Ben avec du bon matériel, la boite n’est pas une corvée, ça prend juste un peu de temps.
L’impression 3D, et un massicot « de course », qui coupe les trait de crayon en deux, dans le sens de la longueur, permettent d’envisager des assemblages particulièrement précis.
Génial, on va même être servis à domicile.
Dame, par ces temps qui courent, il ne fait pas bon mettre le nez dehors.
Ca a l’air beau, c’est fonctionnel.
Tu as une super plieuse?
J’ai fait des boites, pour y mettre un multimètre digital pris sur le Ht-Parleur, il y a bien 40 ans, et un autre multimètre digital dans les memes eaux.
Dans le premier cas il m’a fallu rebobiner le secondaire d’un transfo pour avoir les tensions requises…
C’était le bon temps!! ( aujourd’hui, 80 ans, )
Après impression de toute une série de pieds, c’est un modèle conique noir de 26 X 20 avec une hauteur de 10 mm qui a été retenu.
Le polyuréthane est vraiment le matériau idéal pour les pieds d’appareils.
Souple, mais pas trop, anti-dérapant, et, qui plus est, d’une résistance mécanique remarquable.
L’intérêt de l’histoire est surtout de pouvoir obtenir des dimensions sur mesure, en évitant les frais de port, et une recherche interminable pour trouver le fournisseur adéquat.
Avec la 3D, plus besoin de s’embêter à percer les trous!
Temps d’impression pour les neuf pieds: 4H30.
Coût de l’opération, électricité comprise: environ 1 euro.
Il n’est plus nécessaire d’avoir les modèles en stock; c’est un réel progrès.
Comme circuit court, difficile de faire mieux!
Puisqu’on peut tout faire avec cette imprimante, je pourrais avoir, sur le couvercle, un buste du Blaireau ?
Merci Alain pour le travail que tu fais. Cet appareil aura une valeur toute particulière dans mon labo.
Michel (F1GOC)
Un buste de Blaireau? Du coup on se croirait au musée d’Histoire naturelle.
Blague à part , tu fais un boulot exceptionnel puisque tu crées tout de À à Z. Chapeau et mercissssss.