Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesC’est comme ça que j’avais compris ta réponse!
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Bonjour à tous.
Michel et Guy, vous avez raison tous les deux, mais il ne faut pas se limiter aux électroniciens, l’électronique est une technique comme une autre, personnellement, j’ai fait presque toute ma carrière professionnelle dans le bitume routier, et j’arrive a dépanner mes vielles radios à tubes ou à transistors, cependant, ma limite, c’est que je ne suis pas forcément capable d’expliquer aux gens ce que j’ai fait, ou de donner des cours, j’admire ceux qui arrivent à le faire.
Cordialement.
Pierre.
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pour ma part ce qui me motive c’est de pousser le dépannage a fond
lorsque l’on avait tous les émetteurs puissants en GO et PO un dépannage et un réalignement approximatifs suffisaient pour que le poste rechante
maintenant il faut optimiser au maximum l’alignement du poste pour lui faire retrouver tout sa sensibilité et recevoir les qq postes lointains qui subsistent
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Bonjour,
Mon fils dirige un poste d’enrobé depuis plus de 20 ans, il est pourtant le fils de son père qui, lui, a donné des cours de dépannage radio (lampes) à la chambre des métiers entre 1970 et 1980 … il a tout lu et vu (il est tombé dans l’atelier tout jeune) comme engins de mesure, et autres belles choses en dépannage (de la radio lampes, transistors, TV N&B, TVC, ER radio VHF et 27/28 mHz)
mais n’a pas voulu faire ce boulot . . .
Il a ‹ seulement › fait un CAP puis BEP d’électricien, puis un BTS de domotique (electro-mécanique et ergonomie) …
Mais … pourtant, lui aussi, il fait donc : "du noir" ! ! !
Le vieux Tryphon
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Ce qui correspond, non pas à un « dépannage » mais à une réparation
Quand on a été dépanneur, on peaufine bien plus vers cet état de choses
Le vieux Tryphon
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Are you sure?
Pas pu me retenir!
Bon OK 
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Bonsoir Tryphon_Tournesol
Tu donnais encore des cours de dépannage radio pour les appareils à lampes entre 1970 et 1980?
En 1975 dans mes cours d’électronique, les tubes n’étaient plus évoqués. (Sauf les tubes spéciaux magnétrons, tubes pour hyper, et bien sur les tubes cathodiques)
Bonsoir
Je n’ai aucun mérite , mais je ne supporte simplement pas un truc en panne , quitte à l’oublier après 
@F6CER , bravo de savoir lâcher prise 
C’est aussi mon cas, plus le désir de savoir en dépannant plus la satisfaction d’avoir redonné vie et beauté à une radio.
Et j’apprends tous les instants n’étant qu’un modeste amateur que le cours de math sur la modulation de notre ami belge laisse de marbre.
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Pour ma part :
j’ai gardé une certaine motivation a réparer de vieux appareils, mais pas que des postes de T S F, dans mon cas, j’aime bien redonner vie a d’anciens appareils électriques et électroniques les plus variés et cela s’étend a toute sorte d’autres appareils (en fait quasiment tout ce qui entre dans la catégorie des D E E E ) dont des récepteurs de radio, mais aussi des amplis de sono, radiateurs électriques, fours micro-ondes, robot de cuisine, aspirateur, machines-outils, machines à bois, et j’en passe …
Et pour moi, outre le plaisir de redonner vie a ces anciens appareils , il y a un atout indéniable : ils sont en général fait pour être réparés, et basée sur une électronique a composants discrets (soit à tubes, soit à transistors) et/ou sur de l’électromécanique traditionnelle (a la portée d’un électricien bâtiment ayant des notions d’automatisme) …De sorte que c’est généralement réparable, composant par composant (la réparation est généralement bon marché) , et par déduction logique ! (la réparation fait travailler les neurones, et suit une démarche de recherche logique, étage par étage )
Tandis que maintenant, et avec le numérique (ou plutôt « numerdique ») la quasi totalité des produits actuels sont montés en CMS et basés sur un microcontrôleur spécialement programmé qui gère tout !
Certes, avec cette technique, c’est moins encombrant et moins cher, mais avec ce genre de montage , on ne peux plus mettre les pattes dedans, ni rechercher la panne étage par étage et dépanner composant par composant, il faut en général changer toute la carte sans chercher à comprendre (ce qui n’a plus rien d’intéressant ! ) et ce n’est souvent pas rentable , parce l’échange des cartes complètes coute cher, et conduit souvent a jeter tout l’appareil moderne, pour racheter un autre appareil moderne équivalent, et tout aussi non dépannable ! (la réparation revient souvent plus cher qu’acheter un nouvel appareil ! )
Et, c’est malheureux à dire, mais même un « simple » radiateur électrique d’appoint actuel, contient désormais une carte électronique à microcontroleur, dont le rôle est des gérer les diverses allures de chauffe, la température, et éventuellement la durée de chauffe (complication inutile ! et rendant l’engin indépannable ! On savais en effet très bien géner la température de chauffe d’un radiateur avec un thermostat bimétallique, et la durée de chauffe avec une minuterie mécanique à rouages, ce qui étais plus simple, et plus aisé à dépanner ! )
sloup
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Ce propos est très général…
Par simple observation (ou dans le cas présent simple reniflement) on peut se rendre compte que dans le numérique il y a aussi des choses qui sentent bien et qui peuvent être utiles et amusantes 
.
Bonjour à tous.
Il a raison SLOOP, sauf sur le matériel moderne, car je pense que ça pourrait faire arriver des Jeunes chez nous, mais c’est un autre débat. Je suis vieux et j’aime bien les TSF, mais l’autre jour en brocante, j’ai bien failli chiner le premier téléphone GSM portable que nous avions acheté à l’entreprise fin des années 80. Souvenir Souvenir 
Et puis c’est quand même les gens de nos générations qui ont conçus les appareils modernes entre guillemets.
Bonne journée.
Pierre.
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Pas chez tout le monde, malheureusement. Si au moins, vous aviez raison ! Mais combien de fois n’a-t-on dit de mesurer les tensions. Conseil inutile et farfelu pour de nombreux dépanneurs. Ils préféreront changer tous les condensateurs, pour commencer.
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Ce qui est une erreur monumentale, et bien souvent en procédant de sorte la personne recrée des problèmes supplémentaires… Ce n’est pas comme ça que je conçois le dépannage, c’est avant tout des mesures de toute sorte et c’est le béaba et bien sûr viens le visuel et l’odeur 
Christophe
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Je confirme, changer tous les condensateurs avant diagnostic est, sauf chance inouïe, de détruire l’appareil. Même un électronicien averti en TSF ne procède pas ainsi (j’attends votre avis😉).
En atelier on m’avait appris à diagnostiquer chaque panne, dépanner, essayer puis passer à la panne suivante. La priorité étant de réparer les pannes faisant fumer ou exploser le poste…
J’apprécie beaucoup ce débat. Un bon moyen de transmettre au dépanneurs débutants et au plus jeunes.
Ce débat pourrait faire un article sur radiofil magazine.
Merci
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Comme sloup l’a déjà écrit, il faut réfléchir à ce qu’on fait et il faut agir logiquement. Ça ne sert à rien de se débattre dans tous les sens, simplement par besoin d’action. Un punching ball est plus utile pour ça. Ça ne sert aussi à rien d’avoir des outils et des instruments, si on ne sait pas s’en servir correctement. Ces choses-là peuvent s’apprendre. En outre, sans une base théorique minimale, on n’arrive pas bien loin.
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bjr,
j’ai un avis un peu… Complémentaire !
Après plus de 50 ans de dépannage j’ai pris l’habitude de rendre au client un appareil dépanné dont le fonctionnement va être garanti dans la durée.
J’ai toujours fait une garantie de trois mois sur mes réparations !
Cela passe d’abord par le dépannage proprement dit, mesures, recherche de la panne, remplacement des composants ou des pièces défectueuses puis par une phase de contrôle (on fait fonctionner l’appareil plusieurs heures) afin d’être sûr que tout est OK.
Sur les postes anciens, c’est un peu différent.
En effet, on sait que de nombreux composants vieillissent mal et peuvent à tout moment provoquer une panne grave, même s’ils paraissent bons au moment du dépannage.
C’est pour cela que j’ai conseillé de remplacer systématiquement ces condensateurs papier/goudron, ou les condensateurs chimiques afin de sécuriser l’intervention dans la durée.
Il est évident que si le poste dépanné doit rester sur les étagères durant les vingt prochaines années, cela n’est pas nécessaire, et certains préfèreront garder l’aspect visuel des composants anciens, et les laisser ainsi pourrir lentement dans leur coin…
Mais si l’appareil est destiné à être utilisé fréquemment, cette phase de « sécurisation » est indispensable si l’on ne veut pas griller bêtement un transfo (ça m’est arrivé)…
C’est l’avis du dépanneur, je conçois que le restaurateur peut agir autrement !
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Je dirais que cette méthode (ne pas réfléchir, ni rien mesurer, mais tout changer sans se poser de question ) semble être justement être le lot habituel de jeunes, qui applique à un poste de TSF à tubes , les méthodes de dépannage usuelles des appareils actuels « numerdi*que » !
Puisque, justement, avec ce genre de technologie, et avec ces appareils avec une carte électronique en CMS avec un microcontroleur qui gère tout ! Eh bien on ne cherche plus a réfléchir, ni à entrer dans les méandres de ce genre de carte (en général indépannable par l’amateur !) , on change bêtement toute la carte ! Sauf que dans un poste à tubes il n’y a pas de telle carte à microcontroleur (heureusement ! ) alors ils appliquent a peu près la même méthode en changeant (idiotement ) tous les condos !
sloup
le jour où t’accepteras d’appliquer ta même logique à tes problemes informatique…
peut être, je dit bien peut être, que t’arrêteras de tout mettre sur le dos de cette entité nébuleuse « numerdique » qui a un dos tres large 
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