Houla… Cela m’est arrive quelques fois (belles oscillations amorties au Collecteur du BU de lignes, bien sûr tripleur déconnecté), environ 7/8 fois surtout dur des B12, j’ai eu drs problèmes de tripleur sur les D12 en Conti (ligne galbée, tripleur claqué qui amortit la THT) ou les Brandt (image qui zoome et s’assombrit qd on monte la lumière et/ou le contraste) .
Arrête, on se fait mal, que de souvenirs sur ces braves antiquités sur lesquelles j’ai débuté de 94 a 2000 (on les réparait jusqu’au bout, tant que le tube etait bon, comme les anciens TV genre TVC 4/5/6/7/8/11/12 ou D11/B/D12 ICC1/2/3/4/5…jusqu’à ce que les tv de supermarché de daube genre Kaïsui, Vestel, Beko nous flingue le marché avec des daubes pas chères qui on précipité vers la sortie les tv de qualité mais vieillissants.)
Ah là, fallait pas citer cette saloperie à laquelle à l’époque M6 a consacré un reportage vantant une "fabrication française " alors qu’il s’agissait d’assembler dans son usine de la Sarthe des châssis d’importation avec des tubes cathodiquea eux aussi importés
En fait pour avoir le droit d’indiquer « made in France » il fallait un minimum de valeur ajoutée française, c’était essentiellement le moulage du coffret, l’assemblage et l’emballage.
Pour que le châssis Great Wall (« grande muraille », importé de Chine) soit considéré comme un lot de sous-ensembles (moins taxé) et pas un produit fini le tuner était livré séparément (dessoudé après réglage en Chine et repéré par rapport à la carte principale sur laquelle il était ressoudé à Sablé).
Il me semble que les TV sortis de Sablé pouvaient aussi porter la marque Great Wall.
Je crois qu’ils ont utilisé aussi des tubes RTC pour faire remonter le contenu européen de leurs achats. Ils avaient l’intention de développer un châssis plus européen basé sur le TDA8362 (« one chip TV ») mais ils ont mis la clé sous la porte avant.
C’est un CL5, premier châssis couleur SCHNEIDER de 1967.
Merci à Hervé pour avoir trouvé cette magnifique réclame, de belle qualité de surcroît. Les seules images existantes, jusqu’à présent, étaient celles des numéros « spécial salon » du Haut-Parleur, petites et en NB.
J’ai possédé exactement le même modèle, en état quasi neuf mais hélas avec un tube image pompé. J’ y retrouve la même impression visuelle, c’était vraiment un TV d’une magnifique présentation, classieuse et de belle qualité. Le châssis, 100% lampes, du style vieux poste TSF câblé à l’ancienne, semblait bien anachronique.
Peut-être une page SCHNEIDER (période avant PHILIPS) sur GRUNDIG PASSION?
Ah ! Ce qui m’a trompé, c’est le rotacteur et son bouton similaire à celui du 5212.
Est-ce que le rotacteur du CL5 était à lampes ? je ne me souviens pas
On a donc les schémas, la chronologie des châssis, leurs qualités et faiblesses, les publicités, les brochures pour Grundig, Philips et Thomson.
Parmi ces 3 marques : qui est sorti vainqueur en terme de ventes de TV ?
On voit que Philips a surfé sur l’aspect blouse blanche « nous sommes les experts de l’image couleur, laboratoire de recherche depuis les années 30 », Grundig c’est plutôt le son avec sa gamme monolith, et l’excentricité de sa télécommande aux formes carrées, Thomson avait des brevets et une expertise dans le matériel professionnel (caméras broadcast, régies de télévision, couverture des JO de 68 et 80), proximité avec RCA.
Il serait intéressant de voir comment les clients à l’époque ont fait leur choix, si la bagarre se faisait sur le prix, la formation des vendeurs pour dénigrer le concurrent, comment ils mettaient en valeur leurs modèles.
Et voir aussi les articles de la presse spécialisée au moment de la sortie des nouveaux châssis, les critiques de l’époque.
Je te remercie pour ta réactivité.
Ton site est vraiment impressionnant.
Je me souviens qu’un téléviseur Clarville faisait partie de ma famille dans les années 60. Mon oncle l’avait acquis en raison de sa publicité dans la presse écrite de l’époque, qui mettait en avant le procédé vidéomatic ou le nom du poste, ou un nom similaire. Malheureusement, cette télévision s’est révélée une sombre m…
Si tu as cette publicité particulière dans tes archives, je serais intéressé pour le côté nostalgique.
Pour être honnête, je ne savais même pas que Schneider n’était pas Philips avant la fin des années 70, il y a encore quelques mois. Je ne saurais absolument rien dire sur aucun châssis…
Dans ce que je possède, les seules pubs Clarville (bientôt Brandt si je ne me trompe) avec « Vidéomatic » que je possède sont (avec d’autres de l’époque) :
Oui voila c’est exactement cette pub avec la Tour Eiffel couchée.
Je m’en souviens maintenant.
Retour vers le passé…
Vraiment sympathique de ta part.
Pour te répondre sur mon sondage personnel, D.Trump va l’emporter d’après les avis de tout mon quartier.
Une bonne fin de journée à toi.
Oui, je possède un classeur de GGTVE concernant des TV NB du milieu des années soiixantes.
La documentation technique est déjà tout à fait dans le style de celles qui seront ultérieurement publiées par SCHNEIDER jusqu’à la fin de sa propre production. Ce qui me fait dire que SCHNEIDER s’appuya totalement sur les bureaux d’études de la CGTVE lors du rachat de cette dernière.
Il faut dire qu’avant ce rachat, les TV SCHNEIDER étaient étiquetés sur le dos « licence EMI ».
C’est à partir des premiers TV NB à circuit imprimés que l’on voit une grosse évolution technologique, on y retrouve les châssis typique de la CGTVE.
En fait, il y a eu pas moins de 5 générations de châssis couleur, ce qui fait qu’à une époque SCHNEIDER a été le troisième fabricant français.
Les 5212, 70 et 210 ont été parmi les meilleurs châssis couleurs produits en leurs temps.
Le 70, évolution à peine remaniée du 5212, a surement été le plus répandu, concurrent du CBB6 THOMSON et du TVC4 PHILIPS.
Je trouvais le style de ces téléviseurs assez raffinés, l’esthétique des premiers équipés du 70 sera même conservée jusqu’à ceux produits « sous PHILIPS » en TVC7.
Le « remaniement » a surtout consisté a rassembler sur une même grande platine F.I., Luminance et chrominance + BF (à transistors) avec sa propre alimentation stabilisée de 22 V.
Cette platine a évolué par la suite et a été équipée de 2 tuners VHF et UHF à varicaps
Cette platine sera réutilisée sur le premier (désastreux) 110° (Impérial & Sidéral)
Je n’ai pas encore fini Thomson…
Les 5 chassis Schneider si je comprends bien avant de rejoindre le TVC 7 sont approximativement:
5212 (1967)
70 (1969.70)
210 (1971.72)
811 (1973)
611 (1974.75)
TVC 7 et suivants (1976)
Je veux bien rajouter 5 pages sur Schneider, mais il faudra me faire les textes de presentation…
En général, je deteste parler de ce que je connais absolument pas !!!
Je trouverai les docs sur le grand livre en partie. je verrai ça la semaine prochaine
C’est pour voir si tu suis !!!
c’est encore une invention de Chat GPT comme d’hab…
en fait chat machin chose se nourrit de nos infos. Elle prêche le faux pour connaitre le vrai. et elle fait ça pour tout quand elle ne connait pas. C’est souvent folklorique et totalement inutile…
Mais comme je ne connais absolument pas, je ne pense pas que je le ferai. Il me faut au moins une base solide pour construire une colonne vertébrale avec les liens redondants. Et ça se construit des le départ. La, je suis trop dans le flou.
Sur ce, bonne soirée à tous. Serai la en fin de semaine prochaine.
Bonjour. J avais récupéré un TVC Schneider époque CBB6 équipé d un tube A66-120X.
Il fonctionnait bien mais comparé à la concurrence Philips et Thomson je lui reprochait 2 choses : l emploi de tubes série P avec filaments en série, et le chassis relié au secteur !