Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesTombé du pont ?
J’ai pourtant été ingénieur libéral, mais quelque chose à dû m’échapper car je n’ai jamais connu ce cas de figure.
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C’est vrai mais quelle ligne !
Le moteur est héritier de celui des Dyna, poussé aux limites, d’où une fiabilité qui laissait à désirer.
Mais, comme les Dyna, elle avait un appétit d’oiseau pour l’époque.
Quant à la fragilité de la caisse, elle est en partie due aux montants de pavillon très fins. Il n’aurait pas fait bon faire un tonneau avec (mais elle tenait la route, contrairement à la Dauphine avec laquelle je suis passé sur le toit en plein centre de Lyon, sans dommage corporel car le pavillon était costaud). 
Oui, mais avais tu monté un cabinet d’études techniques aussi ?
Dans ce cas, si les contrats sont faits au cabinset, le bénef est ainsi calculé et revient à la personne physique !
Qui, elle, paye son impôt sur le revenu aussi !
Mais mon poisson est frais ! ! !
LUI ! ! ! 
Je n’ai jamais eu que des cabinets d’aisance en ce qui me concerne. Mais ça devient trop compliqué pour moi.
C’est qu’est-ce que je dis au dessus :
Il est frais, mon poisson, il est frais ! ! !
Nan : si on ne veut pas trop payer sur des contrats moraux (cas des MP) on a intérêt à faire passer leur CA par une entité morale car elle, peut déduire le maximum des frais impliqués . . . de manière à minimiser son bénéfice . . . et donc ce qu’elle reverse à la personne ou aux actionnaires . . .
Mais, eux ou lui, payent sur ce revenu (bis repetita)
Et, en terme de pubicité, la presse suit un cabinet d’étude, difficilement un pôv clampin
Ce qui amène les administrations à prendre en compte plus facilement les contrats proposés
Mais non !
Il doit mettre au maximum le prix appliqué par ses concurrents immédiats.
C’est pas tout à fait la même chose.
Et quand ses concurrents sont des supérettes voire des supermarchés, il n’arrive plus à vivre.
C’est ainsi que depuis 55 ans que j’habite mon quartier, j’ai vu disparaître un à un, 2 boulangeries, 1 charcuterie, 2 boucheries, 3 fruits et primeurs, 2 salons de coiffure, 1 marchand de vin épicerie, un kiosque à journaux, un magasin de couture, 1 librairie, 1 poissonnerie, et même 1 bar.
Tous ces magasins ont été transformés en appartements, sauf le kiosque à journaux qui a été démonté.
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A part qu’il ne peut pas se le permettre, parce que quand il s’arrête il ne gagne plus rien.
Contrairement au salarié qui bénéficie de toute une panoplie de congés pour événements de famille.
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Il ne me semble pas avoir lu quelque chose sur la nouvelle race d’entrepreneurs, les intermédiaires en tout genre !
- les « place de marché ». La plupart des grandes enseignes le font.
- les chaînes de magasins, ou plutôt les franchises. Voir le nom d’un animateur TV sur les agences immobilières.
- les « organisateurs ». AirB&B, Uber, …
Ces intermédiaires pompent une partie du chiffre d’affaire qui passe par eux en contrepartie de leur visibilité et éventuellement de quelques services.
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Bonjour,
Bon, il y a une grande part de vrai dans tout ça …Mais le topic s’est généralisées aux petits commerçants en général, du type boulangerie, primeur, épicerie, kiosque à journaux, voir magasin de petit électroménager (qui eux aussi n’arrivent plus a vivre)
Le problème , c’est que ce n’est plus vraiment comparable … Pour les petits commerçants de proximité vendant des produits de consommation courante, on trouve tout (ou presque) dans les supermarchés (et à moins cher ! quoique cet avantage du prix plus bas s’accompagne souvent d’une moins bonne qualité …)
Bon, ça va de la baguette de pain au sèche cheveux en passant par les melons, le cassoulet , les piles électriques, ou les bouteilles de pinard, ou les tomates …bien mûres ou pas , O.K
Bon, on trouve tous ces produit au même endroit , quoique, dans ces magasins souvent immenses …On peux faire l’équivalent de plusieurs kilomètres pour chercher les produits (surtout si le dit supermarché a eu la « sombre idée » de chambouler l’agencement et l’ordre de tous ses rayons" ! ) et c’est plus pratique …Ou ça a l’air de l’être, OK.
Mais …
Si on cherche une vieille horloge, un piano droit, un phono mécanique, une vieille soupière, ou un poste de T.SF ? On ne peux plus dire que ce sont les supermarché le problème …Puisque aucun supermarché ne vend ces types d’objets !
(Objets qu’on ne trouve que dans les dépôt ventes , sauf qu’il disparaissent quasiment tous …Et quelques brocanteurs ayant pignon sur rue, qui règrèssent eux aussi, mais arrivent curieusement un peu mieux à subsister …)
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Combien de clients potentiels cherchent ce genre de produits? pas beaucoup…
Combien sont-ils prêts à payer pour ces objets? le moins possible et si c’était gratuit ce serait encore mieux…
Un commerce dépôt vente peut-il vivre de son activité, s’il ne propose à la vente que des vieilles horloges, des pianos droits, des phonos mécanique, des vieilles soupières, ou des postes de T.SF ?
non tout simplement.
Il faut proposer à la vente des produits qui sont recherchés, que le client accepte de payer le bon prix.
c’est pas gagné aujourd’hui.
Près de chez moi , il y a une " ressourcerie " qui propose comme Emmaus des objets anciens , mobilier , vaisselle , bouquins , ordis , ou tout ce qu’ on leur apporte encore en état , et donnés .
Comme ils ne paient pas les objets , sans doute ils peuvent encore vivre .
On y trouve parfois de super bouquins à 1 euro !
J’ y ai récupéré il y a qqs années un meuble Radiola ,
mais c’ est assez rare qu’ ils aient des radios anciennes .
Et est ce qu’ils sont assujettis à la TVA ?
Bonjour,
oui, il y a les recycleries et ressourceries, mais , effectivement, rien de comparable, car :
-Les objets mis en vente sont données par des particuliers qui s’en débarassent, ou parfois des entreprises qui liquident tout (et donc n’ont pas de prix de départ avant « marge » )
-Ces établissement ont des subventions (généralement basé sur le poid des objets ainsi recyclés, c’est pourquoi ils les pèsent)
-Ils me semblent pas que le prix de vente soit assujetti à la TVA (sur ce dernier point, il me semble seulement …)
dans ces conditions là, ça peut être rentable, même avec des objets à bas prix …mais c’est si différent du cas des dépôt ventes et des brocanteurs qu’aucune comparaison ne peut être faite !
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salut Sloup
Effectivement les vêtements sont " facturés " à l’ acheteur " au poids "
Ça m’ avait bigrement surpris la première fois où j’y ai acheté un vêtement 
Bonjour,
oui, c’est souvent au poids, un grand classique pour les fringues …
Ce qui surprend beaucoup plus, c’est quand ils vendent des lampes de radio au poids ! (déjà vu, mais une seule fois !)
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Encore un moyen de stigmatiser les obèses et les très grands en les défavorisant lors des achats en ressourcerie, les vêtements étant plus lourds.
Le Réseau National des Ressourceries et Recycleries est non assujetti à la TVA, les tarifs indiqués sont en Euros (€) net de TVA.