Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesBonsoir Yves,
C’est en effet intéressant de voir la différence de décoration extérieure sur une même base de disposition des constituants principaux (CV, pot. volume, etc…). L’évolution technologique (circuit imprimé) n’a pas empêché d’ écouler le stock des boitiers façon cuir. Une modification de l’enjoliveur et voila un nouveau modèle.
Merci pour l’indication de la marque. J’ai eu la flemme d’effectuer des recherches.
J’ai également un modèle Océanic à photographier, mais il fait trop sombre: l’orage arrive 
.
Cordialement
J-F.
Bonjour à tous,
Un OCEANIC pour faire suite…
Et pour terminer, du moins pour l’instant…un AKKORD « Pinguin U 60 » de 1960, je suppose.
Il possède: GO - PO - OC - FM - PU sur son clavier ainsi que deux antennes télescopiques. Un vrai bijou de fabrication impeccable. C’est allemand…
Bon week-end et bonne chine à tous.
J_F
bonsoir !
un appareil Radio-Volca (de Mauron 56) à transistors.
Bernard Grégoire pense que je devrais en parler ici. On en parlait mais on n’en voyait jamais.
voici ses entrailles (j’ai mis la boîte, skaï sur bois, sur le GL)
le « châssis » support n’est pas en tôle, c’est déjà une plaque (non cuivrée) perçée pour encore un câblage à l’ancienne.
6 transistors genre OCxx (sauf 1 mais de substitution car meilleur fonctionnement avec un vrai OC70 ).
GO PO OC prise antenne auto
bien amicalement
Ces supports pour transistors étaient des cochonneries finies: très vite ça crachait, faux contacts, coupures… Pas étonnant qu’ils n’aient été utilisés que très peu de temps.
Bonsoir Jean,
Pourtant il devait en exister de meilleure qualité.
Par exemple, j’ai un Zenith TransOceanic RD-7000Y du début des années 70, un de ces gros modèles mondiaux à ondes courtes + FM. Tous les transistors sont montés sur supports et je n’ai jamais eu un problème de ce côté-là.
Cordialement
jhalphen
Ces supports étaient utilisés à l’époque où les transistors coûtaient aussi cher, sinon plus que les lampes…
C’est qu’ils craignaient drôlement la chaleur de la soudure ! 
Et pour éviter l’échauffement, on laissait les pattes les plus longues possible, certains constructeurs s’étaient fait une spécialité de monter les transistors « tête en bas », pattes repliées, comme ici ce Philips L0F90T de 1960.
Bonjour,
Sans vouloir nier cette réalité, je crois qu’il faut relativiser. A l’époque, je soudais, dessoudais et ressoudais les mêmes transistors et composants pour mes petits montages, et je n’ai jamais eu un transistor qui a claqué à cause de la chaleur.
Je crois que tout dépend de la puissance du fer. Avec un fer relativement puissant, le contact du fer ne dure qu’une demi-seconde, pas le temps de bousiller un transistor. En revanche, si le fer n’est pas assez puissant, il faut le laisser plus longtemps au contact, et là, la chaleur a alors le temps de monter le long des fils.
Mais le fait que je n’en ai pas fait l’expérience ne contredit pas l’existence du risque, puisque tout le monde en fait état y compris les revues spécialisées, qui conseillaient de tenir les fils des transistors avec une pince au moment de la soudure, pour dissiper la chaleur issue du fer.
Cordialement
Bonsoir la Compagnie,
Pour éviter de chauffer les pattes des transistors il était conseillé de réaliser un shunt thermique à l’aide d’une pince croco et d’une fiche de prise de courant.
Au début des années 60, j’ai réalisé quelques postes, pour moi et ma famille, en utilisant des supports pour transistors. Je n’ai jamais eu de problèmes de contact.
Cordialement.
Sacavis
![P1000896 [].JPG](/uploads/default/original/3X/b/d/bd74f146d4077528478998d23e6899726d44ea74.jpeg)
Je pense aussi qu’à l’époque les constructeurs qui découvraient ces nouveaux composants n’étaient pas forcément convaincus de leur fiabilité et pensaient qu’il faudrait sans doute les remplacer de temps en temps, comme les tubes, d’où l’utilisation de supports.
Mais c’est certain qu’avec le temps ces supports créent plus de problèmes qu’autre chose, j’ai du en éliminer plusieurs sur des Schaub-Lorenz (T40 et T50) qui provoquaient des mauvais contacts à cause de l’oxydation.
Et les transistors ressoudés n’en sont pas morts, malgré des pattes courtes. 
J’ajoute le récepteur Transfar de 1958 (année de la 403 familiale !) à la liste , hélas pas de photo dispo .
JLF+
La sonorité particulière de ces modèles tient pour beaucoup à l’utilisation de transistors germanium et surtout de transfos inter étage et de sortie surdimensionnés;les constatations sont les mèmes sur un montage à lampes quand le transfo de sortie est trop petit,le son parait coincé.Avec des gros transfos il se libère plus.
Les postes à 5 transistors(la voix de son maitre par exemple) de cette époque sont intéressants;quelqu’un aurait -il des infos ou schémas?
Ah le son du germanium qui libère l’écoute !
:mrgreen:
et époque bénie bien éloignée des contraintes budgétaires… 
D’ailleurs à ce sujet je recherche des éléments sur les radios qui ne comportaient que 5 transistors
j’en connais 2 pour le moment:le ra208t de radiola et le popstor 2 de schneider;quelqu’un en connaitrait-il d’autres?
Bonjour à tous.
On peut toujours rêver mais l’un d’entre vous aurait-il dans son bo…el le boîtier à piles du Technifrance TR83 ?
Dans le mien il manque une des languettes positives…
Je trouve ce poste totalement craquant : 8 transistors germanium tout riquiqui dans un énorme châssis et coffret en bois 
J’avais lu sur ce forum, je crois, que Technifrance avait sorti 2 ou 3 ans avant le même modèle exactement mais dans sa version lampes …
Je dispose, malgré un manque de place flagrant dans mon petit appart. d’une quinzaine de ces adorables vieilleries ( Reela, Ducretet, Sonolor,… ) et j’aimerais beaucoup entendre chanter le Technifrance !!
Dans un autre domaine, j’ai également des récepteurs OM « vintage » : Kenwood R-599D, Icom IC-R70, Yaesu FRG 7700…
Et une totale folie : le ICOM IC-R8500 acheté neuf 2000 euros ( OUI !!! ) en 2003 
J’avais encore un peu de sous à dépenser à l’époque… !
Mais je ne suis pas fou au point d’envisager l’achat du ICOM IC-R9500 : 13 000 euros
A bientôt
René du 9-5
Bonjour,
Pour ma part je m’étais fait plaisir avec du Icom aussi, le petit IC-R20 (petit que par la taille) :
radio-store.fr/fr/scanners-s … c-r20.html
Franchement c’est une roll’s ce scanner, et il me sert beaucoup pour faire des tests divers et variés. Le bac à batterie peut également recevoir 3 piles LR6, en cas de panne de batterie c’est toujours utile 8)
Mais on est là bien loin des premiers transistors…
Pour revenir aux premiers récepteurs, je viens de trouver un Pizon Bros de 1958 de conception assez originale : transistors germanium NPN en oscillateur/mélangeur+MF et germanium PNP en BF. Masse au -9 Volts.
doctsf.com/grandlivre/fiche.php?ref=24192&ori=fu
Les NPN ont une drôle de tête avec leur petite cheminée…
Si quelqu’un a le schéma… Merci.
Curieux en effet !
