Bonjour,
tous ces éléments chiffrés ainsi que les commentaires associés sont vraiment intéressants.
Merci pour ces informations concrêtes qui peuvent aider à prendre la décision de franchir ou ne pas franchir le pas pour une telle installation, qu’elle soit en auto-consommation ou non.
Sauf erreur, cette affirmation est fausse. Le compteur Linky mesurant l’électricité consommée et celle injectée dans le réseaux.
Bonjour
Je parle de la situation en Belgique francophone, ou je vis. Les nouveaux compteurs « intelligents » (mise en service de tous ces compteurs prévue pour 2030 et j’ai bien écrit « genre des Linky ») ne décompteront plus l’énergie renvoyée sur le réseau.
Donc, encore une fois situation belge, non seulement on paye déjà maintenant une taxe de réinjection (proportionnelle à la puissance de l’onduleur et non celle réellement installée, allez comprendre) mais en plus ce qui sera injecté ne sera plus ni rémunéré (fin des certificats verts) ni même décompté des consommations des ménages.
Il est fort probable que nombre d’installations qui tomberont en panne ne seront plus réparées à partir de ce moment-là.
Deux messages vont dans le même sens:
C’est sûr que EDF est content. recevoir de l’énergie gratuitement et la revendre plein pot.
Mais c’est pas grave, même si c’est une goutte d’eau cela aide un peu la planète
et
EDF est d’ailleurs le grand gagnant dans cette affaire, il récupère gratis l’énergie injectée par ceux qui sont en auto-consommation connectée…
mais sur ce sujet que je connais un peu mieux que la réparation de postes radio, et bien en fait ce n’est pas si simple, et je vais parler d’un truc dont on ne parle pas beaucoup:
Il faut maintenir en permanence un équilibre production<->consommation à chaque instant, chaque dixième de seconde, à l’échelle du réseau européen, et dans l’équilibre des capacités des lignes électriques.
EDF (ou plutôt RTE d’ailleurs) est content lorsque l’électricité est utile et évitant de cramer du gaz ou de lacher de l’eau dans les barrages. Mais lorsque plein de producteur balance dans le réseau du surplus d’électricité solaire, en général tous en même temps à l’échelle européenne, pour peu qu’il y ait aussi un peu de vent dans les éoliennes, on arrive souvent à un gros surplus d’électricité: l’électricité produite devient une pollution pour le réseau, les prix deviennent négatif (les producteurs doivent payer, imaginez si c’était ajouté sur les factures…), et EDF doit ralentir/arrêter ces centrales rapidement, éventuellement en injectant du bore dans les circuit primaires.
Au passage, les circuits secondaires subissent des fatigues mécaniques et thermique occasionnant des maintenances plus lourdes/fréquentes. Bref, EDF n’est pas du tout content.
Et si la production intermittente baisse (nuit/nuage/vent), la réactivation n’est pas aussi rapide, donc c’est plutôt des centrales au gaz qui prennent temporairement le relais, à minima le temps de nettoyer le bore des circuit primaires.
Pour un aspect environnemental, les auto consommateur ne devrait pas aller au delà de leur talon, ou de ce qu’il sont capable de piloter avec un chauffe eau ou une voiture électrique, tel qu’évoqué + haut.
Au delà, en cas d’injection, ils polluent sans même s’en rendre compte, et haut delà de ce qu’ils injectent.
Si l’injection était rémunéré dans les 2 sens au vrai tarif, les auto-consommateurs auraient de sacrés surprises sur leurs factures… et finalement le système actuel est bien avantageux!
Et c’est EDF et ses clients (et contribuables) qui payent la différence.
« Finalement le système actuel est bien avantageux! »
Avantageux pour l’usager?
Cette conclusion « un peu à l’emporte pièce » demande des explications sur les données financières que tu prends en compte.
J’en doute fortement et l’on est trés loin de la transparence des couts.
Jeu de dupe ou l’on fait payer l’autre et ou les taxes, subventions et prélèvements divers qui sont largement oubliés dans les presentations vertueuses pour justifier l’augmentation du prix de vente de l’électricité.
Rien n’est idéal, mais je ne vais pas pleurer sur les profits de EDF.
Comme je l’ai déjà dit je ne suis ni pour ni contre une solution, simplement quand j’entends les promoteurs du photovoltaïque, de l’éoliens ou du nucléaire, chacun vantant sa solution comme étant la meilleure et la seule réalisable à l’exclusion de tout autre, j’ai l’impression que l’on a un beau discours bien ficelé et que c’est trés loin d’une réalité technique.
Le message de johannol confirme donc mes craintes, notre production d’électricité nationale, essentiellement par du nucléaire, est peu compatible avec les énergies renouvelables et leur intermittence.
On ferait sans doute mieux de mettre toutes nos forces dans la création d’un nucléaire propre…
cdt,
gérard
Un réseaux 100% nucléaire ne fonctionnerait pas ! Comme il faut en permanence équilibrer la production et la consommation il faut disposer d’une partie de la production modulable très rapidement… et comme ce n’est pas le cas d’un réacteur nucléaire il faut obligatoirement d’autres sources modulables plus rapidement.
Cela ne confirme rien.
Oui, théoriquement le photovoltaïque pourrait déséquilibrer le réseau, cela reste trés théorique.
En gardant les pieds sur terre, et d’un point de vue pratique, la puissance photovoltaïque injectée dans le réseau par les installations domestiques est ridiculement faible et ne mets pas en péril la stabilité du réseau ni les installations nucléaires.
Le 100% nucléaire n’est pas possible techniquement, tout comme vouloir une production 100% photovoltaïque.
Le nucléaire est une base solide pour la consommation prévisible, par contre le désinvestissement depuis 40 ans sous la pression des écolos, le manque de recherche et la perte de savoir me semble assez préoccupant pour la filière nucléaire.
Les difficultés de Flamanville ne sont pas un detail mais un révélateur de cette perte de savoir, mais aussi de vouloir faire du nucléaire en réduisant les couts.
Faire du nucléaire aussi propre que possible oui, mais uniquement à condition d’accepter d’en payer le prix et ceci en toute transparence.
Bonjour, si je peux me permettre, @guilhem n’a pas parlé de 100% nucléaire. Il évoquait, et c’est un autre vaste sujet, la possibilité d’obtenir de l’électricité nucléaire de façon + propre( traitement des déchets notamment)
C’est probablement un voeu pieu mais je lui ai collé un « j’aime « pour ça.
@+
Selon l’horaire où il injecte dans le réseau, oui. Imagine s’il injecte lorsque les tarifs sont négatifs, on lui facturerait. Après, avec le recul, j’ai peux être exagéré avec le « bien avantageux », car je n’ai jamais vu d’étude creusant et chiffrant ce point sur tout les aspects (prix variable négatif, coût du pilotage, coût du gaz, prix du carbone associé au gaz…), mais ce n’est pas certainement pas un « cadeau à EDF » valant prix_du_MWh multiplié par nombre_de_MWh tel qu’on peut souvent le lire.
Je te rejoins lorsque tu dis que les installations domestiques ne mettent pas en péril, ceux qui sont pointés du doigts pour les périodes de surproduction incontrôlés sont les fermes photo-voltaique tel qu’elles se développent en Espagne.
Mais en vrai, la part venant des particulier n’est même pas identifié par Enedis, ni identifiable d’après un gestionnaire de réseau avec qui j’avais échangé, donc la certitude là dessus, comment dire, voilà…mais je pense comme toi « par défaut »: négligeable pour l’instant
Mais la stabilisation n’est pas un problème théorique, pour les gestionnaires de réseau, il y a des pb pour stabiliser un réseau à + de 40% d’intermittent (éolien/photovoltaïque) sans grosses machines tournante (hydro/gaz/nuc/charbon/bois…) ajoutant de l’inertie par la masse des machines.
On n’y est pas encore en Europe, mais un auto producteur qui ne produit que son talon et ce qu’il est capable d’absorber en pilotant sa conso ne pose pas de problème aux autres, c’est très bien Et si on évite les excès de la Californie, tant mieux.
Citation
Comme je l’ai déjà dit je ne suis ni pour ni contre une solution, simplement quand j’entends les promoteurs du photovoltaïque, de l’éolien ou du nucléaire, chacun vantant sa solution comme étant la meilleure et la seule réalisable à l’exclusion de tout autre, j’ai l’impression que l’on a un beau discours bien ficelé et que c’est très loin d’une réalité technique.
Ces discours mono-techno, en général politique ou commerciaux, qui ne prennent pas en compte l’ensemble du système sur l’aspect technique et financier, sont purement et simplement à ignorer.
Pour ceux qui s’intéresse au sujet, le rapport RTE « Futurs énergétiques 2050 », même si la prévision de conso est aujourd’hui jugé trop faible, vaut la lecture car c’est une vision complète qui a été étudié.
Par complète, c’est le mix complet, les lignes électrique, la météo sur 30 ans avec prise en compte du réchauffement climatique, la stabilisation du réseau, les matériaux nécessaire, la maturité des techno, etc…
Sur ce rapport, on peut avoir une diversité l’opinion sur les choix à faire, mais mon avis là dessus suite à ma lecture et a des retours de spécialistes, c’est que même en mettant le paquet autant sur le nucléaire que sur les ENR, le stockage et les économies d’énergie, on n’évite même pas les très gros problème potentiel à partir de 2030-2035. Et qu’en écoutant les militants anti-machin ou anti-truc, on va juste direct dans le mur… et que même en utilisant TOUTES les techno possible, ce n’est déjà pas gagné. Et ce n’est même pas un problème d’argent, mais du nombre de personne qu’il faudra former, du temps pour construire et déployer…
Le 100% nucléaire n’est pas possible techniquement
En fait, en mode discussion de bistro, on pourrait techniquement, et avec des techno existante, mais en mixant des gros réacteurs, et moyens, et un bon nombre de très petits comme ceux des sous marins.
Mais une partie ne serviraient que quelques heures par an, et vu que le nucléaire coûte en coût fixe de construction, ce serait ultra méga coûteux pour un bénéfice quasi nul.
Aucun pays n’envisagera un truc pareil, le 100% nuc, c’est un truc de base lunaire
Le système historique français qui à décarboné en un temps record son système électrique (record à comparer aux excellent suédois aussi), c’est une grosse part de nucléaire, de l’hydraulique à la demande pour les pic, de l’hydraulique en stockage step pour absorber les surplus, et pour gérer l’ultra-pointe quelques heures/jours en fossile. Les anciens avaient bougrement bien bossé, et c’est bien dommage de constater la procrastination qui a suivi. On aurait pu avoir depuis + de stockage hydraulique, de l’ultra pointe en bio-sourcé (turbine bois par exemple), la sur-génération, etc
Et en ce moment, suite à l’hiver dernier: on va maintenir 1800MW de charbon dont on avait annoncé la fermeture, ce n’est même pas suffisant pour exclure les risques de coupures.
Je ne suis pas totalement pessimiste: lorsqu’on atteint le fond de la piscine, parfois on remonte, et plein de trucs semblent montrer une amorce de rebond, mais pas gagné.
Johannol,
+1
Mais pourquoi après avoir eu des génération de techniciens et d’ingénieurs inventifs (et doués), cela s’est arrêté en route avec des décennies à se regarder le nombril?
Plutôt que de transmettre le savoir des anciens vers des ressources internes pérennes avec une formation de haut niveau, c’est devenu sous-traitance au moins cher, formation minimaliste et disparition de certaines formations spécialisées.
Est-ce du au pouvoir des « économistes » et « financiers » obsédés par la réduction des couts et la recherche du profit à court terme, la pression des écolos, les pouvoirs publics?
Chacun porte sans doute sa part de responsabilité.
« Mais la stabilisation n’est pas un problème théorique, pour les gestionnaires de réseau, il y a des pb pour stabiliser un réseau à + de 40% d’intermittent (éolien/photovoltaïque) »
Bien sur que piloter un réseau est un métier compliqué, je n’ai jamais dit le contraire.
Ce que je dis, c’est que la production photovoltaïque domestique, c’est un appoint presque ridicule, qui actuellement ne mets pas en péril l’équilibre du réseau.
il y a peut être quelques problèmes locaux dans des cas trés particuliers, mais dans ce cas les onduleurs limitent la puissance injectée et pas de soucis
Un gros boulot pourrait être fait avec des actions pour pouvoir piloter du coté consommation avec une tarification incitative.
Espoir avec le Linky, qui s’est perdu en route.
Une refonte complète de la manière de vendre/tarifer l’énergie pour tenir compte de la réalité des couts et de la dispo ou de l’excès de la production serait peut être utile.
Pourquoi rester avec une tarification jour/nuit avec des horaires fixes identiques tous les jours, que je qualifie de « préhistorique »
Si dans la journée, il y a un manque de conso et une grosse dispo nucléaire/photovoltaïque/éolien pourquoi ne pas offrir un tarif incitatif pour piloter la charge des voitures électriques ou autre gros consommateurs.
Si ma voiture électrique qui est branchée sur son chargeur toute la journée et toute la nuit, était pilotée dans un mode collaboratif avec un tarif variable adapté plutôt que sur un prix fixe à horaire fixe, cela permettrait à EDF de vendre plus cher pendant les moments d’excès de production et à moi de consommer cet excès en payant beaucoup moins cher. (je ne demandes pas que l’on me donne de l’argent car je participe à la stabilité du réseau)
Autre avantage, la voiture chargée pendant les excès de production ne demanderait plus du tout d’énergie pendant les pointes de conso.
Arriver à lisser la conso pour limiter les pointes et creux de conso, ce serait un trés gros avantage pour EDF.
Le moyens mis en oeuvre pour passer les pointes de conso coutent trés cher, ils sont utilisés peu d’heures dans l’année, avec un cout du MW trés élevé, j’oublie volontairement la pollution. Soyons transparents et incitons par le porte monnaie à consommer moins à ces moments.
Cela me semblerait plus réaliste que de compter sur la bonne conscience de chacun avec des messages incitant au civisme de la télé.
Les appareils électriques gros consommateurs, s’ils étaient pilotables pourraient aider EDF à limiter les pointes brèves de conso en décalant leur conso, il y en a dans les maisons: ballon eau chaude, chargeur de voiture, pompe à chaleur, chauffage électrique.
Sauf qu’aujourd’hui les fabricants de ces produits ne travaillent pas du tout sur un mode collaboratif et coté ENEDIS cela n’est pas incitatif d’un point de vue tarifaire.
Bonjour à toutes et tous,
Je voudrais apporter ma modeste pierre à l’édifice en tant que « jeune » producteur de P.V. (4 mois et 1/2)
Je cite:
A ce niveau il y aurait quelque chose à développer par les constructeurs : un genre de « bus » reliant ces électroménagers, chauffe eau,… pour les démarrer quand les conditions de production sont optimales (données des onduleurs et d’un site météo par exemple).
Ce « bus » de contrôle existe sur l’onduleur et permet par exemple de forcer la consigne de température du chauffe-eau thermodynamique de 50°C (t° normale) à 65°C dès que la production P.V. dépasse une consigne. D’autres appareils peuvent être pilotés.
Pour ce qui est des compteurs à disque versus type Linky, actuellement les anciens compteurs mécaniques additionnent et soustraient les consommations et productions et donc affichent une valeur résultante (en général positive selon l’installation P.V.)
Les « Linky » affichent des index différenciés consommé/injecté mais jusqu’en 2030 la facturation s’établit sur la différence des 2 relevés.
Pour ce qui est de:
taxe de réinjection (proportionnelle à la puissance de l’onduleur et non celle réellement installée, allez comprendre)
ceci me semble normal. Pour des raisons de rendement/rentabilité l’onduleur est dimensionné plus petit que la capacité de production des panneaux. Mais c’est l’onduleur qui est relié au réseau et qui établi la puissance maximale possible, pas les panneaux.
C’est sa caractéristique qui établi la base (critiquable ou pas) de la taxe de réinjection.
Pour ce qui est du pilotage de la fréquence du réseau (et donc de l’équilibre production-consommation) il est vrai que c’est un problème assez sérieux.
Je ne peux parler que de la situation et l’historique de la petite Belgique.
Avant il y avait une multitude de centrales de production classiques dont les unités avaient une puissance comprise entre 25 et 240MWh (souvent 125MW). Ceci permettait une certaine souplesse de réglage. De plus il était impératif de garder une certaine réserve de puissance en secours, en cas d’incident.
J’ai vécu l’évolution de cette situation de départ: les petites unités n’étaient plus assez rentables et bientôt le parc de production a diminué en nombre et augmenté en unités plus puissantes. « On » a fermé les 125, puis 300MW. Là nous en sommes bientôt à 640 à 800MW et plus par unité. C’est peut-être plus rentable mais moins souple. Les unités de secours et de pointe n’ont plus étés maintenues car grâce à l’interconnexion des réseaux elles n’étaient plus nécessaires (sic !)
Voilà en résumé.
Pour ce qui est de l’avenir, je n’ai pas de boule de cristal mais le stockage step est une des solutions à soutenir ainsi que le stockage particulier (voiture électrique ou batteries dédiées)
Dans la partie néerlandophone du pays, l’installation de batteries est favorisée par des aides et la tarification de la consommation est variable: un tarif « normal » jusqu’à 4KW/h et au tarif hautement dissuasif au-delà.
Restons positifs, nous n’avons pas tellement le choix.
Donc ceci concerne la Belgique @TDS ?
Car vous n’avez pas renseigné la localisation dans votre profil …
Oups ! oui en effet et pas loin de Thierry.
Mon « pari » dans l’installation de P.V. est que le prix de l’énergie ne descendra pas ( ou plus )
TDS,
Sacré pari.
Pour moi, la seule chose dont on je suis certain, c’est que, prévoir l’avenir est impossible.
alors faire des plans sur la rentabilité à quinze ou vingt ans c’est bien difficile.
Mon choix:
Dépenser pour comprendre l’intérêt ou pas du photovoltaïque.
Me rendre compte par moi même des problèmes et solutions.
Echanger avec ceux qui sont pour mais aussi avec ceux qui sont contre.
Quand à savoir si c’est rentable, le bilan sera déjà bien difficile à faire dans 10, 15 ou 20 ans alors faire des projection sur une rentabilité me semble bien difficile.
Peut-être que cela me fera économiser un peu, peut-être que cela m’aura couté un peu plus que de ne rien faire, peut être même beaucoup plus, mais j’aurais « un peu » évité de polluer: moins de fioul, charbon ou gaz brulé et un petit peu moins de déchets nucléaires à laisser aux futures generations. probablement une petite goutte d’eau mais cela sera ma petite contribution.
Un PDF sur les panneaux photovoltaïques :
lobbying ou information? je me pose la question.
Les auteurs de ce document; « Un petit groupe de chercheuses et de chercheurs du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et de la Fédération de Recherche Photovoltaïque (FedPV) »
C’est assez gênant cet anonymat.
Je voudrais bien savoir si l’information fournie est validée par le CNRS ou si c’est l’avis de personnes prétendant appartenir au CNRS.
Cet anonymat est assez curieux.
Toutes les publications du CNRS sont enregistrées avec l’identité des auteurs. Les publications c’est une partie de ce qui valide la progression de carrière.
l’injection d’énergie électrique d’origine photovoltaïque cause des soucis à ERDF.
Rien concernant ce souci dans le document
Sur la dernière page il est indiqué :
«Ce document a été édité grâce au soutien du CNRS, du Centre de Nanosciences de de
Nanotechnologies (C2N), de l’Institut Photovoltaïque d’Ile-de-France (IPVF) et de la Fédération de Recherche Photovoltaïque (FedPV)»
En ce qui concerne l’injection dans le réseaux voir, entre autre, pages 57 et 66
Les pages 57 et 66, c’est un survol qui semble balayer toutes les difficultés posées.
C’est trés léger pour le sujet de l’injection et les problèmes causés.
C’est un document destiné au grand public, pas un document pour spécialiste qui ne ferait pas 71 pages mais plus de 300.