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Bonjour,
Ce soir sur ARTE il y a un film sorti en 1959 dont j’ignorais l’existence « Rue des prairies » et puisqu’ il est disponible sur Arte vidéo, je l’ai regardé en avance par curiosité . Ce film évoque un peu le thème de la disparition d’anciens quartiers populaires au profit des grands ensembles comme on le retrouve dans certains films comme « Mon Oncle » . Ces grands ensembles modernes à l’époque ont souvent mal vieillis et font l’objet de réhabilitation voir de démolition; il y a aussi dans ce film quelques jeunes acteurs débutants disparus depuis.
Par ailleurs, j 'ai repéré dans une scène se déroulant dans le café un poste de TV qui ressemble à ce Ribet Desjardins Centaure
et une caméra de la RTF de ce genre :
Il y aussi un poste de radio dans la maison de Gabin, et un ensemble HI FI dans l’appartement du riche amant . Je n’ai pas réussi à capturer l’image dans le film de tous ces appareils.
Le nom de la rue des prairies me fait penser à celui de la rue où il avait à cette époque la maison de mes parents quand nous allions en vacances en France " Rue du champ fleuri" .
Cordialement.
Patrick.
bjr,
le film est déja disponible sur arte-tv:
https://www.arte.tv/fr/videos/100186-000-A/rue-des-prairies/
voilà 3 captures d’écran !
qui peut identifier les postes?
Facile : Téléavia P111 
Moins facile : le bidule trop laid sur l’étai contient-il un HP ou quoi ? 
Peut-être avec l’autre moitié du récepteur voir le carton arrière…
Bonjour,
Pour le poste, un clarville maestro ?
Bonjour à tous,
« moins facile » : cf GL fiche 34757
Il a oublié de soulever le couvercle du pick up Melodyne !
Bravo Radioccitan !
La Voix de Son Maître - Ensemble Haute Fidélité - 1956
L’enceinte est moins laide que celle du film…
Ouais bon ! Un film français qui ne restera pas dans les annales du 7e art.
Je l’ai regardé tout de même jusqu’à la fin. Moi non plus je ne le connaissais pas.
On y voit un Gabin égal à lui-même, dans son rôle habituel, avec ses mimiques habituelles et ses yeux qui roulent lorsqu’il est en colère. Et il l’est souvent, sinon ça ne serait pas Gabin. Les dialogues sont d’Audiard.
Pendant l’occupation, pendant qu’Audiard se servait de sa verve pour écrire des articles antisémites dans la presse collaborationniste, Monsieur Gabin, avait dans un premier temps fui aux Etats-Unis pour n’avoir pas à travailler pour Vichy et les Allemands. C’est là qu’il s’était mis en ménage avec Marlène Dietrich.
Puis, rongeant son frein, et désireux de participer à la lutte contre l’ennemi pour la libération de son pays, il s’était engagé dans les rangs de la France Combattante comme marin, puis chef de char dans la 2e DB de Leclerc.
Bon ça n’a rien à voir, mais c’est toujours intéressant à savoir.
Bah…ça nous a permis de revoir « Big Léon » (Zitrone) !
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Et puis quitte à passer pour un vieux croulant, les bals guinguette c’était quand-même autre chose et une autre tenue que les rave-party 
Je ne sais pas si tu es un vieux croulant 
, mais personnellement, bien que né à la fin des années 40, je n’ai pas connu les bals et guinguettes. Je pense que c’était plutôt la génération de mes parents.
Quand j’étais ado, dans les années 60, on faisait des « surboums », chez les uns ou chez les autres, parfois dans des arrières salles de bars, mais surtout on fréquentait les « dancings », ou « boites » ou « discothèques » Et nous dansions le jerk, le rock, le twist, et bien sûr, le slow. 
Mais c’est vrai que c’est sympa de revoir comment s’amusaient nos parents. 
lire le sujet deja existant …
Bjr,
pourquoi remettre ce que j’ai déjà mis hier?
un autre sujet a ete ouvert ( rue des prairies avec Gabin), ils ont ete fusionnés et le second cloturé
aux divers auteurs du second sujet de supprimer leurs messages en doublon s’ils pensent que c’est utile
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Je suis tombé sur cette archive INA : une journée au bistro en 1974
Avec un poste à lampe qui émet du son 1 seconde après avoir été allumé, que l’on aura du mal à identifier.
Un patron qui ne perd pas une occasion pour boire un petit blanc (verre rempli à raz bord) avec ses clients.
Et un jeu de cartes dont je ne connais pas les règles.
Je ne sais pas pourquoi on me propose cet ancien topic ? Mais en ce qui concerne Dôle-Tavaux, il s’agit bien d’un aéroport capable d’accueillir les longs-courriers de type Boeing, par exemple. Sa piste fait plus de 2.000 mètres de mémoire. Et ses infrastructures ( éclairage, ILS etc ) le permettent sans problémes. Ce n’est pas un petit aérodrome de campagne. De plus, il est sauf erreur, aéroport de dégagement de Genève.
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