Cherche une solution de protection des batteries NiMH contre la sur-décharge…
J’ai commencé à travailler avec des piles et batteries rechargeables NiMH dans le cadre de la remise en service d’un poste portatif.
Avant de commencer ce travail je dois préciser que mon experience avec les batteries rechargeables, et NiMH en particulier, était proche de zéro.
Aujourd’hui c’est la problématique de la sur-décharge (Nickel–metal hydride battery - Wikipedia) qui me préoccupe…
Il s’avère que même si les cellules NiMH individuelles peuvent se décharger à 0V sans problème, quand on les met en série c’est une autre histoire. Le déséquilibre de charge des cellules individuelles peut provoquer une inversion de polarité des cellules moins chargées et les détruire.
Après des recherches que j’ai fait sur internet on peut lire tout et n’importe quoi alors si quelqu’un dans ce forum aurait une solution simple qui marche je suis preneur !
pour éviter ce genre de problème de décharge trop profonde, et d’inversion de polarités, il faudrai
selectionner des éléments tous de même capacité, même marque, même modèle, et de même date de fabrication, et les charger a la même tension (pour partir sur de bonnes bases avec une batterie bien équilibrée)
disposer en parallèle inverse sur chaque élément des diodes shottky, a très faible tension de seuil, et supportant le courant de charge maximal présumé du chargeur (pour éviter l’inversion de polarités)
prévoir sur l’appareil récepteur un dispositif qui l’arrête complètement si la tension est vraiment trop basse , pour qu’il ne continue pas de consommer et de décharger les accus tout en ne faisant plus rien (pour éviter la décharge trop profonde)
Le problème est vraiment exacerbé par le fait qu’une batterie HT (90V) faite en mettant 10 6F22 en série signifie qu’on a 70 cellules de 1.2V en serie !
C’est justement à cela que je pense et je voudrais savoir si qqun avait déjà l’occasion d’en faire l’expérience.
Cela signifie d’ajouter une schottky sur chaque batterie de 9V qui compose le pack HT (10x9V en serie). Cela va protéger mais aussi baisser la tension de service.
À priori ça ne doit pas poser de problème…
…à moins que cela doit être compensé par le dispositif de rechargement qui verra toujours de batteries en apparence moins chargées…
c’est pas en serie mais en //
le but de la diode est le limiter la tension inverse a 0.2 a 0.3V la chimie electrolytique n’operant pas a cette basse tension
l’arrêt automatique peux, si on veux rester dans des techniques simples et rustiques, se faire par un relais , n’ayant pas besoin d’ être bistable, si il est monté avec un contact d’automaintien ( mais ça suppose une commande par boutons poussoirs M/A comme sur les machines industrielles) et en intercalant une diode zener en série avec sa bobine (bobine qui cessera d’être alimenté en deçà d’une certaine tension )
Une Zener (ou une combinaison) bien choisie montée « à l’envers » et qui attaque la gate d’un MOSFET N doit faire le boulot il me semble. La tension Zener doit être celle à laquelle on veut couper l’alim.
@Radiolo
Question : si on met une diode en parallèle à une batterie nimh 9V qui en interne est faite en mettant 7 cellules de 1.2V en serie, cela ne protège pas les cellules individuelles…
Dans ce cas je devrais plutôt m’orienter à une solution pour déconnecter la charge dès que la tension baisse au dessus de 7V par exemple.