La dictature des smartphones

Tu as le droit de ne pas aimer et critiquer le président actuel , mais il faut rester objectif.

Les sondages, cela n’est certainement pas apparu avec le président actuel, cela fait des dizaines d’années que cela existe et que c’est utilisé par tous ceux que gouvernent…
Le president actuel aurait toutes les tares et les precedents uniquement des qualités, j’en doute.

La déconfiture de l’enseignement et de l’industrie française, cela date de bien avant la dernière élection. avec des manques de decision, une absence de soutien de nos industries, aucune anticipation, la recherche d’aujourd’hui c’est la supériorité d’un pays demain.

Gouverner, c’est prévoir et organiser aujourd’hui pour demain.

Indemniser un chômeur c’est indispensable à court terme. mais cela ne mène à rien à long terme sinon créer une generation d’assistés permanents avec une facture sociale de plus en plus lourde.

Former un chômeur, si nécessaire l’aider vraiment à se reconvertir, soutenir les entreprises à évoluer, avoir des universités et un enseignement de qualité, financer ++ la recherche voila des investissements qui peuvent permettre de préparer un avenir meilleur pour le pays .

Dépenser oui, mais uniquement si c’est un investissement pour l’avenir. Soutenir une entreprise qui finira dans le mur, c’est du gâchis d’argent public et de la dépense pour rien.

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Le Monde a publié un article récemment sur le monde des sondages et leur opacité, édifiant!!!

Einstein

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C’est parti pour :sweat_smile:

:wave:, ça n’est pas d’aujourd’hui !

https://images.app.goo.gl/E5L5xB1pTKqNLxKV8

:joy:
DG

J’ai vu à Hong-Kong des dispositions spéciales pour les piétons, qui marchent tous avec les yeux rivés sur leur smartphone. Les feux tricolores piétons sont reportés sur des bandes incrustées dans le trottoir, comme ça pas besoin de lever les yeux. Je crois que c’est pareil en chine. On n’arrête pas le progrès :nauseated_face: :nauseated_face: :nauseated_face:

Hongkong est en Chine…

C’est vrai et faux :slight_smile:

Réellement respectivement faussement vraiment : faux et vrai

Encore plus simple et plus rapide : j’ai découpé le morceau de papier sur lequel est imprimé le QRcode, un passage dans la plastifieuse, même plus besoin de déplier quoi que ce soit, ! Et il reste propre et bien lisible :slight_smile:

:wave:, encore plus immédiat, en choisissant bien l’endroit, comme le front ! :joy:

DG

C’est bien connu, qui veut noyer son chien l’accuse d’avoir la rage.
Attaquer le numérique en permanence, c’est oublier que le numérique se porte très bien, et fait le job très cite… à condition que les programmeurs des machines soient autre chose que des tocards…
Avec mon TRS80 (même pross que le ZX81) j’ai programmé ma première vidéothèque, avec mon MSX j’ai fabriqué un éditeur graphique (certes très loin de photoshop), et un système de gestion de caisse pour gérer les commandes de ventes dans un CE, comme quoi on peut y arriver.
Mais avec des bras cassés, on refait tout le système de gestion des soldes de l’armée française quitte à en entrainer un bon nombre au bord de la faillite :frowning: Combien de fois n’ai-je entendu « c’est de la faute de l’ordinateur » alors que c’était en fait exclusivement de la faute de la programmation ?

Nous avons en France l’exceptionnelle capacité à vouloir réinventer ce qui l’a déjà été, la palme d’or revenant incontestablement à l’éducation nationale, pas seulement à cause de son référentiel bondissant ou son bloc mucilagineux à effet soustractif mais aussi et surtout par sa capacité à imposer du nul, de l’impossible ou de l’inutile : pour rester dans le monde numérique cher à notre ami sloup, le VRAI NU MER DIQUE a été d’enseigner aux élèves un langage informatique révolutionnaire, le LSE (Langage Stucturé de l’Enseignement) que personne n’a jamais utilisé, puis le basicois (version francisée de l’universel Basic) et enfin le Logo (le truc qui fonctionnait sur les TO7 avec un crayon optique) alors que personne n’a eu l’idée de commencer par enseigner la typographie, moyennant quoi on continue à clavioter à deux doigts, quatre pour les plus évolués.

J’ai un super smartphone prêt pour la 5G, acheté le prix d’expédition d’un vieil ordinateur de collection, curieusement il est très discret car il n’y a ni facebouc, ni touitter, ni insta, ni pinterest et encore moins tiktok, je lui ai même refusé applepay, moyennant quoi il est très efficace pour téléphoner ou joindre ma famille en visio, pour rechercher sur la toile une info urgente ou filmer mes lancers au bowling afin d’améliorer mon positionnement ou photographier un truc intéressant le jour où je suis sorti sans mon APN.
Tout ça pour dire (et confirmer) qu’il est navrant de se priver de ces aides technologiques, mais plus encore de les rejeter en bloc ou d’en être esclave.

Et, matière à réflexion sur l’avancée de la technologie, au cours de son existence (78 ans) ma grand’mère a vu arriver l’électricité dans son village et aussi le premier homme qui a marché sur la lune !

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Aussi appelé par des profs de Supélec (ce sont des chercheurs de Supélec qui ont créé le langage. Juste une petite guerre entre services) : le Langage Sans Espoir.

Il y a eu aussi le projet SOL, un Unix français, créé par l’Agence de l’informatique. Je ne me souviens plus de la signification de l’acronyme. Peut-être Système pour le S et Opératoire pour le O.

Et en même temps, les écolos veulent diminuer la consommation des Français de 40%.
Alors que les carburants fossiles vont être interdits à terme, la voiture sera 100% électrique dans 13 ans, le chauffage au fuel et au gaz interdit… Tout le chauffage de toutes les maisons, immeubles, etc… sera électrique.

Et il y a des gens qui croient qu’on va diminuer notre consommation électrique de 40 % alors que tout va devenir électrique ?

Et alimenter ce boum de consommation électrique uniquement avec les moulins à vent qui ne fonctionnent qu’un jour sur quatre, et les panneaux solaires qui ne fonctionnent que les jours de beau temps, puisqu’ils veulent en même temps fermer toutes les centrales nucléaires qui fournissent aujourd’hui près de 80% de notre énergie électrique.
Et il y a des candidats à la présidence qui défendent cette utopie ?
Dans quel monde vit-on ?
:woozy_face:

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Ou un acronyme (loupé !) de SQL qui est lui très compétitif

Mais est-ce à L ce Q ?

Un monde aveugle :wink: : il y a un mur en face ! ! !

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Bonsoir,

Mon oncle, qui était prof à la fac de Nanterre, avait reçu un Logabax, grosse commande de l’Éducation Nationale pour les enseignants (c’était en fait un PC Olivetti fabriqué sous licence, l’EN n’avait même pas soutenu l’industrie française en commandant des PC Goupil ou Bull). Il n’a jamais été capable de s’en servir. Par contre, je m’'en étais servi pour écrire un Space-Invaders en GW-Basic :blush: . Il n’a vraiment pu utiliser l’informatique pour son travail que quelques années plus tard, après avoir acheté un Macintosh LC.

Je maîtrise un langage le ‹ Business Basic › issu du basic A (GW et pleins d’autres) et qui existe et est utilisé dans 53 % des ordinateurs de gestion pour les grandes surfaces et qui, est toujours ‹ rétro compatible › depuis sa première génération par MAI Computer aux US … ainsi que d’autre plus ‹ complets › comme le C et ADA, mais, côté pratique on ne veut pas en entendre parler : on fait encore tourner des programmes en Fortran (pourtant pas français non plus) ou Cobol dans des administrations françaises ! ! !
Tiens ? pas ceux cités français … pourquoi donc a-t-on dépensé avec l’EN ?

Le vieux Tryphon
.

Pour le Fortran, je ne sais pas s’il est encore beaucoup utilisé mais ses bibliothèques mathématiques, en particulier dans le calcul vectoriel étaient tellement abouties qu’il est possible qu’il y ait eu une difficulté de réécriture de certains programmes.

Pour le Cobol, la situation est un peu différente. Il y a le passif (tout ce qui a été écrit) mais il y a aussi le phénomène IBM. En France (et probablement, dans une grande partie du monde occidental), les grandes banques et d’autres institutions utilisent toujours des mainframe pour le back-end et sont toutes (pour celles que je connais) passées sur IBM dans les années 1990 (pour les quelques rares qui utilisaient du Bull, de l’ICL ou du Vax, si si).

J’ai travaillé sur des gros IBM dans les années 70. Et puis je suis passé à autre chose. En 2020, j’ai assisté à une conférence dont un des thèmes était la sécurité de MVS (le système d’exploitation de ces mainframe).

Et bien, rien n’a changé dans le vocabulaire a part qu’il y a 30 ans, lorsqu’on parlait d’Unix ou autres, on faisait la correspondance avec IBM alors qu’aujourd’hui, le conférencier était obligé d’expliquer MVS en faisant la comparaison avec Linux (il n’y avait que des Linuxien dans la salle, j’étais un des rares à comprendre les explications sans la traduction simultanée en vocabulaire Linux).

Et si, une autre chose, c’est la puissance de calcul monstrueuse des mainframe actuels. On n’est plus vraiment habitués. Et apparemment, une très grande fiabilité.

Évidemment,tout ça est compatible avec ce qui se faisait il y a 40 ans et plus et qui alors se programmait en Cobol dans le domaine de la gestion. Donc, matériel compatible et très puissant + système d’exploitation compatible + outils compatibles dont base de données, + fiabilité, etc, ça n’aide pas à changer de langage.

Donc, on cherche toujours des programmeurs Cobol (et on n’en trouve plus chez les jeunes car pas enseigné. Vous pensez, le Cobol…).

Bonsoir,

Il y a quelques temps j’avais vu des vidéos d’une étudiante de l’école « 42 » à Paris, dans lesquelles elle expliquait ce qu’elle faisait. Je pensais que dans une école « branchée » comme 42 ils apprenaient à programmer uniquement en Java ou en Python… Et non, ils programment en C pur et dur, en éditant le code source avec vi et en compilant sous shell Linux (pas d’environement de développement sophistiqué), comme j’ai appris à le faire il y a presque 30 ans (sauf que moi c’était sous AIX, l’Unix d’IBM)…