Pour dépanner efficacement un circuit, il faut avoir une idée de l’architecture générale du circuit.
Pour une alimentation à découpage, c’est quasiment toujours le même principe, si un circuit intégré est présent, la datasheet est une précieuse alliée qui permet de comprendre le fonctionnement et de déduire des points de mesure.
Cdt,
Gérard
bonjour,
oui et on peut trés bien dépanner des alim de tvc à découpage ou sops etc en basse tension
avec une alim stabilisée
un exemple pour ceux qui on connu le GR2 de chez Philips sans claquer du fusible du BUT etc
a minima il faut un oscillo pour voir les signaux
dans le cas de votre alim on peut par exemple alimenter le UC en broche 7 soit VCC de l’ordre de 16 V voir data puis a l’oscillo voir en sortie pin 6 si au moins l’oscillateur fonctionne
ci dessous j’ai pris le data du Ucc et mis grossiérement le principe du fonctionnement s du VCC pour le ci UC
l’isolation galvanique est assurée par le transfo primaire /secondaire par l’opto coupleur pour le control et la liaison masse primaire secondaire par C 9 irréprochable de qualité
Bonjour
c’était le cas aussi pour le TVC14
Le GR2 j’y ai travaillé quand j’étais à la RTC Dreux ou ils étaient fabriqués
La mise en veille par mise en court-circuit d’une sortie du secondaire c’était pas mal
Avant il y a eu le G90 et G110
Les premiers avec des CMS
Bonjour,
de misère et surtout des réclamations des revendeurs je me souviens que les alim avec les transistors cms aussi bien chez Thomson que Philips furent vite abandonnées
au grand sourire lorsque ses cms (en alim) ont laissé la place au CI 8 ou 16 pin certain m^me monté sur support du gateau
Bonsoir
merci Tournesol pour le schéma de principe.
Ce qui me turlupine un peu c’est qu’il y a deux IRF740 et deux enroulements séparé sur le transfo au primaire … enfin c’est ce que j’ai cru comprendre avec mon multimètre en position sonnette. Il faudra que je regarde si les gates des IRF sont réunies …
et il a deux optocoupleurs
Faut regarder ce qui commande les optos.
Une boucle de régulation de tension pour un opto et peut être une limitation de courant pour le deuxième, ou un superviseur des autres tensions de sorties
Bonjour … après ce Noël sympa en famille … je me remets à mon alim.
J’ai positionné les composants côté cuivre : c’est plus facile à suivre.
Il me semble que la tension d’alim de l’UC3844 est bien faible : 5,9v
Sur le schéma de Tournesol, la résistance chutrice fait 100k … sur ma platine il y a deux résistance de 100K en série et bizarrement l’une d’elle me donne 0,8M et l’autre 74K …
est-il possible qu’une résistance ait dérivé à ce point ?
74 k pour 100K c’est déjà beaucoup comme dérive (-25%) mais possible et probablement pas la cause mais peut être une conséquence (si elle a beaucoup chauffé)
800K pour 100K, cette resistance est à remplacer.
Faudrait comprendre pourquoi elle est presque coupée, une fissure ou rupture mécanique? la valeur lors de la mesure est stable? c’est peut être une conséquence, mais cela peut empêcher l’alim de démarrer.
j’ai dessoudé les deux résistances et les ai remplacées.
Une d’elles donnait 1,2M au lieu de 100K
Après remplacement, l’alim démarre et la tension VCC au niveau de l’UC3844 est à 11,8v … ça semble plus normal.
J’ai une sortie à 5VDC et une autre à -12v… et la 3ème à 24Vdc
Je vais la remonter dans son appareil pour voir si ça remarche.
un grand merci à vous tous pour les idées, les pistes, schémas etc … ça aide énormément.
Avec mes amitiés Julienbeta
Bonsoir Allo.Guy
non aucune trace de surchauffe sur la résistance et encore moins d’échauffement sur le PCB… Rien de rien !
à la loupe aucune égratignure non plus …
j’avoue que je reste perplexe !
Par contre c’est la tension relevée qui m’a paru trop faible pour un fonctionnement normal du CI et poussé à rechercher là … sinon je serais passé à côté
J’ai précisé dans mon message N°25 qu’il fallait contrôler cette ou ces résistances aux bornes desquelles on trouve près de 300V, je remplace systématiquement le petit condensateur électrochimique associé.
cdt,
Gérard
Bonjour guilhem
oui c’est exact … j’ai commencé par chercher à comprendre comment ça marche et identifier les sous ensembles pour comprendre ou mettre utilement mes pointes de touche … j’ai dessoudé et vérifié le condensateur de découplage et commencé à mesurer les tensions… après avoir fait le repérage des composants sur la photo… c’est surtout ça qui prend du temps
Bravo
Je trouve étonnant la dérive des composants, j’ai réparé une lampe Lidl qui se charge par induction, les condensateurs qui chutent la tension sont passé de 220 à 10 nF.
A contrario, j’ai réparé un poste SABA de 1955, condensateurs et résistances ont toujours la valeur inscrite dessus.
C’est sans doute des condensateur dit autocicatrisant et a chaque fois qu’il cicatrisent apres une defaillance interne ils perdent un peu de le capacité
Tout dépend de la forme du courant et surtout de la fréquence, la HF est un poison pour les condensateurs surtout électrochimiques.
Les condensateurs placés en série avec le secteur doivent être précédés d’une résistance pour limiter les pics de courant, mais malgré cela, ils perdent peu à peu leur capacité, c’est le cas dans les volets roulants.
J’ai une lampe équipée d’un capteur infrarouge dont je dois changer régulièrement le condensateur série.
J’ai essayé un tas de condensateurs X, aucun ne tient plus de 6 mois.
cdt,
Gérard
Bonjour,
indépendamment de l’alimentation susnommée, je confirme avoir fréquemment des pannes , due a la perte de capacité de condensateurs , classe X, placés en série avec le secteur, dans des prises de courant télécommandés
(Au demeurant très pratiques, en ce moment, pour allummer/éteindre à distance les guirlande de son sapin de noël , sans devoir se baisser , et chercher le cordon secteur parmi les branches, pour le débrancher !)
Ces condos durent un peu plus que 6 mois, pour ce genre d’usage, mais sont morts d’une perte trop importante de capacité, après quelques années …
+1
6 mois pour un condensateur « X » c’est pas beaucoup?
y’a des impulsions parasites sur la tension?
Le choix d’un condensateur pour un montage donné est loin d’être quelque chose de trivial.
Dans les specs des condensateurs l’on trouve un tas d’infos.
Le choix d’un condensateur ne se résume pas seulement à sa valeur en uF, sa taille et sa tension de service.
Le courant maxi instantané (et efficace), la fréquence, l’ESR basse n’est pas forcement une garantie de durabilité, car cela entraine des pics de courant aussi importants que bref et un échauffement important, alors qu’un condensateur avec un ESR moins bon entrainerait des pics de courants moins important et de plus grande durée.
Bonsoir,
il y a eu un post il y a quelques temps sur ces problèmes de condensateurs X2, la perte de valeur est due à l’effet corona qui volatilise la métallisation, en effet à la fin des années 90 les fabricants avaient tellement réduit l’épaisseur de la métallisation du film que celle ci se volatilisait!
Un spécialiste avait meme expliqué que des cartes bonnes aux test sous ensemble étaient mauvaises en final! Tous les fabricants de X2 ont été impactés car il n’y a qu’un seul fournisseur de films!
J’ai moi meme dépanné plusieurs appareils dont la capacité série avait chuté de manière spectaculaire!
Depuis 2004 ou 2005 il existe de nouveaux X2 qui ont des films avec une meilleure métallisation, seule manière de les reconnaître à ce que j’ai pu comprendre ils ne sont plus marqués 275V mais avec une valeur supérieure à 300V!