Bonjour à tous,
Question à ceux basés proche du lac de Constance et Friedrichshafen:
de mémoire, c’était le site des usines de dirigeables Zeppelin et le lieu de production des réacteurs BMW Jumo-01, le propulseur du Messerschmitt 262.
Apparemment l’équipe « Réacteurs » de BMW a été récupérée par la France et donna naissance à la SNECMA.
Des souvenirs?
Cordialement
jhalphen
Es war einer der besten Momente des Militärlebens, als wir in die Schweiz gingen! ! !
et l’equipe guidage V2 par la CSF
j’en ai connu qq uns a mon entrée a la Thomson CSF
c’etait ce que l’on appelait « l’equipe des Von »
Je n’ai pas eu cette chance. Mes seules manœuvres : Mailly-le-Camp (Frankreich 
) et à Baumhoder où nous sommes allés par la route. Comme c’était en Allemagne, la premère jeep du convoi portait un calicot " ACHTUNG, PANZER", mais la dernière jeep qui fermait le convoi avait elle un calicot " FIN d’ ELEMENTS" !!! 
Un jour, avec 4 copains, nous louons une voiture pour le week-end. C’était une Ford Taunus, style « coup de vent », très belle voiture à l’époque.
Nous « chipons » à l’infirmerie (flûte je ne devrais pas le dire ça, mais bah, il y a prescription 
), un jerrican de 20 litres d’essence, c’est toujours ça d’économisé.
Et nous voilà partis à l’aventure : D’abord petit déjeuner dans un restau allemand en bordure de route. Nous demandons du café et des tartines beurre et confiture, la patronne qui ne comprenait pas le français nous apporte un plat de charcuterie monumental, jambon, saucisson, mortadelle, etc… On s’en accommode 
.
Puis lac de Constance, entrée en Suisse, soirée à Zürich, puis dodo dans la voiture dans un champ.
5 dans la voiture c’est pas pratique pour dormir, on n’est pas bien à l’aise, c’est le moins qu’on puisse dire 
. De plus, en pleine nuit, malgré la promiscuité, on se les pèle… Allumage du moteur et du chauffage pour se réchauffer un peu, bref, une nuit d’enfer…
Le lendemain, petit déjeuner (chocolat au lait évidemment), dans un petit restaurant suisse, en hauteur, dans une véranda avec une vue splendide. Puis retour par Vaduz, capitale du Liechtenstein, petite incursion en Autriche, et retour en Allemagne, et arrivée à Reutlingen tard dans la nuit.
Pour le retour, panne des feux de croisement… Obligés de rouler plein phares ou en feux de position. Pas pratique du tout… Mais bon, on se débrouille quand même ; heureusement les routes étaient à peu près désertes à cette heure tardive. En fait, c’était un fusible qui avait grillé.
C’est moi qui ai conduit tout le trajet retour, les copains dormaient, je suis arrivé vraiment HS. J’avais la migraine et j’ai dû prendre une aspirine. Heureusement, je travaillais à l’infirmerie, question aspirine, il y avait ce qu’il fallait.
Nous avons passé 4 frontières (Suisse, Lichtenstein, Autriche, Allemagne) et je ne me souviens pas qu’un douanier nous ait demandé nos papiers.
Malgré tous ces petits déboires, ce ne sont que bons souvenirs en effet.
Tout à fait Jérôme: cette ville de 40000 habitants a été le siège de Zeppelin et c’ est d’ ailleurs pour ça qu’ elle a été rasée par des bombardements à la fin de la WW2.
C’ était encore une ville industrielle à mon époque de bidasse avec les industries que tu as citées en ajoutant une usine ZF fabriquant de boîtes de vitesse auto et poids lourds et bien sûr comme je j’ ai indiqué + haut SABA (matériel Hi-Fi).
L’ usine SABA a fermé en 2002 tout comme mon régiment la même année.
A +.
Moi au 303ème GAMA à Sarrelouis comme interprète (24 Hrs a day) chez les ricains du 16th Us Army Missile detachment qui avaient la clef pour armer les rockets Honest John équipées de têtes nucléaires tactiques.
Classe 63 1C!
On attendait les popov à l’époque…mais on dirait que les temps n’ont pas vraiment changé!
Sauf le matériel qui a dû bien évoluer.
Pour recoller à la radio, Friedrichshafen est aussi le lieu de rencontres de nombreux radioamateurs et amateurs de radios européens lors du salon qui se tient en général a la fin du printemps.
Cette année du 24 au 26 juin.
Incontournable pour beaucoup.
C’est quel régiment cet insigne ? Le Gaulois a le même casque que celui qui figure sur les paquets de Gauloises.
Au 2e Régiment de Cuirassiers, on avait celui-là sur le béret. Il a du « panache »
92eme R.I. Clermont Ferrand.
https://www.defense.gouv.fr/terre/nos-unites/nos-regiments-nos-unites/92e-regiment-dinfanterie
Dans les transmissions, à Epinal en instruction puis à Landau en écoute et repérage , j’ai eu le droit à des insignes bien moins « panachés ». Sur celui du 44 RT, on remarquera les électrons afin de souligner qu’il s’agit d’un régiment de « Guerre Electronique »…
Dans le milieu des années 70, la photo de groupe des appelés FFA, du moins dans les transmissions à Epinal et dans la guerre électronique à Landau, ne se faisait plus et la plus part d’entre nous songeait qu’il était temps de supprimer cette année de « Service National » bien inutile qui nous faisait plutôt perdre notre temps…
C’était le recrutement que décidait le lieutenant des transmissions à la « gueule » du trouffion lorsqu’il envoyait à Landau un simple mécano ou un boucher , c’était le cas du pompeux maréchal des logis qui nous revenait après son stage , heureusement qu’il y avait 2 vrais techniciens allemands pour effectuer les dépannages que j’allais voir et discuter avec eux en l’absence du petit chef
Les insignes du 2 ème R.H.C.:
A +.
En ce qui me concerne, ce fut à la suite des tests passés à l’occasion des « 3 jours » à Blois que la Guerre Electronique m’ a été proposée; tant qu’à perdre une année dans les meilleures conditions , j’ai accepté …
Le comble où j’étais à l’armée (FFA) : il y avait une clef pour le champ de tirs (et de manœuvres ) qui était fermé par un portail !
@Jeff28 Toi aussi tu as connu le 19GCP à Villingen? Comme Omale et d’autres de ce forum?
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