Doctsf (Modèles & Marques)
AnnoncesBonjour
Sur les conseils d’un internaute sur un autre site j’avais utilisé du sikaflex 11fc avec succès.
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Merci pour ces suggestions, je vais essayer de me procurer l’un de ces produits 
En attendant, je m’attelle à la fastidieuse tâche du relevé de schéma ! Pour ce faire j’ai sorti le châssis et ôté les tubes en prenant soin de bien noter leur emplacement. Voici un petit aperçu des entrailles…
Un chimique de filtrage semble avoir été remplacé, un peu à l’arrache (soudure sèche et lâche sur le point de masse)
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J’ai aussi répondu, qu’il convient d’arrondir tous les angles et supprimer les aspérités. C’est EN PLUS de l’isolement, qu’il faut le faire et non pas à la place.
Bonjour,
@Nuage j’avais bien pris note de l’information ne vous en faites pas 
Dans le relevé du schéma, j’ai été amené à ouvrir le bloc d’accord et à y jeter un oeil (en me gardant bien de toucher aux réglages !). Une petite question me vient concernant les fils blancs entrelacés et torsadés; s’agit-il d’une méthode de couplage spécialement pour les UHF/VHF ?
Bonjour à tous,
@Psychedeclic ,
Condensateur dit « queue de cochon » de quelques picoFarads obtenue en torsadant 2 fils isolés.
C’est donc voulu et surtout ne pas perturber, on est en VHF où chaque « pico » compte.
Cordialement
jhalphen
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non , c’ est ce que l’ on appelle un condensateur " queue de cochon " , donc de très faible capacité < 10pF , et au réglage, devant la courbe à l’écran du wobulateur , ça s’ ajustait en coupant bout par bout jusqu’à avoir la bonne valeur pour l’ accord de la bobine sur le canal souhaité .
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Oui, c’est bien ça.
Dans le rotacteur , ça pouvait aussi servir de capa de couplage entre deux circuits , ou de capacité de neutrodynage
barrette de TV Grammont " Van Dyck " de 1964
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Ingénieux système ! J’aime beaucoup l’idée !
Merci je peux compléter mon schéma !
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C’est du bricolage.
oui mais ingénieux quand même.
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monte , s’il y a la place de petits CV
et le responsable des couts du produit va t’expliquer la chose
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Sur les derniers rotacteurs à tubes de Philips, les barrettes étaient des circuits imprimés. On les mettait en place et ça marchait. Pas de réglages fastidieux avec de nombreux appareils de mesure. Encore un exemple de la maitrise de la technique par Philips. Les concurrents ne pouvaient qu’en rêver. Et le responsable des coûts était certainement aussi satisfait.
Bonjour,
Plus j’avance dans l’étude de ce récepteur, et dans la TV plus généralement, plus je suis « mordu » !
Décidément @totophe73 avait raison, la TV c’est addictif ! 
Questions du jour : A quoi correspondent exactement les canaux ? Le Watteau en possède 6.
Sachant qu’il n’y avait qu’une chaîne à l’époque (équivalent à un canal j’imagine), le reste des canaux correspond à des émetteurs locaux ? Dans ce cas, d’une région à une autre les réglages d’usine différent ? Barrettes interchangeables ?
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à cause de leur portées limitées, Il fallait plusieurs émetteurs pour "arroser " la France (comme en FM de nos jours). Pour éviter les interférences, il fallait que ces émetteurs soient sur des fréquences différentes (comme la TNT aujourd’hui). La bande VHF était donc divisée en "canaux " avec une bande passante de 11 MHz chacun (cette largeur était nécessaire à cause du 819 lignes).
Toujours pour éviter les interférences, ces canaux étaient "tête bêche " (supradynes et infradynes) entre les canaux pairs et impairs
Les rotacteurs étaient conçus pour accueillir plusieurs barrettes préréglées sur ces canaux
Pour en savoir plus : l’Histoire des émetteurs en France
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Bonjour à tous,
Bonjour @Psychedeclic ,
voici le plan des canaux/fréquences de la défunte Norme E (819 lignes) en VHF Bandes I et III :
tiré d’une doc de formation Rhode & Schwarz.
Dans les années 50, par économie, il n’y avait souvent qu’une barette correspondant au canal régional où le TV était vendu.
Plus tard, vers 1960, les rotacteurs étaient équipés de plusieurs « barettes », voire de toutes. Cela facilitait le changement de région sans etre obligé de visiter le revendeur pour acquérir la barette de la nouvelle région.
Cordialement
jhalphen
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Ce que tu appelles canaux sont le nombre de positions équipées de barrettes avec des bobinages dans le rotacteur ? (Que tu as photographié plus haut dans le sujet)
Ce que tu appelles « bloc d’accord » s’appelle sur ces anciens téléviseurs des années 50 et 60 le rotacteur. C’est est la « tête HF » du téléviseur qui contient l’amplificateur HF, souvent équipés d’une double triode et l’étage oscillateur-mélangeur équipé d’une triode pentode.
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Ci dessous un " rotacteur " de TV Grammont de 1964, sans ses deux lampes ni son câblage prenant place dessous de la platine
il était à 12 positions
le bouton du milieu ( absent sur ce rotacteur ) actionnait la commutation des barrettes de 1 à 12
la virole extérieure servait à l’ accord fin sur chaque canal . on voit dessous du " chassis " , les petits condensateurs variables qu ‹ elle actionnait, dont on pouvait d › ailleurs ajuster la position de la lame mobile sur l’ axe de rotation
Tout au début , à la mise service des premiers émetteurs , avec juste l’émetteur de Lille et celui de Paris , les TVs étaient monocanaux ( canal 8A )
puis avec le développement des émetteurs , on a eu des rotacteurs à 6 positions , puis à 12 .
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Un autre modèle , sans ses lampes également, mais avec son câblage, provenant de je ne sais quel TV , et sans ses barrettes .
il est conçu différemment ! au lieu d’ être montées de manière radiale , les barrettes étaient fixées sur la périphérie du tambour , à plat
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Merci pour ces éclaircissements ! Je comprends mieux à présent
Admettons que je veuille diffuser une vidéo sur le TV, il me faudra donc un modulateur vidéo VHF pouvant moduler sur une fréquence entre 26,3 et 175,15 MHz (d’après le doc de @jhalphen) pour diffuser sur au moins un canal du TV (en espérant que les canaux du Watteau correspondent bien aux canaux 1 à 6 des Bandes I et III) ?