intéressant ,il y a un long travail sur les CV qui sont à démonter entièrement pièce par pièce , ,le jeu en vaut la chandelle , et le résultat final récompense les efforts , bon restauration
Ce sont des 4 volts c’est sur, mais je ne connais pas les références à part une A409, dans cette radio il y avait 10 lampes dont 6 cassées, elles etaient toutes en vrac dans l’ébénisterie
J’ai dépanné un amplificateur DYNACORD type GIGANT II de 1972 (mono 150W eff).
L’étage de sortie est équipé d’un tube ECC81 et de 4 tubes EL34.
Vu la valeur des tensions Vg1 des tubes EL34 (- 45V environ), je pense qu’il s’agit d’un étage de sortie fonctionnant en classe B (je n’ai pas le schéma de l’appareil et je ne l’ai pas trouvé sur le net).
Quatre résistances ajustables permettent de modifier individuellement le courant de repos des tubes EL34.
A quelle valeur ce courant de repos doit-il être règlé ?
Faut-il respecter une procédure bien particulière ?
Si un jour votre fils ou votre petit fils vous demande papa ou grand père comment ca marche un moteur électrique allez voir ce site avec lui et n’oubliez pas de lui en construire un !.
Bonsoir
Le courant de repos de l’EL34 se situe au alentour de 75 mA.Si vous réglé à une intensité inférieure vous perdez un peu de puissance mais vous prolongez vos tubes par contre si vous réglez au dessus de cette valeur les plaques vont se mettre à rougir.
La méthode :
-mettre qu’une seul EL34 à la fois et ne pas les intervertir (même si elles sont appairées)
-il faut mettre un ampèremètre en série sur le circuit HT réglé sur 100mA(Si vous n’avez pas de schéma vous faites varier un des potentiomètre puis un autre vous devriez trouver le bon).
Il faut attendre à chaque réglage de tube qu’il prennes sa température car l’intensité risque de varier légèrement [megret]
La tension plaque vaut 800 V.
Pour un courant de repos de 75 mA, on obtient 60 W de dissipation anodique.
Cette valeur n’est-elle pas un peu trop élevée ?
Le data-sheet de la EL34 donne une dissipation anodique maximale de 25 W. [Paul]
J’ai joué des années avec un GigantII que j’avais restauré à l’époque de sa découverte…dans une poubelle!
J’ai déja décrit sur le forum la constitution du transfo de sortie de cet ampli,de qualité exceptionnelle…
Il s’agit bien d’un montage en pure classe B,la tension plaque étant de 800 volts à vide et +/- 650 volts en charge,la tension écran est de 300 volts…il est évident qu’un courant de repos de 75ma est içi nettement exagéré;je n’ai plus en mémoire la bonne valeur mais elle est facile à calculer…une valeur de 40 ma semble adéquate;les résistances dans les circuits de cathode doivent vous permettre de contrôler ces courants.
Dans ces conditions,la puissance de sortie s’élève à 150 watts efficaces.
NB:dans cet appareil,les préampli sont alimentés par un circuit régulé à l’aide d’une grosse zéner de 24 volts située près des capas HT;cette zéner est une source fréquente de panne,il convient içi de veiller à améliorer son refroidissement(monter un radiateur en étoile sur le corps et appliquer un peu de pâte thermoconductrice au point de serrage sur le chassis)…
J’ai regretté de m’être séparé de cet appareil exceptionnel,dont la table de mixage présente des possibilités très intéressantes…prenez soin du vôtre…
Autre moteur électrique curieux qui rappelle la machine à vapeur. Ce moteur, comme le précédent de Louis Chainon, servaient à faire tourner des tube de Geissler (vers 1910)…
A l’arrière loco Marescot de 1925… ça change un peu de la TSF. [JC Jardine]
Dynacord c’était David Hafler, le créateur de Dynaco et de l’ultra-linéaire, le patron d’Ortofon et aussi, je crois, de Scan-Dyna. Je suppose donc que votre ampli Dynacord a un schéma proche de celui d’un Dynaco. J’en ai plusieurs en archives, je n’en ai pas qui utilise quatre tubes EL34 mais il me semble bien que ce type d’ampli 150 W a existé chez Dynaco. Je pense qu’il faudrait faire une recherche sur le net avec Dynaco et non Dynacord. Voici le schéma du Dynaco MK IV 40 watts qui pourra peut-être vous aider. La polarisation se règle avec le potentiomètre de 10 k de l’alim afin d’obtenir 1,56 volts sur les cathodes de EL34 ce qui correspond à 58 mA par tube.
Dynacord, n’a rien a voir avec Dynaco qui est effectivement la gamme de matériel hi-fi disposnible en Kit produit par David Hafler, et il n’a pas existé d’amplificateur de 150W avec un double push d’EL34, le plus puissant était le MK IV avec des KT88 qui était des bloc mono, contrairement au ST35 et ST 70 qui était un ampli stéréo.
Dynacord et une firme Germanique, en cherchant sur le web, jais trouvés ces informations.
DYNACORD
Faites un voyage de temps dans le passé avec nous
Il a commencé après la tige de guerre ingénieur Werner Pinternagel, le fondateur d’entreprise, a été mis au monde en 1913 dans Jena/Thuringe. Là, il a étudié aussi. Ensuite, il a été pris par les amis d’étude de ses conférenciers en tant qu’ingénieur de
développement dans au OKH à Berlin. Ici, il développait, a été fourni des réservoirs et véhicules de mer télécommandés pour ses gains avec des distinctions élevées. retourné comme années 33-Jaehriger la tige de guerre, a commencé à réparer Werner Pinternagel Rundfunkempfaenger pour une durée de réseau local
l’entreprise .
Il écrivait en même temps des instructions et guides de construction techniques pour des instruments de mesure techniques auto-développés.
Le développement foudroyant après la deuxième guerre mondiale l’histoire de développement et de naissance de l’entreprise DYNACORD est lié de nature sur le plus étroit au développement du marché de musique en République fédérale d’Allemagne depuis la fin de la deuxième guerre mondiale.
Elle couvre d’une part le développement de la musique d’entretien internationale et aussi allemande donc dans toutes leurs phases et tendances.
D’autre part, d’autres le développement technique sur les secteurs de l’électronique
d’orchestre et de l’électroacoustique en fait également partie.
La production d’instruments de musique électroniques et du transfert installant tombe également dans ces sections -, installations d’amplificateur et d’interprétation.
De la même manière, le développement a dépendu DYNACORD de la disponibilité d’éléments appropriés et bon marché. Cela a concerné surtout le secteur des semiconducteurs. Naturellement, avec cela l’application industrielle faisable des technologies respectives a également joué une très grande, si pas le rôle le plus crucial.
Le nom DYNACORD les deux premières syllabes « DYNA » de la raison sociale DYNACORD devrait être l’expression pour l’engagement dynamique du fondateur d’entreprise Werner Pinternagel et ses collaborateurs. La troisième syllabe « CORD » est pour l’accord des amateurs et professionnels exerçant DYNACORD produits fabriqués avec la musique et celui elle. [Jean]