Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesSi je ne me trompe, on ne peut prouver ni son existence, ni sa non-existence.
Ces personnes n’étaient donc pas vraiment et définitivement mortes!
1 « J'aime »
Une série qui a bien des détracteurs.
Pourtant, comparée à une foule d’autres séries de tous genres, il n’y a pas étalage de violence.
Et même, certaines scènes sont assez émouvantes : quand il la protèges de centaines de balles sous ses ailes, alors que sa présence le rend mortel et qu’il se laisse délibérément déchiqueter pour que elle, elle n’ait pas une égratignure.
Une définition de l’amour qui n’a rien à envier aux séries à l’eau de rose d’autant qu’elle ne veut toujours pas de lui comme compagnon.
Mais il l’aime et il ne lui arrivera rien dusse t’il y laisser la vie mortelle qu’il a choisie et risquer de la perdre Elle puisque si il meurt il retourne seul aux enfers sans retour (tandis que si elle meurt ils seront ensemble pour l’éternité).
Je ne suis pas prêt d’oublier cette scène.
Et la petite mort dans tout ça ?
Bière célèbre depuis qu’une enseigne belge a offert une mort subite pour 2 corona achetées.
Franchement, je préfère Lucifer en boite de nuit qu’un vieux barbu sur un nuage… 
cdt,
gérard
Il paraît qu’il aime les havanes!
Lorsque le sang ne circule plus, l’électroencéphalogramme plat, donc aucune activité électrique dans le cerveau, normalement il ne devrait plus y avoir de conscience en état de marche.
Après, il est toujours possible, avant que les tissus cérébraux et cardiaques ne soient totalement altérés de relancer la machine. C’est ce qui se passe parfois.
Certains physiciens aujourd’hui émettent l’hypothèse que la « conscience » n’est pas forcément organique c’est à dire induite par des impulsions électriques dans les circuits neuronaux, mais soit extérieure à l’organisme et non organique, ce qui expliquerait sa survie après la mort physique du corps. Et expliquerait les récits faits par ceux qui ont vécu des NDE.
Pure hypothèse bien entendu, je n’en fais pas une profession de foi, et je n’en sais pas plus que quiconque, mais ce genre de choses m’intéresse, celles-là comme bien d’autres. Et j’ai toujours aimé les choses un peu mystérieuses, que personne ne peut expliquer… 
1 « J'aime »
la mort constitue le plus grand mystère pour l’humain, pas étonnant qu’il y ait un tas d’hypothèses non vérifiées…
Chacun d’entre nous connaîtra la vérité un jour, mais rien ne presse…
cdt,
gérard
1 « J'aime »
Vous avez mis le doigt dessus messieurs : on saura un jour (peut-être) la réponse à la question -aussi tard que faire se peut- et comme pour toute question sans réponse toutes les théories sont permises, les meilleures comme les pires.
J’ai lu il y a longtemps une théorie intéressante qui utilisait des analogies avec l’informatique pour expliquer un phénomène difficile à interpréter.
En cas de plantage de l’unité centrale, un sous-programme tente de rebooter la machine et c’est le spectacle de ce sous-programme et de ses effets qui donne lieu à toutes les interprétations de vie après la mort etc.
Un peu comme un ordi qui gèle complètement, avec un utilitaire qui essaie de relancer les fonctions primaires qui assurent l’alimentation de l’UC, une sorte de sous-programme de réanimation intégré dont certaines manifestations sont spectaculaires ; convulsions etc
C’était pas idiot comme théorie.
Bill Gates s’est d’ailleurs probablement inspiré de cette théorie lorsqu’il a installé le démarrage en mode sans échec sur les premières versions de windows!.. 
Té, ce n’est pas impossible.
Après tout vu sous un certain angle une bonne part de la créativité des hommes est employée à reproduire des phénomènes biologiques sans leur(s) support(s) biologique(s), trop facilement corruptible(s) à l’idée de certains.
Substituer le techno au bio, pour des résultats pas toujours très logiques : difficile de reproduire ce qu’on ne connait pas toujours très bien.
C’est un peu comme la photo d’un tableau de maître : l’image est là, mais pas les coups de pinceau du peintre, la magie de ses mains qui éclaire le monde pour nos yeux qui ne voient rien ; ce tout petit supplément d’âme, cette petite flamme.
Rien ne presse en effet ! Tout viendra en son temps.
Comme le disent les Byrds
Il y a un temps pour tout : un temps pour naître, un temps pour mourir,
un temps pour planter, un temps pour récolter
un temps pour danser, un temps pour se lamenter.
un temps pour rire, un temps pour pleurer
un temps pour construire, un temps pour échouer…
Un temps pour faire la guerre, un temps pour faire la paix.
Un temps pour aimer, un temps pour haïr, etc…
Quant à mourir pour des idées … La plupart du temps, hélas, on meurt joyeux pour les idées des autres. Tant on n’est pas toujours capables d’avoir les siennes propres.
Bonne soirée, je sors… (profiter de la vie)
Turn, turn, turn …
Cette belle chanson est en fait tirée de l’Ecclésiaste, chapitre 3 dont voici le texte dans la version King James de la Bible :
King James Version
3 To every thing there is a season, and a time to every purpose under the heaven:
2 A time to be born, and a time to die; a time to plant, and a time to pluck up that which is planted;
3 A time to kill, and a time to heal; a time to break down, and a time to build up;
4 A time to weep, and a time to laugh; a time to mourn, and a time to dance;
5 A time to cast away stones, and a time to gather stones together; a time to embrace, and a time to refrain from embracing;
6 A time to get, and a time to lose; a time to keep, and a time to cast away;
7 A time to rend, and a time to sew; a time to keep silence, and a time to speak;
8 A time to love, and a time to hate; a time of war, and a time of peace.
Il y a des passages sublimes dans la Bible, y compris dans l’ancien testament. Et c’est un mécréant qui vous le dit !
On peut aimer le même objet pour différentes raisons.
Devant un lac alpin, le lien entre le biologiste qui admire faune et flore, le géologue qui admire la formation géologique, le peintre qui admire la lumière et les couleurs, et l’imbécile que je suis qui patauge dans l’eau, tout le monde aime ce lac, mais pas pour les même raisons.
Il me semble qu’il n’est pas rare que les raisons divisent, elles devraient pourtant réunir.
Pourquoi attendre qu’un objet quelconque soit sous une menace quelconque pour changer de manière d’être et qu’il réunisse enfin ?
Chaque façon d’aimer le lac de chaque personne devrait réunir autour de ce lac qui est à sa manière l’objet du plaisir de vivre de chacun sur l’instant, à minima, un des plaisirs de la vie parmi d’autres.
Non ?
Je ne suis pas très clair,et n’ai pourtant pas pris l’apéro. Enfin pas encore.
Je vous souhaite à toutes et tous une excellente soirée sous ce ciel majestueux qui réchauffe nos os et nos cœurs.
J’ai réfléchi qu’on pouvait résumer en 7 mots :
Il y a un temps pour tout.
De toutes ses tristes histoires , c’est une des pensée de Pierre Dac " La mort n’est, en définitive , le résultat d’un défaut d’éducation puisqu’elle est la conséquence d’un manque de savoir vivre ".
Pour moi, quand on est mort c’est exactement comme avant de naître, et cela durera aussi longtemps après qu’avant. Moins l’infini et plus l’infini! (peut-être l’inverse)
Ce n’est même pas vrai de dire « tu étais poussière et tu redeviendras poussière » car une poussière ce n’est pas rien alors qu’avant d’être conçu on n’était vraiment rien et après la mort même la moindre poussière de notre corps finira par disparaître.
Je crois que le problème au sujet de la mort est dû au fait que nous raisonnons en tant qu’être vivant et qu’on se souvient de ceux qu’on a connus et ce d’autant plus longtemps que ceux-ci étaient et restent des célébrités.
Par contre, pour celui qui est mort, lorsque tous ceux qui nous ont connus, de près et de loin, mourront aussi, c’est exactement comme si on n’avait jamais existé.
Conclusion; on ne fait que passer, certains laissent des traces (plus ou moins durables), d’autres non ou très brèves…