alors rien a voir avec le dernier message
mais je suis intervenu sur un disjoncteur général d’usine dont l’arrivée été en bas et non repérer .
étant jeune a l’époque et bien sur sans habilitation a l’époque j’ai pas pris les tension et une châtaigne
bien sur .
et l’année qui a suivie ont a tous eu droit a une habilitation électrique .
À droite, un simple allumage encastrable à levier anglais, marque Lundberg (je m’interroge encore sur comment de l’appareillage anglais à pu atterrir en France).
Et à gauche, et ce sont les plus intéressants, deux interrupteurs extra-plat à poser en saillie.
C’est bien la première fois que je vois ce genre d’interrupteur là. Sans la touche, ils font 10mm d’épaisseur. Marque « interplat » (ça ne s’invente pas ^^) et breveté SGDG, Russenberger Paris made in France.
Bonjour à tous,
Je pense que la plupart des machines datent environ de 1910/1915 ! Mon père s’est mis à son compte en 1956 et elles avaient déjà fait une carrière d’un menuisier.
La toupie était une Guilliet que j’ai retrouvé dans un catalogue de 1914
C’est encore un truc « à prendre le jus » si c’est utilisé sur le secteur et que la partie métallique du culot de l’ampoule est à vis, si c’est à bayonette pas de danger …
Bonjour
Super comme interrupteur
Je ne connaissais pas.
L’ampoule fonctionne directement sur le secteur?
Le culot est à vis ou baïonnette ?
Cordialement
Romain
oui c’est bien une ampoule à vis ! Avec mes gros doigts je n’entre pas en contact avec le filetage… mais ce n’est quand même plus aux normes actuelles.
sur l’ampoule il y a marqué 40w j’en déduis qu’elle est en série avec l’ampoule commandée qui doit être au plus de 40w (et le filament est bon)
Typiquement un inter pour commander l’éclairage de la cave afin de ne pas oublier d’éteindre la lumière en remontant (avec des bouteilles de bon vin)