Souvenirs de FFA et autres expériences militaires

Heureusement que quelqu’un a inventé la photographie. Sinon on ne saurait pas comment on était avant
:laughing:

1er régiment de Spahis à Speyer, classe 70/10
cdt,
Gérard

65-2A 2 mois à Epinal 18e RIT puis 4 mois au 8e RT Mont Valérien pour faire
une connaissance approfondie de l’ANGRC9 , du TRPP8 et de l’ANPRC10 .
Les 10 mois restants en FFA au DMT du 51e BT de Trèves .

1 « J'aime »

Bonsoir Jean Marie59, oui le fameux 18e RT d’EPINAL

Insigne_régimentaire_du_18e_Régiment_de_Transmissions

Pour moi perso j’ai fait mes classes au 43e régiment de transmissions a METZ et puis le restant des 9 mois au 4e régiment de hussards toujours à Metz et dans les transmissions, j’ai appris le morse, le rita et le ritere, j’ai obtenu mon diplôme d’opérateur en faisceaux hertzien de l’avant ( FHA ) et obtenu aussi mon permis poid lourd ( 19T ).
J’en garde un très bon souvenir :smiley:
Christophe

200px-Insigne_régimentaire_du_43e_Bataillon_de_Transmissions
Insigne_du_4e_Régiment_de_Hussards

Hé oui !!! Souvenirs … la breloque et ses cousines doivent se balader au fond d’un tiroir !

1 « J'aime »

bonsoir à tous
moi Steten AKM j’y ai passé mes 12 mois, la neige est arrivée fin septembre et n’est repartie que fin mai.Les -30 c’est pas du Pipo et c’était souvent ,mais c’était un froid sec et on fini par s’habituer.
Maurice.

1 « J'aime »

En 1968 avec "ma " jeep au 5ème régiment de cuirassiers à Kaiserslautern (où j’ai connu les - 30°C aussi)

1 « J'aime »

Bonsoir @anon47304422 j’habitais alors au 19 de l’avenue V Hugo ! ! !

ET, avant, quand je partais à pied pour la rue Saint Didier, je passais presque à la caserne de la rue Mesnil . . . Place V Hugo (en face de madame de Sévigné), que je contournais !

Par la suite, en vélo, puis vélomoteur (pour aller à Jeanson), puis en 4Ch ensuite . . .
Juste avant les FFA ( à Constance puis Kaiserslautern aussi) . . .
et les stages aussi à Stettin à - 30° mais avec des gars qui
se gardaient le MAS pour ne pas se le coller au doigts le lendemain matin ! ! !

Comme quoi . . .
« les spahis les chasseurs les goumiers pom po po pom …
Gardiens et défenseurs de souv’nirs magnifi iques » ! ! !

Ben moi en 1974/1975, j’habitais toujours dans le même coin de la région parisienne et tous les mois j’allais chez les FFA avec ma 2CV qui avait passé à la caserne un contrôle technique afin d’avoir des belles plaques minéralogiques bleues spéciales FFA.

Patrick.

…sous l’ardent soleil, chevauchant sans répis leurs fiers coursiers"
j’y ai eu droit aussi :smile:

1 « J'aime »

Toujours prêts à servir . . . hein

Les fameuses plaques bleues ! On passait à l’époque un contrôle technique pour les obtenir qui dans le civil n’existait pas encore en France. Les Allemands ne voulaient voir des taudis circuler chez eux :wink:
Pour moi, c’était une 404 injection de 1964 et elle avait déjà 15 ans quand je suis parti en Allemagne. Au début, j’y allais en train, mais + de 12 heures de trajet (1012 km d’après ma carte S.M.A.) dont une bonne partie de nuit (le Paris Lindau à la gare de l’Est, mais ne passait pas par FRIEDRICHSHAFEN, il fallait changer à RADOLFZELL) et serrés comme des sardines, je mettais 10 heures en voiture par la A4.

A +.

entretien du MAS 49-56

Bonsoir [Tryphon_Tournesol] ,il y avait a l’époque rue st Didier ce nous nous appelions les gonfleurs d’hélices, je suppose un des bureaux de l’armée de l’air , mais il y avait une certaine jeune femme qui après avoir fait une visite a l’armée de l’air, venait faire une visite a notre caserne, et l’adjudant chef qui était au courant de tout ce qui pouvait se passer ,un matin au rassemblement dans la cour le personnel au complet au garde a vous ,avait demander quelques explications ,et évidement un fou rire général dans les rangs, mon souvenir s’arrête la !
on avait quelques guignoles dans la troupe ?

Pas de plaques bleues pour moi, je n’avais pas de voiture perso, et bien loin financièrement parlant d’en avoir une.

Mais à la caserne, je conduisais à volonté la deu-deuche du capitaine pour mes besoins personnel, ou les besoins personnels de mes camarades du peloton. On ne travaillait et donc ne voyait le capitaine que le matin, alors, les après-midi nous appartenaient.

Tous les deux mois, à chaque classe, j’étais commandité, moi comme chauffeur, accompagné du MDL infirmier, pour transporter les échantillons sanguins aux fins d’analyse à un hôpital militaire près de la frontière française. Je ne me souviens plus du nom de la localité, mais c’était encore du côté allemand du Rhin.

Comme j’étais stationné à Reutlingen, à 150 km de la frontière, notre mission était plutôt une partie de plaisir.

A l’aller, chargés des prélèvements sanguins de la classe qui venait d’arriver, nous prenions l’autoroute à Stuttgart jusqu’à l’hôpital militaire.

Mais pour le retour, nous prenions le chemin des écoliers, et traversions la Forêt Noire pour faire un peu de tourisme : Baden Baden, Freudenstadt, Tübingen, etc… nous sommes même allés visiter un jour, l’aéroport de Stuttgart, ce qui était bien entendu totalement en dehors de notre trajet.

Mais un jour, au trajet retour, la deu-deuche est tombée en panne de carburateur, et n’avançait plus qu’à 2 km heure, ce qui était à peine moins que sa vitesse habituelle (je plaisante). Impossible de rentrer au quartier à plus de 100 km encore.

Heureusement, nous étions dans la Forêt Noire à proximité immédiate d’une caserne française, où nous nous sommes rendus tant bien que mal.

Ils nous ont hébergés une nuit, et réparé la deuche pendant ce temps (moi j’en aurais été bien incapable), qui était prête à reprendre la route dès le lendemain matin.

Au retour, notre capitaine nous a bien sûr demandé pourquoi nous avions pris la route la plus longue à travers la Forêt Noire pour revenir à Reutlingen. Je lui ai répondu que si nous avions pris l’autoroute, nous n’aurions pas trouvé de caserne française pour nous héberger et faire réparer la 2 CV et que nous aurions été bien embêtés.

Il en a convenu et n’a pas insisté.

Bsr,

Eh, les nostalgiques! Vu que l’armée a du mal a recruter. Cela va finir, que vous allez recevoir une convocation pour aller refaire les 3 jours… :hugs: :face_with_hand_over_mouth:

1 « J'aime »

MAS 49-56 ?
Chez nous c’était un FSA 49 « rectifié » 56, mais c’était à ce que je vois sur la photo toujours aussi con de passer ses fournées à démonter, revue à sec, remonter et hop : on réinitialise : démonter, revue…

1 « J'aime »

FSA pour Fusil Semi Automatique
Et MAS pour Manufacture d’Arme de St etienne?
@+

oui :wink:

Et MAC pour Chatellerault !

1 « J'aime »