Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesUne diode serait peut-etre plus efficace à cet endroit 
… sans diode ça devrait KRAKRAPETPETPET…
Et personnellement je met un fil blindé audio mais sans raccorder la masse d’un côté. Si je branche la masse des deux côtés j’ai a chaque fois un ronflement.
Vous jouez sur les mots mais vous m’avez bien compris le 470µF vient bien entendu filtrer après une 1N4007 ou BA159 qui redresse la tension filament.
Moi je n’ai jamais rencontré ce phénomène, mon module Bluetooth est raccordé sur l’entrée PU ou sur le potentiomètre volume directement, sans condensateur avec un câble audio banal (fourni avec le module BT) et la masse au châssis du poste, ça fonctionne très bien a tous les coups, maintenant en module BT je ne monte que celui là j’en ai jamais essayé d’autres…
C’est pourquoi on parle de « boucle » de masse. 
Sur ce problème de boucles de masse, sa compréhension et comment éviter, j’ai trouvé ce document très utile.
Je le cite pour référence à ceux qui passerons par ici.
https://www.pascalchour.fr/ressources/repar_ampli/bruits/bruits.htm
On peux y lire…
Vous devez acquérir des compétences et cela prend du temps. La bonne nouvelle est que ce n’est pas trop compliqué. La mauvaise nouvelle est que ce n’est pas simple non plus. Beaucoup de pratique et une grande patience est nécessaire.
le probleme des boucles de masse avec certains modules bluetooth, c’est pas tant qu’il faut de l’experience pour les éviter, c’est surtout que les circuits imprimés sont au rabais.
et donc les masses ne sont pas séparées comme ça devrait l’être sur tout montage numérique/analogique.
donc parfois, même avec la meilleure volonté du monde, les boucles viennent de la conception même du truc.
Bonjour,
oui, les problèmes de boucles de masse sont fréquents, et assez « casse bonbons » , et encore, dans le cas d’un poste de radio et un module BT, ça reste assez simple (assez peu de connexions a suspecter), ou contournable (par alimentation séparée ou liaison avec isolement par transfo BF )
Dans le cas de la sono, et si celle ci est constitué de nombreux éléments disparates, c’est un mal bien plus compliqué a diagnostiquer et à guérir, et qui vient effectivement souvent de la conception interne des appareils …
Ou bien, les appareils ont un « ground-lift » (en pratique, un inter qui coupe les masses mais pas la terre du secteur pour des raisons de sécurité) et on essaye le « ground-lift » de chaque appareil (on finis pas trouver lequel , et par faire cesser la boucle)
Ou bien ils n’en ont pas, et a défaut d’autre chose on en vient à déconnecter tous les vert/jaunes des appareils fautifs ! (en général, ce moyen arrive a faire cesser les ronflettes, la boucle cesse, mais on perd aussi la sécurité électrique !)
Ou bien, et si il s’agit d’établissement recevant du public, et dans lesquels on ne peux pas se permettre de déconnecter tous les vert/jaunes , et qu’on ne sais plus quoi faire, on laisse ronfler ! (c’est ainsi qu’un certain nombre de sono de P.A de gares, ou de supermarchés, diffusent des annonces affecté d’un « buzzz » ou d’un « hummm » permanent se superposant à la vois du speaker qui est au micro…Enfin bon, les annonces de ce genre d’endroits elles même n’ont souvent rien de bon non plus, si c’est pour annoncer un truc du genre "le train numéro 5958 est annoncé avec un retard de 1h30 environ " !)
sloup
La séparation des masses analogiques et numériques… Difficile en pratique, pas forcément efficace. Pour un truc aussi simple, un bon plan de masse doit suffire.
peut être, mais je t’assures que certains modules sont de vrais passoires à cause de leur plan de masse foireux.
et la seule façon dont j’ai pu mettre fin à la pollution numérique, c’est d’utiliser les filtres que j’ai posté plus haut.
Bonjour,
une autre méthode, radicale, pour éviter des boucles de masses, ou des pollutions numériques, dans un appareil ancien, c’est de ne pas le modifier du tout, pour ne pas « faire entrer le loup dans la bergerie » ! Mais de le restaurer à l’identique …avec les lampes d’époque, valeur de composants d’époque , schéma d’époque , pour recevoir de l’ A.M comme à l’époque…
Puis
De moduler un mini emmetteur A.M, de fabrication perso, avec une source numérique actuelle (lecteur multimédia et clé USB, récepteur Blue-Tooth…) , qu’on recevra ensuite par l’antenne et les étages des récepteurs restaurés comme à l’origine (c’est, et de loin, la solution que je préfère, même si on a l’inconvénient d’une moindre qualité d’écoute… mais, après tout, c’étais le son des grandes et des petites ondes comme à l’époque !)
sloup
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C’est aussi la solution que je préfère, car elle laisse les choses authentiques au maximum. La qualité d’écoute est celle de l’AM, avec un espacement des canaux de 9 kHz. Les audiophiles seront horrifiés. Tant pis pour eux !
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On pourrait aussi opter pour une installation à base de cosses permettant d’enlever toute addition à moindre frais et remettre un poste à sa configuration d’origine (mais restauré).
Dans le cas présent si j’avais gardé le HP d’origine je pourrais juste enlever les deux cosses de branchement sur la tension filament et les fiches banane de la prise PU et le poste serait juste restauré.
Une solution également c’est d’utiliser un transformateur de liaison BF comme le Neutrik NTE4 par exemple qui avec un rapport 1 : 4 permet encore d’augmenter le gain sur l’entrée PU tout en assurant une séparation galvanique et donc une coupure des boucles de masse :
PS : D’autre modèles équivalents existent sur AliExpress moins chers.
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D’autant que les impédances sonr bien basses pour une entrée PU , ça risque de manquer de basses 
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Merci pour ces infos!
Elle m’ont été très utiles pour la modification d’un poste radio à piles décrite ici.
Je voudrais donc signaler leur pertinence pour les lecteurs éventuels de ce fil de discussion.
Dans mon cas à la place du gros filtre des interférences pour auto cité j’ai pu mettre un petit transfo de sortie audio 1:1 600 Ohm ce qui peut avoir un intérêt en soi.
