J’ai retravaillé le schéma selon la dernière hypothèse et j’ai isolé les différents circuits :
Pour le circuit de K2, cette connexion est surprenante :
J’ai retravaillé le schéma selon la dernière hypothèse et j’ai isolé les différents circuits :
Pour le circuit de K2, cette connexion est surprenante :
Ces appareils ont bien été commercialisés, celui de Times Telephoto, que j’avais, a utilisé un oscillateur à diapason sur 1800 Hz, qui a aussi entrainé le moteur. La synchronisation se faisant en appuyant un bouton, quand l’opérateur entendait le signal de synchronisation.
Outre ce fabricant, il y avait aussi encore Western Union, Muirhead, Dr. Hell, par exemple.
https://electronics.howstuffworks.com/gadgets/fax/history-of-fax.htm
https://electronics.howstuffworks.com/gadgets/fax/fax-machine.htm
http://www.hffax.de/html/hauptteil_faxhistory.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/Radiofacsimil%C3%A9
https://www.explainthatstuff.com/faxmachines.html
https://thefaxmachine.weebly.com/history.html
Le Hell n’est pas un appareil fax mais une sorte d’intermédiaire entre le télétype et le fax. Un site donne tous les détails :
Pour info en tant que radioamateur j’ai fait, avec des logiciels informatiques sur un ordinateur (donc pas avec des machines mécaniques), des liaisons en fax (norme identique au bélinographe) et en hellschreiber.
ce que je n’arrive pas a comprendre c’est le fonctionnement du contact B pour la synchro , mais comment cela peut il fonctionner avec 4 coupures réparties inegalement sue le cylindre ???
Outre ce fameux Hellschreiber très spécial, cette entreprise a aussi fabriqué des appareils fax, principalement utilisés en météorologie.
https://www.hell-kiel.de/de/hell-entwicklungen/53-nachrichtentechnik/faxgeraete
https://www.seefunknetz.de/bs114.htm
https://www.hell-kiel.de/de/hell-entwicklungen/nachrichtentechnik
Je devrais de nouveau avoir l’appareil entre mes mains ce soir, à l’aide d’un multimètre, je vais enfin essayer de lever le doute sur ce dernier points
Bon, je crois avoir résolu le dernier mystère !
J’ai relevé les différentes mesures qui manquaient :
R bobine K1 = 6R + 6R → 12R
R bobine K2 = 6.86K
Rh ~= 1R
T1 : Primaire = 358R / Secondaire = 4K (1.764K - PM - 2.2K)
-------->||<--------
1.8K >||<
-------->||< 368R
2.2K >||<
-------->||<--------
La connexion de mise en série des bobines de K1 était oxydé :
On retrouve d’ailleurs du bleu un peu partout, plus de doute possible sur la solution utilisée :
Certains contacts étaient oxydés, ce qui faussait les mesures de continuité :
Sur la partie contact à charbon (B), 4 plots étaient visibles. En réalité, 3 plots sont utilisés pour la fixation du cylindre et sont des pièces conductrices (tout comme le cylindre) et un seul plot est utilisé pour isoler le charbon du cylindre !
Quand le cylindre est en butée mécanique avec la lamelle de K1 (et donc, qu’il y a un contact électrique entre le cylindre et la lamelle de K1), le contact du charbon (B) se retrouve parfaitement isolé du cylindre !
Ce qui donne ce nouveau schéma, un peu plus logique :
J’ai aussi trouvé deux jolies triodes Gecovalve HL410 sur une épave de poste. C’est quand-même plus sympa comme ça !
Je pensais naïvement que c’était des équivalentes Philips A410, mais non. Ce sont plutôt des équivalentes Philips A425.
Je ne sais pas du tout si ça ferait l’affaire, les caractéristiques ne sont pas vraiment les mêmes, qu’en pensez-vous ?
Demain, je vais pouvoir m’amuser à faire quelques essais électriques
la je comprends un peu mieux la syncro
K1 colle en debut d’image et le charbon sert a la syncho de chaque debut de ligne mais il doit manquer un systeme comparant les tops de synchro ligne recus avec ceux données par le charbon
par contre il doit y avoir un systeme d’embrayage permettant de laisser tourner le moteur d’entrainement du tambour a vitesse constante
en effet un regulateur a boules du fait de son inertie est incapable de demarrer instantanement
ou alors les quelques premieres ligne de la photo sont inutilisées pour permettre au moteur de se lancer et atteindre la vitesse constante
encore un point a eclaicir
La synchronisation est différente de celle de la TV, où l’on synchronise chaque ligne et chaque image. En fax, la synchronisation se fait entre les images et elle doit être maintenue pile. Souvent même, on ne synchronise qu’après plusieurs images, en météorologie, par exemple. Le papier de déroule alors souvent d’un rouleau. Ben voui, l’oscillateur doit être très stable.
bien la avec un regulateur a boules de phono question stabilité on est mal parti …
je pense qu’il doit etre necessire de savoir quand commence la transmission d’image et un moyen de savoir si la synchro ne derive pas en cours de transmission ce qui donnerait une image trapézoidale
si non a quoi servirait le blocage du tambour et le top delivré pas le contact du charbon a chaque tour
il faut essayer de comprendre le systeme de l’appareil et pas le comparer a un belino moderne
Dans l’appareil que j’avais, le blocage du tambour n’avait lieu que lors de la synchronisation.
C’est certain ! La stabilité et la précision sont de rigueur. Une courte description d’une image météo est ici, par exemple:
bonjour,
je pense qu’en E on est un signal transmit par la ligne téléphonique « de cette époque » qui vient synchroniser
j’ai bien du mal a trouver sur le net le type de signal téléphonique de l’époque
on parle de lignes en croisements de lignes torsadées
au moment de la transmission de synchro "on joue sur les phases transmises ? "
c’est des suppositions
apparemment cela passait par radio
relire ce qui precede
Merci pour toute vos suggestions
Depuis le début du sujet, vous êtes plusieurs à me parler d’images météo. Je ne suis pas sur d’avoir bien compris le liens avec mon appareil, de cette époque ? Si ce n’est que le début de la télèphotograpie a permis, bien plus tard, le perfectionnement d’appareils permettant l’envoi d’images météo ?
Je suis sur qu’il y a beaucoup à dire sur dessus et qu’il mériterait l’ouverture d’un nouveau sujet de discussion sur le forum
(PS : le liens vers l’image ne fonctionne pas)
Concernant le mode de réception de ce belino, je crois que l’on peut définitivement écarter la téléphonie
Je vous envoie plus d’informations sur l’embrayage à patin (qui évite l’arrêt du moteur à chaque blocage) du cylindre dès que possible
Pour revenir à la réception téléphonique, dans le cas d’un bélinographe amateur, son principe c’était la réception par TSF, pour que le plus d’ « auditeurs amateurs » équipés d’un bélino puissent recevoir l’image.
Si l’on utilise une ligne téléphonique, la réception de l’image ne se limite qu’à une seul réception (cas d’un bélinographe pro).
Je me rends compte que je n’ai pas présenté la mécanique de l’appareil !
À gauche, le levier de bloquage du moteur ! À droite, la molette qui pousse un patin en feutrine contre la galette du régulateur, ce qui permet d’agir sur la vitesse
Et la petite vidéo du fonctionnement de l’embrayage du moteur :
À l’opposé de l’embrayage par patin en feutrine, le cylindre est fixé contre une bille. Une molette permet de faire appuis sur la bille par l’intermédiaire d’un ressort. Ce qui permet de régler le pression appliquée sur la bille et la sensibilité de l’embrayage
merci
effectivement le post 76 de Sébastien résume et il m’a complétement échappé je m’en excuse (en mon sens il devait fonctionné en téléphonie)
reste pour autant cette fameuse synchro
un top à l’émission d’une certaine amplitude et durée permettrait de chargé C2 en série avec relais 2 et de faire coller celui ci ?
C’est tout simplement que encore de nos jours des cartes météos sont transmissent pas radio avec le système du bélinographe. La seule différence c’est le vocabulaire; ce que l’on appelait le bélinographe s’appelle maintenant fax ou fac similé… mais c’est le même appareil seul le nom à changé.
Vous êtes sûr ? Même principe, pourquoi pas. Mais même protocole ? Mes souvenir (anciens) sur les protocoles des télécopieurs me font douter de cette affirmation (et en fait, je viens de regarder, les premières normalisations internationales dateraient de 1976).
Après, pour les satellites, je ne sais pas.
Les appareils fax de l’armée française des années 50 (donc avant 1976) sont, sauf erreur compatibles et ces appareils devaient être aux mêmes normes que ceux des années 30. C’est juste une question de vitesse (à la limite il faudra changer un pignon) et d’IOC. Sauf erreur, faudrait qu’un spécialiste confirme, l’IOC est le rapport entre la longueur du cylindre et son diamétre.