Doctsf (Modèles & Marques)
Annoncesbien sur , rarement les plats " sans sel " , il faut lire la dose .
Certes, mais vu que chez moi, on n’utilise plus de sel depuis 50 ans, il y en a toujours de trop! Même chez des traiteurs qui les cuisinent eux-mêmes (ce qui n’est pas toujours le cas)!
Bon, maintenant, je ne suis pas intégriste du « sans sel ». Chacun fait comme il veux, mais personnellement, je trouve que c’est bien meilleur sans!
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et pourtant " la boite à sel " , c’ était bien divertissant , mais pas très " appétissant " souvenez vous … 
histoire de la boite a sel
C’est bien, comme ça, que j’entendais « liquider » !
(HS - Pour info)
Dans l’article :
Il est préférable pour eux d’opter pour le tarif réglementé en France", a déclaré le porte-parole d’Iberdrola.
Amusant, si on peut dire. Mais j’avais compris que si on avait quitté le tarif réglementé, on ne pouvait plus y revenir. Erreur de ma part ?
Est-ce que je peux revenir chez EDF après avoir changé de fournisseur ?
Un particulier a le droit de quitter le tarif réglementé, souscrire à une offre concurrente puis décider de revenir à nouveau vers le tarif bleu, le tout sans frais. Il s’agit du principe de réversibilité.
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Bonjour à tous,
Bonjour Domi-Niaque, @Domi-Niaque :
Merci de ne plus mettre de liens vers le journal « Challenge », ces escrocs exigent d’accepter 2 millions de « Cookies » ou de payer.
Il ne propose pas « continuer sans accepter les cookies » ce qui est illégal en Europe (RGDP).
Donc on se passera de leur prose.
Cordialement
jhalphen
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salut Jerôme
Ils ne sont malheureusement pas les seuls ! 
Bah , il suffit de faire le ménage des cookies de temps en temps 
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J’ aime bien les cookies ! 
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En espérant que les Allemands ne les récupèrent pas … Non, c’ est une vanne: ne me tapez pas dessus « au secours » !
A +.
C’est d’une logique implacable, mais pas pour tout le monde hélas.
Le juste prix, c’est celui qui rémunère correctement le producteur, le transporteur, le grossiste et le distributeur. En deux mots, qui permet à tout les intervenants de vivre correctement et décemment de leur travail.
Je pense que le consommateur serait prêt à payer le juste prix des choses. Surtout si on ne lui laissait pas le choix.
Le problème c’est la concurrence entre les distributeurs, qui fait que ceux-ci pèsent de tout leur poids auprès des producteurs pour que les prix soient les plus bas possible pour ne pas se faire bouffer par la concurrence.
Le résultat c’est que les cultivateurs, éleveurs, agriculteurs, producteurs de lait, sont mis devant l’obligation de vendre à vil prix leur production, quand ça n’est pas à perte, sinon à voir les distributeurs s’approvisionner à l’étranger.
Ce sont eux qui font les frais de cette politique de concurrence extrême.
C’est là qu’il y a quelque-chose de vraiment pourri au royaume du trademark.
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C’est une partie du problème.
Un certain nombre de producteurs vendent en direct ou avec des circuits trés courts.
Quelques groupement bio un peu plus vertueux,
Certains trés gros distributeurs font attention a ne pas faire n’importe quoi et sont devenus moins pire qu’il y a une dizaine d’années. la pression des clients et des réseaux sociaux y est pour quelque chose.
Pour le lait c’est une cata, avec des producteurs qui ne gagnent rien;
à coté de chez moi, Monsieur est marin pêcheur et Madame fait la vente à la poissonnerie, tout n’est pas local, et pour la pèche locale cela depends de ce qui a été ramené,
beaucoup de vente directe à la ferme.
Pour ça, déjà, faut acheter en supermarché. L’erreur est là.
Il y a un paquet d’années que je fais sans eux. C’est mieux et meilleur ailleurs.
Il est certain que si on peut bénéficier de la vente directe auprès du producteur, c’est un plus non négligeable, à la fois pour le consommateur qui est certain d’avoir des produits frais et de proximité, et pour le producteur qui, dans ce cas de figure, sait très bien prendre ses marges. 
Habitant la ville, je connais plusieurs maraîchers en périphérie de la ville, qui font de la vente directe.
Je n’y vais pas exprès, car cela ne justifierait pas le déplacement, mais à chaque fois que j’en ai l’occasion, que je passe à proximité, je ne manque pas d’aller m’approvisionner chez ces maraîchers. Eux gagnent correctement leur vie et je ne me fais aucun souci pour leurs fins de mois.
Pour le lait en revanche, aucune possibilité. Mais on n’en consomme que très très peu, seulement pour la cuisine, quand certains plats l’exigent.
oui , mais il y a également les " grandes surfaces " qui vendent si possible des produits locaux , notamment en fruits et légumes .
Mais va acheter des pêches ou des abricots locaux aux producteurs en Normandie , ou du raisin , et toute l’ année des bananes . ? dis moi où ?
par contre on trouve des pommes locales . pas question d’ acheter des pommes du Chili !
par contre les patates viennent de la Somme , du Pas de Calais ou du Nord , pas si loin .
les artichauts et choux fleurs souvent de Bretagne
Chaque région a sa spécialité
Les légumes sont pour certains locaux. Pas loin d chez moi en bord de Seine il y a des champs de poireaux , choux , salades livrées aux grandes surfaces locales . Pas sur que le maraicher s’ embête à vendre ses salades à l’ unité.
Nous avons aussi un " maraicher " également pas loin qui propose des légumes " bio "
il n’ y a pas qu’ en franche comté ou ailleurs qu’ il y a du commerce local .
par contre si on va s’ approvisionner à l’ épicerie du village , c’ est 2 à 3 fois plus cher … que ce soit légumes ou fruits frais .