je dépannais des postes pour la maison « cofrance » en vue d’arrondir mes fins de mois d’étudiant; on a sûrement dû se croiser (ou se doubler) dans le secteur.
Moi je suis quand même supris du nombre de co…ries qui peut se dire autour de cet accident sur le car lui même et la reglementation, (je passe le permis transport en commun actuellement)
d’une part la reglementation europenne exige un ralentisseur, ce véhicule est passé aux mines allemandes il en avait donc un, ensuite ce ralentisseur n’est pas forcément electrique il y en a d’autres: pneumatique sur échappement, hydraulique, mais l’electrique est toutefois le plus efficace, ensuite ce ralentisseur electrique appelé TELMA n’est qu’une marque et non un nom générique. Après les témoins affirment: le car utilisait en permanence son frein les feux s’éclairaient: Oui sauf que le ralentisseur actionne l’eclairage des feux stop!!!
Certes il y a eu faute du conducteur mais personne ne peut dire exactement ce qu’il s’est passé! Mais la moindre des choses pour les journalistes est de vérifier les propos et les reglementations avant de proférer des commentaires
c’ est vrai , et peut être y a pas si longtemps que ça , car le tunnel du chat , je l’ ai emprunté pas mal de fois ( et plus en dauphine ) ,il y a encore peu d’ années pour aller voir , pendant les vacances , mon ancienne correspondante de lycée ( décédée il y a deux ans ) , qui habitait , pour ses vieux jours , dans les Bauges à Jarsy , près du Chatelard !!!
Bien d’accord avec YOKY42. Pour ma part, je possède tous les permis depuis plus de 30 ans, plus pour la vie associative que professionnelle. Je connais bien la descente de Laffrey. Les plus grâves accidents qui s’y sont produits concernaient des cars de pèlerins, conduits par des chauffeurs peu habitués à la montagne. L’épave des cars est souvent retouvée avec un raport élevé, voire au point mort, ce qui laisse entendre que le chauffeur ne maitrise pas bien ou pas du tout le double débrayage ! … Qui, avec l’aide du compte tours, permet de rétrograder facilement, même de plusieurs viteses à la fois, ce que je le fais quotidiennement !
Les journalistes ont bien dit que les « stops » étaient allumés, mais aussi qu’il y avait de la fumée et des étincelles : preuve d’une descente au frein ! Le Telma et autres ralentisseursne fument pas et ne font pas d’étincelles ! Les freins étaient donc à bout, car trop sollicités ! Par ailleurs, il semble bien que ce voyage durait depuis plus d’une semaine, avec deux chauffeurs, d’accord, mais le repos hebdomadaire, où est-il passé ?
Conduire est une technique, conduire un car est un métier !
Compte tenu de l’importance du trafic « autocars » : lignes régulières, tourismes, ramassage scolaire, TER, il faut reconaître qu’il s’agit d’un moyen de transport sur. Sans parler de la deserte des stations de sports d’hiver, qui fonctionne sans incidents malgré des conditions climatiques difficiles. Tignes par exemple.
Je n’oublierai jamais les vacances sublimes (tout l’été), passées à St Martin d’Uriage et sa piscine municipale… Ouuuhhhhhh il y a longtemps, longtemps, peut-être même une précédente incarnation, j’me souviens plus bien !!! 1955 ou 56 sans doute ???
Mais à l’époque c’était pas moi qui conduisait…
En revanche cette pente de Laffrey, je l’ai faite « en stop » en 1966, je ne me souviens plus le type de voiture qui m’avais pris en charge, p’tèt ben une Simca 1300 ou 1500, mais tout s’était bien passé. Ouf !
Quand un grand navire rentre au port ,et qu’ il y a risque ou des endroits sensibles ( bais de Seine , Loire ?, Gironde, etc ) , on " embarque un " pilote " qui prend la barre et commande à la machine …
pourquoi pas imposer un " pilote " en début de course pour des trajets comme la descente de Laffrey … un pilote qui prendrait le volant du car du haut en bas de la côte … et payant , bien sur , pour les véhicules " non autorisés " , et après inventaire des " moyens techniques " du car et de son état général …
J’ ai connu il y a une 20aine d’ années l’ autoroute menton - nice .
l’ autoroute n’ était pas encore doublé ( les doublages des ponts et tunnels pas faits ), il n’ y avait donc sur certains tronçons qu’ une seule file de circulation dans chaque sens .
Au péage de " la turbie " avant la grande descente vers Nice , ESCOTA organisait des convois d’ une dizaine de poids lourds , derrière une voiture pilote … pour imposer le respect de la vitesse de descente … et tout le monde suivait jusqu’ en bas , y compris les VP … car comme il n’ y avait qu’ une file , et on ne pouvait pas " doubler "!
Moi il y a tout de même un truc que je pige pas, chez nos amis autrichiens par exemple on trouve des routes autrement plus dangereuses, plus accentuées, des dénivelés bien plus important sans que cela soit interdit à la circulation des poids lourds! Sans qu’il y est plus d’accidents pour autant!
Un accident est toujours regrettable mais tant qu’on aura des cars des camions, des voitures on aura des accidents…
Je ne suis pas persuadé qu’un même accident d’un car français en Pologne fasse le même « scandale »
D’autre part le telma arrive également à chauffer, notemment si le pont dégage un peu d’huile (je l’ai déja vu) mais il suffit de le désenclancher et continuer à rouler pour le refroidir
Pour le car je suis persuadé qu’il avait un ralentisseur seulement personne ne peut dire ici pour quelle raison il a été amené à utiliser son frein principal (mauvais usage du ralentisseur? désenclanché trop tôt? , mauvais fonctionnement ?! Conducteur inexpérimenté? ) Bref avant de jeter l’opprobe sur ce conducteur il convient de savoir ce qu’il s’est passé, dans le transport tout n’est pas facile et le conducteur peut subir une grosse pression de par son employeur (temps, consommation…)
les médias en France ne vivent et ne sont friands que de scandales , d’ accidents et de catastrophes … y a qu’ à ouvrir la radio le matin en se levant , y a que ça . à croire que les français aiment ça , vivre en permanence avec des nouvelles de catastrophes , attentats , du sang , des morts et des larmes …
quand on a un peu voyagé …
y a qu’ à aller voir en Colombie , dans la traversée des andes , entre Bogota et Cali , sur la " linea cinquo " c’ est pas une fois tous les 30 ans , c’ est une fois par semaine , si ce n’ est plus , qu’ un car avec 50 personnes descend au ravin ( au pire ) ou se retourne dans une champ de sorgho ou de riz ( au mieux ) !
et quand un train déraille en Inde et fait 500 morts … c’ est 30 secondes au JT du soir … d’ ailleurs , que peut on y changer ?.. à part subventionner la rénovation des chemins de fer indiens , et leur vendre des TGV ???
et ils seraient bien encore capables d’ y voyager sur le toit , et de se faire électrocuter … on serait bien avancés
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