perso, je fais entre autres du montage vidéo en HD sur mon PC-tour + grand moniteur
pour faire ça avec un smartphone, il faut que je change mes doigts et mes yeux
si j’ai tout bien compris, il devrait être interdit d’écouter de la musique classique autrement qu’avec un disque vinyle…
voilà qui me laisse rêveur.
Je suppose que l’anti progrès devrait nous obliger à mettre dans nos autos des autoradios en bois…
Essentiellement pour effectuer des calculs! (ENIAC - Wikipedia). Je ne parle pas ici des machines conçues entre autres par Turing, pour déchiffrer des messages codés pendant la 2de guerre mondiale…
Je serais curieux de voir une pub présentant une chaine hifi se targuant de pouvoir se brancher sur le 600 ohms, et de savoir composer automatiquement le 15 ? (ou le 112 ?)
Comme quoi, il ne faut pas se fier aveuglément à tous les Wiki. Désolé, cette définition est incorrecte et est tiré du langage commun. Comme quand les journaliste parlent de cryptage!
codé vs crypté
les programmes de la TNT sont codés (MPEG4)
les musiques numériques sont codées (MP3)
les programmes payants sont cryptés : exemple, canal+, codé en MPEG4 et crypté pour ne pas pouvoir être décodés (par le récepteur) sans la carte de décryptage
Merci. S’il n’y avait pas l’utilisation du terme « crypté », ça serait parfait.
Autre tentative d’explication (dont l’explication de l’incorrection du terme « crypté »).
Soit la séquence « 636F64616765 » exprimée en hexadécimal. Si j’indique qu’il s’agit d’une séquence de caractère codée en UTF8, tous ceux qui connaissent l’UTF8 sauront que la chaine de caractères correspondante est le mot « codage ». L’UTF8 est un système de représentation (un codage, une convention) des caractères qui permet de les représenter et de traiter, en particulier, par un système informatique.
Si je ne précise pas qu’il s’agit d’une séquence de caractères, la séquence pourra tout aussi bien représenter le nombre 109330076624741 exprimé en base 10 : il faut préciser un contexte pour savoir ce qui est représenté par la séquence hexadécimale.
Et si je ne connais pas l’UTF8 mais que je sais que la séquence est la représentation d’une chaine de caractères, je pourrais reconstituer le système de codage UTF8 pour peu que je dispose d’une « pierre de rosette ».
Le chiffrement a pour but de rendre une information (quel que soit son codage) inexploitable (inintelligible) pour qui ne connait pas un secret qui pourra la rendre exploitable (intelligible) via une opération de déchiffrement.
Le fait de tenter de retrouver l’information chiffrée sans connaitre le secret s’appelle l’analyse cryptographique ou plus simplement, la cryptanalyse ou parfois, le décryptage.
Si le procédé de chiffrement / déchiffrement (l’algorithme cryptographique) est correct, il n’existe pas de pierre de rosette permettant de passer du « clair » au « chiffré » et inversement.
Le verbe « crypter » est un non-sens inventé par les journalistes qui n’y connaissent rien et qui afflige les cryptologues. Si on tentait de lui donner une signification, il s’agirait de chiffrer une information sans aucun moyen de faire l’opération inverse (la déchiffrer). L’utilité de cette opération n’a pas encore été trouvée !
Oui, c’est triste… Mais bon, on ne peut pas en vouloir à Larousse et d’autres de ne pas connaitre la crypto…
Ça reste un domaine assez « cryptique » pour la plupart des gens. Et si la France n’est pas le pays le plus mal placé à ce sujet, elle a quand même été un des plus dur dans sa réglementation, jusqu’en 2000.
Dans les années 1970-1980, les bouquins de crypto en langue française étaient toujours en réédition (comprendre, au catalogue mais non disponibles). Il y a d’ailleurs quelques anecdotes marrantes à ce sujet. Ceci peut expliquer une certaine inculture locales. Le pourquoi ? Voir le décret loi de 1939 qui classe la crypto dans les armes de deuxième catégorie. Je vous conseille de regarder ce que sont les armes de deuxième catégorie. Ce ne sont pas les couteaux de cuisine
Pour ceux que ça intéresse, un très bon bouquin d’introduction sur le sujet: histoire des codes secrets de Simon Singh. Bigre, il utilise le mot « Code » (mais secret). C’est normal dans son cas car il aborde également d’autres moyens que la crypto. Il a existé des systèmes simples visant à « cacher » l’information (par exemple, la stéganographie) ou la rendre difficilement « décodable ». Mais globalement, ça ne fonctionne pas très bien sauf dans des cas très particuliers.
Bon, j’arrête là, on pas mal dérivé par rapport au sujet du post.
Après avoir parcouru dernièrement et très rapidement les derniers commentaires et analyses qui abordent le sujet audiophilie , je vous avoue ne rien comprendre et ça ne me passionne pas
Bonjour l’ami,
Je suis vraiment étonné pour l’ensemble de tes affirmations! j’ai écouté pas mal de systèmes et l’on sent la dif ! 100euro pour un ampli ou un raspberry comme dac, c’est un blague certainement!
Je suis vraiment ouvert à tout les testes audio que tu veux ! avec grand plaisir car il est possible que cela soit dans ma tête ! et j’aimerai vraiment le savoir.
Concernant les cables, je reconnais qu’il y a de l’abus mais en lisant la discusion, je conseil vraiment aux pseudo-ingénieur electronicien et autres spécialistes de la physique des supra-conducteurs d’aller faire un tour dans un laboratoire et vous verrez que tous est blindé au minimun ou que l’on place tous dans des cages de faraday !
Je fais du traitement signal et les hauts fréquences sont pas forcément là pour être entendu mais plutôt donner de la structure au signal et le bruit peut vraiment noyé beaucoup d’infos qu’il est possible d’entendre dans le spectre audible.