J’ai le « e » facile, en ce moment C’est fait, j’ai enlevé mon e .
Un partout, balle au centre !
Bonjour,
C’étaient des moteurs série, du moins en 72… Avantage : 1 seul rhéostat de démarrage (la pédale d’accélérateur), et couple énorme dès le démarrage…
Ensuite (trolleybus ER100 Berliet en 1978), avaient des moteurs à excitation séparée qui permettaient de freiner électriquement… Plus compliquer à gérer : de 0 à 20 Km/h : tension d’excitation au maxi, et rhéostat (ou hacheur ensuite) sur le rotor, et au delà de 20 km/h, la tension d’excitation baisse progressivement pour donner de la vitesse…
Au freinage : alimentation de l’excitation, et la tension produite par le rotor (le moteur se comporte en dynamo), est envoyée dans les résistances du rhéostat de démarrage (ER100-R), ou élevée à 600V pour être renvoyer dans la ligne aérienne (récupération d’énergie sur les ER100-E).
Sur la 106 : pas certain qu’on récupérait l’énergie au freinage ? Compliqué électroniquement. Il semble que sur les TGV, on ne récupère pas l’énergie au freinage : compliqué de récupérer du courant continu du moteur se transformant en dynamo, et de l’élever en 25 000 Volts alternatifs, et de le synchroniser au réseau ! De plus les TGV sont bi-tensions 25KV AC / 1500V DC. Ca complique encore plus !!!
La 4L électrique … en 1972 … c’ est pas jeune , et sans doute avec des batteries " classiques " au plomb
Avec un arrêt sur image, on voit bien les batteries classiques de l’époque (au plomb) … La capacité du coffre est certes,
diminuée, mais c’est tout de même plus de 80 km d’autonomie sans électronique complexe, maintenant « imposée » ! ! !
Bonjour,
Le rhéostat de démarrage ce n’est quand même pas terrible. La récupération d’énergie au freinage, c’est quand même mieux…
Quant aux moteurs asynchrones triphasés utilisés aujourd’hui, leur maintenance est réduite au minimum, mais l’onduleur est complexe. Les moteurs série, avec un simple hâcheur, ou les moteurs à excitation séparée avaient l’avantage d’une électronique plus simple, avec les inconvénients du changement de charbons régulier…
Bonjour,
Bien sûr, il ne s’agit que d’une ‹ critique › sur l’état actuel des choses « imposées » par des façons de « croire » aux « miracles » …
Le changement des charbons est grandement simple tout de même et beaucoup moins onéreux que le temps à passer pour trouver la panne dans les « engins » actuellement proposés ! ! !
On va toujours vers des principes « shadocks » totalement à côté de la plaque . . . sans le vouloir et surtout sans réfléchir au coût du SAV ! ! !
Et on nomme ça « technologie » alors que ce n’est qu’une « technique » différente (américanisation subie également pour « se faire mousser »).
Le vieux Tryphon
Une anécdote :
Lorsque je suis allé faire réviser ma dacia (essence) chez Renault : un type qui vient chercher un devis de réparation de sa Zoé : « Moteur cassé, à changer », une somme considérable. Le type dit au garagiste :" mais une flotte de Zoé dans mon entreprise, et c’est la 2ème ! ". Le garagiste répond : « Ah monsieur, changer le moteur, c’est une question de sécurité !! ».
Quand j’ avais 20 ans , le patron garagiste déjà âgé et proche de la retraite , génération des mes gds parents , qui m’ avait vendu ma dauphine d’ occase , me disait déjà " ceux qui conçoivent les voitures ne sont pas ceux qui les réparent " !
Et à l’ époque on savait encore " réparer " ; désosser un moteur , changer les segments après avoir sorti les pistons , roder des sièges de soupapes, passer une culasse au marbre , etc , etc , et ouvrir une dynamo ou un démarreur pour nettoyer et rectifier le collecteur , et changer les charbons , rectifier les tambours de freins , changer les " garnitures " Férodo " sur les machoires , ! etc , etc
Je suis passé vendredi chez le concessionnaire Citroën qui m’avait fait un devis délirant alors qu’il suffisait de changer une carte (un composant à 30€ pour moi, tout refonctionne), en leur disant bien fort devant les quelques clients qu’il y avait qu’ils vendaient des voitures mais qu’ils ne savaient pas les réparer. Mais bon, ils s’en foutent, tant que les clients achètent les yeux fermés.
Bonjour,
Déjà vu ça à Lyon sur les trolleybus Berliet ER100-R (à rhéostat, 1978), et Renault ER100-H (électronique hâcheur, 1980).
Sur les Berliet, pour faire des économies, on avait récupéré les vieux moteurs des années 50 des VA3B2, simples de maintenance. Les ER100-H avaient été achetés avec leurs moteurs à excitation séparée CEM-Oerlikon.
Et bien on a jeté les ER100H en premier, alors qu’on a gardé les vieux ER100R pour rénovation…
Mauvaise formation des personnels d’entretien sur les moteurs CEM…
Bien cordialement.
Rouler en crabe ?
https://www.futura-sciences.com/tech/act…d5email%23
Je trouve ça rassurant, il ne reste plus, qu’à espérer, que la même protection, puisse exister pour les automobiles !
On va bientôt ressortir l’amiante ?
Bonjour,
quand on voit sur youtube ou autres des voitures ou des bus en feu à cause des batteries, je ne vois pas quelle sacoche pourrait retenir les flammes !
+1
et le lien http://www.mobiltv.fr/ ne marche pas pour moi.
Ca me fais penser aux gadgets bidon « anti ondes » et a ceux qui se remplissent les poches avec.
Comme sac de transport pourquoi pas.
Croire qu’il suffirait de mettre dans un sac magique, une batterie qui commence à bruler, et que cela pourrait arrêter l’incendie, je n’y crois pas une seconde.
Moi non plus, et, c’est bien pour cela, que j’ai montré cet article. ! Comme quoi, le risque vrai ou faux , les risque , finit par rapporter a quelqu’un !
Après Sibeth et ses masques, voici Agnès et sa voiture électrique…
Essayez de voir la video jusqu’à la fin, sans rire. .
Il s’agit ici de Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition écologique… …
Encore elle ! Faut lui ouvrir un compte chez retrotechnique.org.
Bon, j’ai au moins appris qu’on pouvait avoir des voitures électriques avec des batteries électriques. Je suppose que les autres, elles ont un long fil qui courre jusqu’à la maison. Ou alors, peut être un caténaire ? Faudra que je lui demande.
non comme les auto tamponneuse un filet metallique tendu au dessus de la route et une perche contact