Non et crois bien que je le regrette. Grace à mon site Grundig passion, j ai eu la chance de pouvoir communiquer avec les anciens allemands des usines Grundig de TV à Furth et Nuremberg. Mon plus grand regret, ne pas avoir les docs techniques des TV couleur Grundig de la période thyristors.
désoler Herve mais je n’ai pas connu ces châssis
moi je suis plutôt tvc 3 4 5 6 7 voir 8 et cbb6 bref les plus classique chez nous car il me semble
que tu est plutôt en haut a droite de la carte non ?
Oui j’ai bossé proche de la frontiere belge, Charleville mezieres
je sais pas si cela va te parler mais je suis a la recherche d’un tv novak
une grosse bête que je suis aller chercher en suisse et que j’ai jeter a cause d’un déménagement.
quel dommage je m’en mord les doigts.
Inconnu chez moi…
Je dois aller préparer la tambouille du dimanche. bon appetit à tous
bon appétit a tous.
As-tu quelques références de ces appareils ?
Je pourrais essayer de voir si certaines sont sur manualmachine
Hélas, Grundig classifiait ses châssis de manière tordue avec ses CUC dans les seventies. Et je ne conserve les revues commerciales françaises que depuis que je bosse, c’est a dire 1983. C’est donc difficile de te donner des références de TV. J’ai téléchargé quelques schémas depuis, mais c’est un minimum. J’ai fait le tour du net pendant longtemps pour réussir à trouver des schémas de cette période. Et j’en ai trouvé un peu. Elles sont sur mon site
Grundig historique allemand.
Quelques personnes ici m’ont promis de scanner des docs de cette période. J’espère que ça va se réaliser et à condition que ce soit exploitable. C’est tout un art de scanner avec un minimum de dpi lisibles!!! Je préfère scanner et mettre en ligne les docs complètes, oscillogrammes y compris et hors liste de pièces pour une mise à disposition gratuite pour tous. J’en ai déjà scanné plus de 100 en 10 ans de 1981 à 2004. Sur la fin, tout était en PDF, c’était plus facile. J’ai bien des schemas de Furth et Nuremberg de mes potes allemands, mais non SECAM… et les variantes avec Creutzwald pour les châssis de même base étaient importantes (hormis normes et chroma bien sur) sans oublier la qualité des soudures plus sérieuse en Allemagne et en Autriche par la suite (petite anecdote en passant ).
J’avais jeté un peu vite toutes les docs papiers des premiers TV allemands de 1954 à 1960 envoyées par mon pote d’Outre Rhin (91 ans) emporté depuis par cette saloperie de COVID. A l’époque , je ne connaissais pas ce forum… Croyez bien tous ici, que je le regrette.
Bonjour,
Reportage TF1 sur la fermeture de l’usine GRUNDIG à Creutzwald
Merkiiiii
On a d’ailleurs tous déjà oublié que dès mars 1975, Grundig ouvrit les portes d’une nouvelle usine à Fleurance dans le Gers comptant 170 collaborateurs. Cette décision du groupe de Nuremberg, favorable à la France plutôt qu’au Portugal, fut prise en 1974 pour y assembler dans un premier temps des postes radio. Puis vint l’assemblage de TV couleur PAL destiné aux marchés allemand (nettement dominé par Grundig) et iranien. L’expansion de l’usine fera embaucher jusqu’à 500 collaborateurs début 1979. Ce fut deux années d’un développement continu et reconnu pour la qualité et la fiabilité des produits fabriqués dans cette unité de production aux soudures irréprochables. La conjoncture internationale défavorable début 1979, avec l’arrêt brutal des commandes iraniennes, condamna Fleurance à la fermeture dès mars avec une longue agonie d’un an. En mai, le processus de licenciement fut entamé et deux travailleurs sur cinq perdirent leur emploi. Neuf mois plus tard, les ateliers « étaient » déménagés…
Extrait de Une transnationale en milieu rural : Grundig, Fleurance, 1975-1980 [article]
sem-linkJean-Louis Nembrini
Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen Année 1980 51-4 pp. 503-514
Fait partie d’un numéro thématique : Campagnes du Sud-Ouest
https://www.persee.fr/doc/rgpso_0035-3221_1980_num_51_4_4918
Je vais exceptionnellement rendre hommage à Heinrich Kircher, décédé récemment à l’age de 94 ans et inhumé ce mercredi 30.11.22 en Bavière. Il a été l’un des premiers à vivre l’aventure Grundig et notamment à travailler directement avec Max Grundig près de Furth . Il fera même des remplacements dans l’usine de Nuremberg dès 1958. J’ai eu la chance de le rencontrer un jour en maison de retraite toujours en Bavière. Il était intarissable sur les productions télévisuelles de l’usine. La plupart des informations dont je dispose sur mon site Grundig Passion pour la période faste de l’usine de Furth proviennent de lui. Il était fier d’ avoir réussi à maintenir en état de marche si longtemps son combi radio TV Zauberspiegel 348 qu’il n’a jamais relégué au cimetière des postes oubliés .
Certes, la partie TV était devenue obsolète , mais la FM offrait toujours un son de très haute qualité. C’est de cet appareil qu’il va être question aujourd’hui. Combi commercialisé entre 1957/58. A cette époque, la marque allemande surpassait tous ses concurrents germaniques et développait radios, magnétophones et téléviseurs noir et blanc. Ce modèle Zauberspiegel 348 PO GO OC FM mono et TV VHF à tube cathodique de 43cm arborait une caisse en bois fin polie (noyer + érable). L’œil magique sur le tableau de commande émerveillait toujours autant les visiteurs, dont moi . 22 lampes + tube cathodique AW 43.80 étaient nécessaires à son fonctionnement via un châssis légèrement « fouillis »… Tension: 220V alternatif, sans oublier une consommation de 180W. Le tout pour 1098 DM de l’époque hors options .
La partie son était à la hauteur avec 3 HP dont un « cône sonore » ressemblant à un cornet de frites pour une puissance totale de 4.5W et 4 ambiances audio disponibles.
Je précise que toutes les photos viennent du net et le schéma est téléchargeable ici:
Chapeau bas, Heinrich, et reposez en paix. N’oubliez pas de saluer Max de ma part!
Bonjour à tous,
Avant de revenir aux fondamentaux Grundig, je voudrais exceptionnellement vous présenter ce modèle Philips anglais châssis G6 proche de notre feu TVC3. Il a été restauré par un de nos collègues passionné anglais Mike Bennett.
Mike fut d’ailleurs émerveillé devant sa nouvelle acquisition…
Ce châssis Philips couleur anglais G6 comporte donc 22 tubes + un tube cathodique A63-11X25 et 17 transistors pour une consommation de 400W quand même.
405 lignes monochrome Bandes 1 et 1A (canaux 1 à 5).
405 lignes Bande III (canaux 6 à 13).
625 lignes couleur PAL Bandes VI et V (canaux 21 à 69).
Je rappelle que l’Angleterre a connu officiellement la couleur le 1 juillet 1967.
D’autres versions de l’époque outre-Manche comportaient un tiroir à réglages des convergences impressionnant sous l’écran et peu de place pour y ranger les chaussettes:
Je vous invite à découvrir différents châssis TV couleur anglais inconnus en France de Mike Bennett sur son site « musée » relatant les marques Ferguson (qui deviendra Thomson), Bush, Murphy, Invicta et l’un des premiers Philips 21KX102A de 1963/64 NTSC modifié PAL anglais à tube RCA rond entre-autres avec l’aimable autorisation de l’auteur:
https://www.oldtechnology.net/mono.html
Fergusson va passer sous le giron Thomson en Angleterre et montera des ICC7, ICC8, TX99, ICC5, TX 90 (entre autres) après les châssis Thorn. Il est rappelé ci-dessous, les détails des différentes générations de châssis avec photos n/b des diverses versions utiles ici pour le grand livre:
https://www.radios-tv.co.uk/vintage-…chassis-guide/
Apres cet aparté, je reviens à mes fondamentaux Grundig bien sur!!!
Bonne lecture à tous.
Bonjour tontonve, il est très intéressant d’observer les anciennes TV venant d’autre pays voisins et d’autres continents, le Japon l’Italie la Russie par contre une fois j’avais fait des recherches sur les pays du Maghreb
et je n’avais pas trouvé grand chose.
En tous cas ces consoles TV anglaises sont vraiment chouettes, un TV venant des US même noir et blanc me ferait plaisir mais la livraison me fait faire marche arrière, qui sait peut-être un jour
Christophe
Merci à Cedric (cedo_57) pour ses photos de magnétoscope SVR Grundig que peu de monde a apprécié. Son père a du bien s’arracher les cheveux en les dépannant. Comme le dit Cedric, ils avaient une motorisation aux bruits spécifiques reconnaissables entre 1000.
Je rappelle que ce modèle SVR 4004 (EL) Grundig fut le dernier d’une série à la réputation sulfureuse.
La bande passante vidéo (couleur) du SVR 4004 EL ne progressait toujours pas et l’audio naviguait entre 80 et 10 KHz. L’évolution majeure venait de la durée d’enregistrement pouvant atteindre 5 heures avec ce format SVR via la nouvelle K7 SVC 5, commercialisée ultérieurement. La vitesse de défilement était encore inférieure au VCR LP avec 3.95cm/s rendant incompatibles les enregistrements VCR. Et toujours une unique programmation sur 10 jours et 8 canaux. Une télécommande filaire pouvait être proposée. Le tracking, depuis le BK 2000, restait à réglage manuel par vumètre à aiguille. Le compteur à 3 chiffres demeurait mécanique. Et pour 4, voire 5 heures de lecture, la précision était médiocre par un changement de chiffre toutes les 15 secondes. La qualité d’image respectable et l’excellente sensibilité du tuner, comme toujours avec ce constructeur, offraient pour l’époque, un enregistrement raisonnable. Je rappelle que c’était le premier modèle à sortir de la toute récente usine allemande de Furth / Nuremberg d’une surface de 30000m² qui enfantera par la suite les V2000 et VHS de triste réputation jusqu’en 1986. Un an plus tard apparaîtra le magnétoscope VS 400 FR greffé, pour la première fois chez Grundig, d’une mécanique Panasonic VHS digne de ce nom. Seul son encodeur pouvait générer quelques désagréments, mais ça nous faisait vivre!!! Il est à noter qu’une K7 SVR pouvait être utilisée sur un appareil VCR, pas l’inverse. Poids 15Kg.
Grundig ne gagnera jamais les places de marché attendues avec le VCR / SVR même après investissement de quarante millions de Deutschemark dans son usine allemande opérationnelle dès 1976. Il faut reconnaître que ce type de conception obsolète favorisait, dès le départ, les pannes récurrentes, en particulier dans la mécanique, désespérant la clientèle la plus fidèle de la marque d’Outre-Rhin. Mais l’électronique et la connectique rencontraient également des difficultés. Ce n’était qu’un savoir-faire industriel des années 50, transposé deux décennies plus tard sans grande évolution, qui sera, au fil du temps, fatal à bien des appareils. Il y avait pourtant un professionnalisme éprouvé dans l’étude du produit et son suivi pendant l’assemblage. En outre,Siemens garantissait la conception d’un processeur efficace. Mais en réalité, seul le cordon secteur s’avérera fiable, et encore… Le Japonais Matsushita l’avait bien compris en cassant tous les codes industriels et en proposant un premier VHS irréprochable hormis peut-être la « lampe k7 » qui était vraiment un moindre mal.…
Article dans le magazine le Haut Parleur n° 1639 sur le SVR 4004 Grundig
Article dans le magazine le Haut Parleur n° 1641 sur le SVR 4004 Grundig
Encore merci à toi Cédric et pardon pour les avoir diffusées aussi tard, J’ai accumulé beaucoup de retard ces derniers temps par la faute d’un mangeur de poireaux frelatés qui se reconnaitra
Génial ! J’avoue que je n’ai pas connu cet engin ! Seulement le VCR avec sa mécanique plus que douteuse et ses cassettes de 60 minutes