Comme vous je suis impatient de découvrir le numéro 116 de Radiofil Magazine.
Apparemment il est un peu en retard, mais renseignement pris, rien de grave. Il est parti.
Pour nous faire patienter notre ami Claude le webmestre a dévoilé son contenu ici : Sommaire de radiofil magazine 116
L’occasion pour rappeler que le magazine, et le club plus généralement, reposent sur trop peu de personnes.
Cela est tellement critique qu’il n’est pas du tout sur que Radiofil puisse tenir comme ça bien longtemps.
Il suffit d’une bonne grippe ici et un empêchement là pour que tout soit bloqué.
Il semble bien qu’il n’y ait plus assez d’adhérents ou de sympathisants jeunes, disponibles, et motivés pour prendre la relève.
Il faut dont se faire à l’idée que le modèle n’est plus viable ; il faut envisager d’arrêter, ou de faire autre chose, ou avec d’autres équipes.
J’ai beau me creuser la tête je ne ne comprends pas comment on se débrouille pour être si facilement fâché avec l’un ou l’autre. Parfois fâché avec « Radiofil ». Mais Radiofil, c’est quoi ? une poignée de bénévoles, souvent au fort caractère (il en faut !) qui font tourner comme ils peuvent une organisation qui n’a plus les moyens de ses ambitions. Je suis persuadé qu’il faut mettre en phase les deux. Soit renforcer (ou relayer) l’équipe, soit réduire la voilure. Point de salut, point de solution magique sans cela.
Quand les dirigeants historiques laissent la place, on les suspecte de tirer les ficelles en coulisse.
S’ils restent après tant d’années, on leur reproche de s’agripper à ce poste.
Ceux qui sont aux manettes se heurtent trop souvent à beaucoup d’intolérance, parfois à une résistance au changement.
Moi je dis chapeau à l’équipe actuelle, qui arrive à faire tourner la boutique alors qu’ils sont à bout.
Cela ne durera pas. La motivation et la résistance physique ont des limites.
Je vous invite à réfléchir dès maintenant à une refondation.
Il y a parmi nous des jeunes qui ont probablement des idées nouvelles.
Quel serait le club idéal ?
Quel serait le magazine idéal ?
S’il fallait partir de zéro, ce serait pourquoi faire, comment, avec qui ?
Peut-être que l’aventure doit s’arrêter là, faute de combattants. Ou faute d’une réelle demande ?
Mais s’il s’agit d’imaginer autre chose, ce serait bête de passer à côté de l’occasion.
Il y a parmi nous suffisamment de gens avec un peu de disponibilité, avec des idées, avec de la bonne volonté. Bout à bout, ça peut marcher.
En attendant, je dis merci et bravo à la petite équipe de Radiofil.
Tenez bon !
Et pendant que j’écris ce petit billet, la factrice me livre le magazine.
Je vais m’empresser de le dévorer !
Surveillez votre boite aux lettres !
Jean-Michel