et ça sans electricite on les chauffait sur la forge
Bonjour,
@Radiolo : Ca au moins, ça ne tombe jamais en panne !
(Et ça me rappelle mon service militaire …Ou j’avais voulu réparer un amplificateur B.F , en bivouac sous la tente, sur un camp de manoeuvres au 5 eme R.D au Valdahon !
Je m’étais fait livrer les composants dans une lettre, remise par le vaguemestre …Et puis, à défaut de vrai fer à souder , j’avais fabriqué un ersatz de fer , dans le genre de ceux montré ci dessus en plus rudimentaire, avec un bout de cuivre récupéré sur un chantier voisin du campement, et un manche taillé grossièrrement au couteau dans une branche d’un arbuste , puis chauffé l’outil dans les braises du feu de camp ! )
J’ai un ERSA 30 avec une panne inusable, depuis des lustres!
Un ERSA TZ?
Type Z c’est pas un vrai alors!
En fait, non. Ce type de fer est principalement chauffé par des lampes à souder à essence. C’est la raison de la petite plaque qu’on voit sur certaines lampes à souder, pour poser le fer de façon à ce que la panne soit dans la flamme.
J’ai un 15/30 watts de cette marque, j’en suis très content.
Ou dans la cuisinière (au bois ou au charbon), pour les bricoleurs de l’époque!
une petite question est il préférable d’isoler le châssis de la masse ou est ce mieux de le laisser à la masse ?
Oui, et avec la pierre d’ammoniaque pour décaper la panne. Quand j’avais une quinzaine d’année, j’avais tout de même réussi à réparer le vieux cornet à piston de mon père avec cet équipement. Quelle galère!
Pas compris la question.
« on ramène tous les retours de masse sur cette ligne et on ne relie cette ligne au châssis qu’en un seul point ( avec le moins HT, point milieu de l’enroulement par exemple) ».
Bonjour,
il veux peut être avoir une masse audio distincte de la masse secteur, pour mettre un « ground lift » ?
ça j’ai bien compris mais
c’est cette histoire de boucle de masse qui me chagrine et comme je ne vois pas très bien de quoi il retourne j’essais de comprendre
bjr,
un exemple, quand j’ai refait l’ampli BF d’un électrophone, j’ai commencé par souder un gros fil de cuivre qui va servir ensuite de fil de masse pour le câblage:
http://www.radioman33.com/pages/mes-constructions/reconstruction-d-un-electrophone.html
pareil lors de la reconstruction d’un poste à lampes:
Ne cherche pas où est la boucle de masse, ce n’est pas visible (c’est comme la masse pour enfoncer le piquet d’incendie).
On appelle ainsi un circuit parasite qui s 'établit dans la tôle du châssis entre des points qu’on a réalisés/utilisés comme retour de masse de résistance ou de condo par exemple…
PS: Un châssis en acier n’est pas excellent conducteur, d’un point à un autre il peut se comporter comme une faible résistance et créer des différences de potentiel entre eux.
d’où la nécessité si j’ai bien compris de relier toutes les masses ensemble sur un seul fil puis de connecter ce fil en un seul point sur le châssis
Oui c’est ce que j’ai dit au post 608! T’as pas vu?
Tu peux aussi monter une ligne du même genre pour la HT mais attention de ne pas la relier également au châssis, même pas en un seul point!
On monte la ligne de masse presque contre le châssis (juste de quoi pouvoir faire les soudures dessus) et la ligne HT à 2/3 cms du châssis et de l’autre côté.
Pour la ligne de masse on dénude du fil électrique domestique U500SV en 1,5² et on peut prendre plus petit pour la ligne HT.
tu fais bien de le dire au point ou j’en suis
Tiens,Radioman est en progrès! Voilà qu’il participe au lieu de trouver à redire…
je surveille simplement tes élucubrations et quand ça dérape je le dit!
Mais dans le cas présent c’est le BA BA du câblage et là…c’est la technique qui décide!
t’as ce genre de bouquin: (par exemple)
a lire à partir de la page 79 qui précise les règles de cablage…
Comme la clef des champs (ou celle du champ de tir)!
comme la bobine de ligne de mire