Recherche transfos MF 1600 kHz

bonjour à tous je recherche un ou deux transfos MF 1600kHz merci pour vos recherches
cordialement

Bonjour
Quel type , transistor ou lampes ? , combien d’enroulements

bonjour Georges pour lampes 2 enroulements ( primaire et secondaire )
73s

Ce n’est pas très facile à trouver ,il faut essayer avec des transfos standard que l’on modifie
Pour l’accord aucun problème : on débobine , mais pour le couplage ça se corse car ils vont être surcouplés et il faut soit pouvoir modifier l’écartement , soit placer une spire en court circuit entre les deux selfs
Pas simple ……

Effectivement, c’est une denrée rare que je recherche aussi (à moins d’aller piller un AME7G :face_with_hand_over_mouth: :face_with_open_eyes_and_hand_over_mouth:). Mon paternel de son vivant, m’avait expliqué la même méthode que Georges mais sans garanties de résultats probants. Dans un vieux recueil des années 60 de l’émission et réception d’amateur de Raffin (Georges vous allez râler :wink:), il y avait une description d’un montage avec une 1600 KHz maison mais je n’ai jamais essayé.

Ce n’est quand-même pas si difficile à concevoir et à fabriquer. Deux pots ou deux tores ferrite suffiraient, puis les condensateurs styroflex ou céramique. Avec les tores, il faudra encore deux trimmers internes ou externes. Certes, il faut choisir les composants qui conviennent bien. Pas n’importe quoi, bien entendu. Mais c’est évident.

Fil plein ou fil de Litz ? À cette fréquence, il est un peu difficile de faire son choix.

Ce bon Georges m’en a donné 3 chouettes pour fabriquer mon récepteur de trafic à 2 étages MF dont je viens de peindre le panneau avant réalisé en tôle acier et qui commençait à s’oxyder sérieusement >>>
Encore merci à lui…

Salut Toto oui mais …… il n’y en a plus en magazin :wink:

Il y a le couplage (la distance) entre le primaire et le secondaire à établir.
Un ch’tit wobulo ?
:cowboy_hat_face:
Je m’étais amusé à faire une petite maquette (la partie mécanique avait été faite par une autre personne) :

On peut faire varier la distance entre primaire et secondaire, donc le couplage.
Et avec un géné wobulé, on voit sur un oscillo toutes les étapes des différents couplages…
Yapuka faire pareil sur 1600 kHz.

Ce n’est pas nécessaire, ni possible, avec des pots ou des tores. On bobine une petite partie de l’enroulement de l’un des tores ou pots sur le noyau de l’autre. Le couplage est effectué de cette manière.

Vous semblez aimer ce genre d’appareil. Mais un Q-mètre serait plus utile ici.

Oui mais alors pas forcément facile, je pense, de régler le couplage de façon continue.
Wobulo : mon dada du moment !

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Ah bon ? Vous désirez encore un couplage variable. Certes, la solution mécanique est la plus simple, mais demande quand-même un certain équipement mécanique pour la réalisation, associée à un savoir-faire. Les solutions électriques sont plus complexes et souvent seulement commutables sur plusieurs largeurs de bande.

Mais @soisson n’a pas demandé de sélectivité variable.

Ma méfiance à l’encontre du wobulateur résulte de son emploi abusif par des personnes incompétentes, qui ne comprennent pas vraiment ce qu’elles font. Cela semble si simple, mais ne l’est pas vraiment. Alors on tripatouille les dessins sur l’écran, plutôt que de régler selon ce qui a été calculé. Le résultat est alors en conséquence. Malheureusement ! Un réglage au générateur est ennuyeux au possible, mais avec un appareil sérieux, le résultat colle bien et correspond à ce qui a été calculé. Bon, il y a encore les tolérances. Un sujet à propos duquel il y aurait aussi de quoi écrire de longs textes.

Je me suis mal exprimé.
Je voulais parler d’un couplage ajustable et non réglable.
Une fois le couplage voulu obtenu, on ne touche plus.

Dans la solution utilisant des pots ou des tores, avec une fraction de chaque enroulement bobiné sur le tore ou dans le pot de l’autre, comment faire pour ajuster ce couplage ?
Rajouter/retirer des spires, je suppose.

Quant à l’utilisation du wobuloscope, c’est comme tout instrument de mesure, il faut savoir en gros comment il est constitué afin d’éviter de faire des mesures inadéquates.

Ah ! j’oubliais, bobinage spires jointes ?

En partant du coefficient de couplage à obtenir, on peut calculer l’inductance commune aux deux enroulements et donc aussi le nombre de tours. Les informations données par les vendeurs de ces tores et pots sont souvent très fiables. La seule chose qu’ils ne mentionnent jamais est le coefficient de couplage que l’on peut obtenir en utilisant tel et tel enroulement. Mais ce coefficient est presque toujours assez élevé. Là, il faut faire quelques essais et mesures.

Je pense qu’on peut déjà utiliser les spires jointives, à cette fréquence, sur un noyau « normal ». Mais sur un tore et même un pot, le bobinage en nid d’abeille est très probablement déjà très acrobatique. :slightly_smiling_face:

La formule de calcul ne doit pas être facile à obtenir, à moins de négliger pas mal de termes. Il faut, je pense, connaître les facteurs de qualité des deux bobinages. La formule Lω/r ne doit pas suffire, je pense.

Et glisser les deux mandrins dans une fente en U d’un support isolant, à frottement un peu dur.
Ce qui permettra de glisser légèrement l’un des deux bobinages pour faire varier le couplage. Une fois le couplage voulu obtenu, un peu de colle pour immobiliser les bobinages.

Dans le cas des tores, je ne vois pas de solution pour varier un peu le couplage. Ces bidules sont « monolithiques ». Dans le cas des tores, ce serait encore possible, mais je le déconseille formellement. Les deux moitiés doivent être maintenues serrées et en place, pour obtenir une inductance stable. Un noyau peut être utilisé, mais il modifie simplement quelque peu l’entrefer.

En fait, quelle capacité comptez-vous mettre pour accorder sur 1,6 MHz ?

Bonjour.
A ma connaissance le principal intérêt du bobinage en nid d’abeille est de minimiser la capacité répartie pour une valeur de self donnée.
Ca joue sur la plage de fréquences qu’on peut couvrir avec un CV donné.
Donc pour un circuit accordable. Pour une FI fixe l’intérêt est nul.
L’usage d’un noyau ferrite améliore encore les choses.

On s’éloigne du sujet qui consiste à utiliser des enroulements existants et à faire varier la distance de couplage
Dans le cas ou l’on veut utiliser des tores ou des pots fermés le couplage peut parfaitement se faire avec un condensateur ajustable c’est d’ailleurs le cas pour les transfos Rhode et Schwartz que j’ai donné à Toto

Lapsus : « Dans le cas des pots »

Pour les condensateurs, on pourrait faire un prorata par rapport à un transfo 455 kHz :
455 kHz => 453 µH et 270 pF
1600 kHz => 129 µH et 77 pF

Ah oui, pas c.. !

Un couplage électrostatique au lieu (en plus) d’un couplage électromagnétique, pour utiliser des mots longs…

D’ailleurs ce couplage électrostatique existe dans les transfos MF : par la capa parasite entre les deux bobinages. Je l’avais démontré mathématiquement et expérimentalement avec mon bidule à coulisse…
C’est d’ailleurs Georges qui m’avait rappelé ce couplage parasite car au couplage critique (existence d’un point d’inflexion dans la courbe de réponse), les deux pseudo-maxis locaux étaient « inversés » quand on ne tenait pas compte de la capa de couplage parasite…