le vague mestre était celui qui amenait et emportait le courrier, nous on ouvrait le courrier et on taper les lettres ou les notes de service
photo prise devant le camp, à l’arrière le poste de garde
je me souviens un adjudant m’avait amené des tubes E83CC pour mon ampli
bonsoir,
Quel beau militaire et belle photo !
le transistor est semble t-il le TR 710
C’était un de mes 2 boulots à l’Armée, le 2ᵉ étant secrétaire du capitaine de l’intendance. Oui, les compter, les distribuer (les propres) et les envoyer faire laver (les sales), ceci 2 fois par semaines. Autant dire que lors des inventaires (une fois par mois), c’était le daouia, car il y avait des manques et ça gueulait sec et c’était le fourrier qui était responsable. D’autant plus qu’il fallait gérer les literies des appelés, mais aussi des gradés qui eux avaient des lits de 90 alors que nous on avaient des 70 !
A +.
bonsoir
ce n’est pas ce modèle, le mien n’a que les GO et PO et doit être le TR 707
Raymond
C’est curieux, jamais ma mère ne m’a accompagné à la caserne.
@Janpolanton Bonjour,
Je crois qu’il y avait dans certaines unités au moins une journée par an, quelque chose du style portes ouvertes pour les familles.
C’est peut-être à cette occasion que Raymond avait convié sa famille a le rejoindre.
Je n’en ai plus le souvenir.
J’ai fait l’armée en 1972-73
@Janpolanton
Je l’ai connu, et c’était agréable puisque sur un navire de la Royale
Plus anecdotique pour mon frangin. Il était dans un régiment d’infanterie loin de notre pays, dans le centre de la France.
Il nous avait informé de cette journée réservée aux familles. Mais il ne pensait pas que quelqu’un de la famille viendrait…
J’ai voulu lui faire la surprise d’y aller sans le prévenir. J’ai donc fait le déplacement en train.
Arrivée à la caserne. Je demande à l’accueil de prévenir mon frère.
Au bout de quelques minutes, j’apprends que mon frangin était parti en permission!
Il avait flairé le fait d’être de corvée pendant la fiesta, du fait de ne pas avoir d’invités.
On s’est donc croisé sans se voir!
Retour à la gare pour Jean-Pierre et demi-tour au pays par le premier train!
Bonjour Jean-Pierre
c’était une visite surprise, à gauche une arrière tante, votre serviteur, un neveu de la tante en visite (il habite Paris) pour qui j’avais cablé la radio FM bicanal de chez Alfar et tout à droite ma mére (mon père lui travaillait)
des 4, je suis le seul encore en vie
Raymond
Je ne vois pas comment mes parents à l’époque (1979 - 1980) auraient pu faire plus de 1000 bornes et de plus dans un pays étranger pour venir me voir !
A +.
à l’origine le mien était blanc, mais lors du stage de secrétaire-comptable à Laval comme je dormais sur le lit supérieur ma radio a fait une chute, un coin cassé, la ferrite bien entendu
En Allemagne (FFA) je m’étais acheté ce Pizon-Bros que je trimballais dans la poche pantalon gauche de mon treillis.
on écoutait la radio le soir dans la piaule, mais comme il était équipé d’une pile 9V pression, je l’avais bricolé pour y brancher une alim externe avec 2 piles plates 4,5V et un coupleur de ce type
Bel appareil. Sans la FM mais finalement, on n’en avait pas besoin.
En Allemagne, là où j’étais, à 150 km de la frontière française, on ne captait sur la FM que des radios allemandes, et américaines (base américaine à Stuttgart), aucune radio française.
Donc la FM, que j’avais, était parfaitement inutile.
En revanche, bien sûr, en GO, on captait super bien, Europe1, et RTL, qui faisait notre joie quotidienne. Je ne me rappelle pas avoir capté Inter. Quant à RMC, la radio de ma région, elle était totalement inaudible en Allemagne. Normal, les antennes étaient orientées du sud-est vers le sud ouest et la zone de couverture était la moitié sud de la France.
En effet quand on travaille dans un bureau, c’était mon cas également, pouvoir écouter la radio était une activité essentielle. Heureusement que j’avais porté le mien, un Sonolor Gouverneur, PO GO FM OC1 OC2, parce qu’à l’infirmerie où je travaillais, personne n’avait la radio. Comment peut-on vivre sans radio ?
En Allemagne, écouter la radio française, ça nous rattachait un peu à la mère patrie. Et ça a été d’une importance considérable pour suivre les événements de mai 68, alors que tout était bloqué en France.
Photo prise dans la chambrée pendant mes classes, alors que deux camarades étaient en train d’écrire à leur chérie.
Pendant les classes, écrire (à sa chérie, mais aussi à ses parents), était quasiment le seul loisir autorisé, pas de perms, pas de sorties.
C’est moi qui prends la photo donc je n’y figure pas.
Au moins, à l’époque, on s’appliquait lors de la rédaction de nos correspondances postales…
Bonjour
Me voici pris avec la position déclanchement automatique de mon appareil photo, un WE seul dans la chambrée avec le transistor que je venais d’acheter un Ferguson avec la FM
Cela devait être une vrais charrue…
OK je sors, faire un tour dans les champs…
@f1tay Bonsoir,
Peut-être ce modèle