Si les canaux sont numérotés en ordre croissant d’après la fréquence qu’ils utilisent (TF1 et Antenne 2 travaillant sur des fréquences plus basses que BFM ou ITV, par exemple) cela recoupe exactement ce que j’ai constaté. Encore qu’en raison du multiplexage des canaux, cette relation soit plus difficile à établir. Ainsi, d’après tvignaud.pagesperso-orange.fr/ :
R1 : France 2, France 3, France 5, France Ô, LCP/Public Sénat, Chaîne locale ou 2e programme régional de France 3
R2 : I-Télé, BFM TV, Direct 8, Gulli, Virgin 17, France 4
R3 : Canal+ HD, Canal+ Cinéma, Canal+ Sport, Planète, TPS Star
R4 : M6, W9, NT1, Paris Première, Arte HD
R5 : TF1 HD, France 2 HD, M6 HD
R6 : TF1, Arte, LCI, Eurosport, NRJ 12, TMC, TF6
(C’est assez facile à vérifier car en cas de panne d’un des émetteurs de multiplex, ce n’est pas une chaîne mais plusieurs qu’on ne peut plus recevoir.)
Ce regroupement explique aussi, probablement, qu’on ait placé les « chaînes historiques » sur le multiplex ayant la fréquence la plus basse.
Maintenant, revenons à ma question originale : qu’est-ce qui explique que les fréquences les plus élevées soient plus sensibles que les plus basses à l’hygrométrie ambiante ? Est-ce que le type de l’antenne rateau (directivité, posisionnement angulaire horizontal et vertical, réglages, présence ou non d’un amplificateur …) joue sur la qualité de la réception ?
L’un des avantages de l’analogique était d’assurer une réception constante (à la qualité près) alors qu’en numérique, ça fonctionne en tout ou rien). Comme le disait plus haut l’un des intervenants, « c’est le progrès ! »
Merci de vos informations et conseils.
Cordialement
Fredo