rien sur Geneanet…
Il y avait un restau U au Rabot et je n’avais qu’un vélo… Dur, dur !
paraît bien jeune la demoiselle…
De mon époque, sur la ville , il y en avait 3 au début , puis 4 la dernière année quand le campus de St Martin d’ Hères a ouvert .
En général le midi on allait au restau U place ? - où on rencontrait les étudiantes de la fac de lettres - puis après le repas , en 15 minutes prendre un café au " Mistral " , face au Parc et à la tour Perret, pour lire le mot de Claude Sarraute ( décédée très récemment ) , et faire les mots croisés de Max Favalelli ( à 4 ou 5 on les bouclait vite fait ) ,
Le repas du soir à l’ AG rue de la poste , où il y avait " les filles " sur le trottoir, qui quand j’ arrivais au coin de la rue avec ma dauphine blanche avec une aile noire devant , rentraient toutes rapido dans les couloirs et ressortaient aussi vite ayant reconnu la voiture !!! .
et des fois au Rabot , rarement , mais pas à vélo !
J’ y suis monté des fois à vélo la 1ère année quand je n’ avais pas encore la voiture , en effet dur dur à vélo !
le week en, certains de ces restaus U étaient fermés, on allait des fois dans une pizzeria à la limite St Martin /Grenoble .
Les courses pour la piaule se faisaient au petit magasin " Casino " supérette , à deux pas de l’ avenue du Gd Chatelet .
Le vélo , c’ était pour les balades du w e , ou en semaine , par ex aller prendre un pot à Uriage les soirs de printemps et automne ( 12 km de grimpette ) , et " le pied " pour redescendre en roue libre " à tout berzingue " , bien sur sans casque à l’ époque !
nota : pas non plus de ceintures de sécurité dans la dauphine qui aux vacances faisait le trajet pas de calais ou inverse d’ une seule traite de nuit généralement ( 800km ) et pas l’ autoroute , que les nationales via Reims , Langres , Dijon , Mâcon , Lyon … et les fameuses cotes de La Rochepot et de la Frette !
allez , bonne nuit à Tous
Me suis bien amusé en te lisant… Mêmes histoires !
Et A/R Valenciennes-Grenoble sans autoroute, avec une R8 qui bouillait régulièrement (vase d’expansion en métal !). La soupape sifflait, trop tard, en général on se faisait assez vite un joint de culasse…
allez , bonne nuit !
@anon19419735 j’avais le même problème avec une R6 entre Lyon et Paris sur l’A6.
Bonne nuit
Y’a que des vieux ici !
Oui , mais des vieux qui en leur temps avaient un avenir , qui n’ ont pas passé leur temps à tapoter sur un clavier de smartphone et ont maintenant un passé bien rempli !
Et échanger de « bons vieux » souvenirs, c’est le « plaisir des vieux »…
On était dans la même classe en 6eme et 5eme ensemble à Champo
ah oui, je comprends mieux !!!
Bof! Pas de rotationnel ni de divergence, même pas un petit gradient!
Bonjour Jean-Pierre
Il fallait remonter le sujet
@ON5WF
Et quelques tenseurs ?
Ça te dirais ?
@claude_du_27
C’était pareil quand je rentrais de la BA 112 de Reims en pleine nuit avec ma 304 coupée S
Pas d’autoroute , mais en pleine nuit il y avait des stations service avec quelqu’un ou on pouvait s’arrêter et bavarder un peu
C’est pas faux.Mais ça ne risque pas de m’arriver : je n’ai pas de smartphone !
salut Jean Pierre
Oui , la R8 n’ avait qu’ un voyant rouge de " température " au tableau de bord , qui quand il s’ allumait indiquant une surchauffe , mais trop tard , je joint de culasse avait rendu l’ âme … Mon oncle qui en avait une a eu deux fois le pb !
Déjà économies de bouts de chandelles …
La dauphine avait encore un galvanomètre avec une aiguille , et on la voyait monter en cas de surchauffe .
Une nuit vers 2 ou 3 h , sur le plateau de Langres , revenant des vacances de " toussaint " du 62 , en route vers Grenoble par une belle nuit étoilée avec lune , soudain , dans l’ arrière de la dauphine , un " clac clac " et l’ aiguille du galva qui part vers le rouge !
Arrêt d’ urgence sur le bas côté , pas une voiture à l’ horizon .
Je sors de voiture , vais ouvrir le capot … oui c’ est bien ça , la courroie de ventilateur , tout au bout du moteur sous la lunette arrière avait sauté . Et pas de courroie de rechange !
Tout seul en panne en rase campagne , et en pleine nuit d’ automne !
Mais j’ avais toujours la boite à outils dans le coffre avant .
Pas de panique , la dauphine avait 2 courroies identiques , une pour le ventilo , et une pour la dynamo ! J’ ai piqué la courroie de dynamo , qui était la même , l’ ai mise sur mon ventilo en 5 minutes et suis reparti , roulant sur la batterie ( 6 V à l’ époque , mais maouss ! ) .
Heureusement avec la lune , en rase campagne , il ne faisait pas nuit noire et comme je n’ ai pas de pb la nuit, je suis donc reparti " au clair de la lune , mon ami Pierrot " , roulant en veilleuses, juste pour me signaler.
Je n’ allumais les codes que quand je voyais une rare voiture se pointer à l’ horizon jusqu’ à la croiser , et repassais en veilleuses .
J’ ai conduit comme ça env 3 heures ! puis vers 6 h du matin , me suis arrêté sur le devant du premier garage trouvé sur ma route , et ai attendu que celui ci ouvre , vers 8h du matin .
Le patron m’ a remis la courroie qui manquait en cinq secs , et hop reparti vers mon but , Grenoble .
Depuis ce jour , j’ ai toujours eu une courroie de rechange dans la voiture , et ça m’ a servi au moins une , voire deux fois avec les voitures suivantes, une fois notamment l’autoroute A1, en repartant juste après avoir passé la barrière au péage de Morainviliers , en revenant du 62 vers Paris avec ma seconde Opel Ascona .
Garé en urgence sur le pk sortie du péage , en 5 min j’ étais reparti , courroie remplacée !
Maintenant avec les voitures " modernes " …, remplacer une courroie " d’ accessoires " sur le bord de la route … c’ est une " autre paire de manches " !
Si ça se trouve , nous nous sommes peut-être croisé
Après avoir quitté l’armée de l’air , je prenais des cours de math au domaine universitaire pour me perfectionner
C’était une fois par semaine pendant deux heures
Peut être , mais il y avait déjà bien du monde au tout nouveau campus de St Martin d’ Hères en 1966 …
J’avais la même deuch que sur la photo. Un soir pour ramener les copains à leur cité U on a mis 7 ou 8 personnes en vrac dedans. Les bavettes des ailes avant raclaient par terre à chaque virage. Quelques centaines de mètres simplement. La semaine suivante l’attache d’un des tirants de suspension s’est arrachée. Surprenant non ?
Alfred_31