Les trouvailles du samedi

vous avez bien dit " bordel " ???

Comme au 22 rue Bayard - de nombreuses années siège de " radio Luxembourg - le 9 décembre 1909 vers 23 heures , le temps d’ une soirée :slightly_smiling_face:

http://www.radiotsf.fr/rtl-rue-bayard/

Nous avons la chance d’avoir de fins connaisseurs

Leur jeunesse leur revient en mémoire…

euh , en 1909 , même mon père n’ était pas né !

Et le 13 avril 1946 - loi Marthe Richard - j’ avais juste 1 an et demi ! :wink:

Par contre du temps de " madame Claude " , milieu des années 1970 , qui avait son officine rue de Boulainvilliers dans le XVIème à Paris , je bossais à 1500 m de là , dans une filiale de Thomson DRT pour le compte d’ un GIE qui s’ appelait " Téléréseaux " !

Comme je l’ai déjà écrit à de nombreuses reprises à destination de Pierrot du 82 qui s’obstine à colporter cette contre vérité : Avant Marthe Richard, c’est à dire avant la loi de 46, ces postes en miroir n’existaient pas encore. Ce sont des productions de la fin des années 40 qui étaient destinées à tout un chacun qui voulait les acheter.

bonjour

Le ALT C500 que je possède , et dont j’ ai fait la fiche

https://www.doctsf.com/grandlivre/fiche.php?f_ref=20600&ori=ps

est d’ année non connue :frowning_face:

Année avant la loi Marthe Richard ou après , ça reste un mystère .:confused:

Mais vu le jeu de lampes , ça pourrait être quand même avant ! :wink:

On a toute la plage entre 1936 et 1951/52 au choix !!!

Des avis pertinents pour le dater ??? les débats sont ouverts !

Bonjour,
Dommage que les miroirs n’aient pas de mémoire, ça nous aurait bien aidés !!!
cdt,
gérard

Il y a un dicton qui dit " les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer les images " , mais ils n’ ont pas de cervelle , donc pas de mémoire :frowning_face:

Je vous trouve bien catégorique sur un sujet mal connu…
Sous la 3ème République, ces maisons de tolérance, souvent luxueuses, fleurissaient un peu partout en France et faisaient appel à des artisans spécialisés, et on peut penser que des artisans radio s’y sont mis aussi !
De plus la loi Marthe Richard n’a pas aboli la prostitution ni supprimé les prostitués et cette tradition du poste de boudoir a duré au moins jusqu’à l’arrivée du transistor !

il faudrait retrouver des photos des " boudoirs " ou chambres dans lesquel(le)s ces dames recevaient à l’ époque … il doit bien en exister cachées qq part dans des tiroirs ou des archives ! :wink:

Bonjour !
Bah pour le bac, c’est surtout les maths qui m’ont posé problème …
Sinon le reste ça devrais le faire, après j’espère pas une mention très bien :wink:
On verra bien, les résultats sont le 6 juillet

bonjour Louis

Ah oui et ça peut bien être quoi des maths en 2018 ??, différentes ou pas des maths de 1960… ??

C’est un peu avec ces postes en verre comme pour le Radiola “Le Corbusier”, Les paroles s’envolent mais les écrits restent. A force de voir écrit partout que ce Radiola a été dessiné par Le Corbusier, c’est devenu une quasi vérité pour beaucoup de monde. D’où l’intérêt d’écrire le contraire avant que la réalité ne soit noyée dans le flot des informations fausses.
Dans tous les cas, ceux qui se saisissent le plus spontanément de ces “vérités alternatives” poursuivent un but mercantile : une signature prestigieuse ou un passé “croustillant”, c’est toujours mieux pour vendre.
C’est ainsi qu’un poste Miroir “Luxalu” a été vendu il y a 2 ans à Chartres comme provenant du “0ne Two Two”…l’appareil apparait dans les pubs en 49 et le One two two a fermé en décembre 45 (cherchez l’erreur).
Pour le ALT, c’est pareil, vers 49/50 (voyez les boutons)
Bien entendu il y a surement eu des postes de ce genre dans des chambres de prostituées…mais il y en a eu aussi dans des loges de concierges. Parler de “poste de boudoir” me semble beaucoup plus juste.

Salut Eric !

Ah oui, le Luxalu à Chartres ! La discussion dans la salle de vente ( au moment de la présentation de l’engin) avait été épique ! :slight_smile:
Dommage que le miroir du dessus était cassé, c’était un bel appareil.

Le ALT , j’ en ai un second exemplaire , récupéré d’une autre source 2 ou 3 ans après le premier , mais bien plus défraichi , le miroir supérieur abimé ( le tain est partiellement dans un coin marron / oxydé ) , deux des oreilles en verre rose latéraux sont manquants ( il faudrait que je demande au miroitier local de m’ en retailler deux de remplacement !!! ) , mais ils ont tous les deux les mêmes boutons , qui donc doivent bien être ceux d’ origine :wink:

Bonjoiur mr Boulet,
Ah oui, je pense bien car par exemple pour les probabilités, la calculatrice fais beaucoup de choses à notre place, encore faut il savoir l’utiliser :wink:

bonjour Louis

Quand j’ ai passé mon bac , les calculatrices n’ existaient pas !

Je me demande d’ ailleurs - je ne me souviens plus - si on avait droit d’ utiliser simplement la " règle à calcul " , qui je pense ne s’ utilisait qu’ après , à partir de la " prépa " aux grandes écoles !

Mon grand père m’ avait donné la sienne quand j’ ai eu mon bac, en bois recouvert d’ une couche d’ ivoire , comme les touches de piano … L’ ivoire était encore communément utilisé à l’ époque pour fabriquer ou recouvrir des objets .

Quand j’ ai passé le mien (BAC Pro) au milieu des 70’ s à PROVINS, les calculettes étaient interdites (je dois avoir encore ma CASIO de l’ époque): on avait droit tout de même à la règle à calcul et à la table de trigonométrie ainsi qu’ au pied à coulisse et au palmer pour la techno.

A +.

bjr,
la première calculatrice électronique de poche que j’ai vue c’étais en 1970: elle valais plus de 1000 francs de l’époque!

La première calculatrice scientifique de poche que j’ ai vue était en fin 1969 , une HP35 , qui valait plus de 3000 francs

Le chef de service en avait fait acheter une pour l’ ensemble du service . Il y avait un modèle plus performant si je me souviens bien , la HP45.

rectification : Wiki dit que c’ est en 1972 !!! quand je suis donc rentré de mission de 18 mois à Lorient, dans le même service qui m’ avait embauché en 1969 à ma sortie du service militaire.

Ça commence ce à faire loin !!!