Nouvelle unité de surface : le terrain de foot

Et pour pousser le vice: 0°C température de solidification de l’eau, 100°C température d’ébullition. Et comme les anglais ne mangent pas sans sel, ils ont utilisé le degré Fahrenheit :frog: encore utilisé en Amérique du Nord 0°F = température de gel de l’eau + sel d’ammonium

Et bien, je ne pensais pas que mon post susciterait autant d’intérêt.

Mais en effet, il y a matière à discuter bien au delà de ce que j’ai écrit :slight_smile:

Vos interventions sont de bonne valeur (de mon point de vue), je n’avais pas pensé à tout çà.

Continuez, c’est très instructif, vraiment. Merci à tous.

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Bonjour,

on pourrais faire un parallèle avec les unitées photométriques (celle servant a mesurer la lumière, notamment celle émise par les lampes d’éclairage domestique !)

Actuellement c’est normalisé, on parle de lumens et de candelas(et ces unitées valent la même chose partout) mais avant …On parlais en bougies (avec les valeurs usuelles de 10, 16, 25, 32, ou 50bg en éclairage domestique) pour pouvoir comparer la lumière émise par ces lampes avec celle d’une bougie, objet bien connu dans un ménage, surtout quant on avais pas encore la lumière électrique… (avec généralement et pour les lampes a incandescence a filament de tungstène,1W par bougie, ou 1/2W par bougie …)
Sauf qu’on ne prenais pas toujours « les mêmes bougies » comme étalon ! Il y a eu la « bougie Hefner » , la « bougie Violle » , la « bougie universelle » (de quoi s’y perdre ! ou se faire berner ! )

Ensuite, on a voulu simplifier, en ne précisant plus ces unitées photométriques, mais simplement la puissance absorbée en watts (avec généralement les valeur standards de 25, 40, 60, 75, 100, et 150W en éclairage domestique, les « ampoules » usuelles …et en tablant sur 10 lumens par watt)
Mais c’étais encore imparfait, on donnais la puissance absorbée, et le rendement de ces lampes variais selons divers facteurs (les fabricants, la tension du réseau …)

Il n’ y a que assez récemment, avec les LFC et les LED, qu’on chiffre la lumière émise, en lumens ou en candelas , normalisés, sauf que le citoyen lambda n’est pas du tout familiarisé avec ces unités ! et que c’est souvent très mal expliqué (et parfois carrément faux) , tant à l’école que sur l’emballage des lampes
(Avec, trop souvent, des ménagères perplexes devant un étalage de lampes d’éclairage domestique dite vulgairement et à tort « ampoules » …)

Il y avais un topic dédié a ces lampes et ces unitées sur le forum, je ne sais plus ou !?

sloup

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celui la ,?

Bonjour,

non, pas celui là !
C’étais un topics « plus récent » (quoique datant de plusieurs mois) sur l’électricité et l’éclairage d’une époque bien plus ancienne, dans la campagne (1925…1950 en gros)

Bonjour,

oui, c’est celui là ! Et bonnes lectures aux autres intervenants qui le découvrirons …

sloup

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Tu as oublié les 200 W :wink: j’en ai :slight_smile:

Bonjour,

oui, les 200W , mais c’étais déjà de « grosses ampoules » putôt dédié a de petits usages industriels qu’a de l’éclairage domestique !
(ces 200W étais généralement employé pour éclairer des établis et des machines dans des ateliers de mécanique ou de menuiserie …)

Les puissances usuelles supérieures des lampes a incandescence étaient 200, 300, 500, 750 et 1000W (industrie, ateliers, hangar) 1500, 2000,3000,5000, 6000, et 10 000W (éclairage scénique, phares maritimes, grands espaces en plein air )

Les modèles supérieurs à 3000W étaient rarement employés, a ces échelles là, on préférais recourir a des lampes a arc, malgré leurs défauts (lumière crue, bruit, usure des électrodes …)

@slouptoouut
Je me souviens que sur l’ex RN43, désormais déclassée D943, il y avait un éclairage particulier tout le long du contournement de Lillers. Des lampes assez longue au temps de chauffe très long. Elles s’allumaient rouge vif pendant un long moment avant de virer petit a petit vers le jaune. C’était des lampes à décharge sodium ? Tous ça a été remplacé depuis plusieurs années…

J’avais ça aussi au gymnase de l’école (années 60…). Il fallait les allumer 20mn avant l’heure de cours de gym. Et quand on oubliait c’était la galère.
Il y a quand même eu de bons progrès, dans le lot…

Oui c’est ça. La RN 43 a été construite par de Gaulle.

c’etait des sodium haute pression
lampes longues a monter en rendement elles commençaient a fonctionner comme des lampes sodium rouge vif , puis la pression interne du tube montait graduellement ainsi que le rendement et l’emission de lumiere se calait sur la raie jaune du sodium.
le défaut si on éteignait la lampe il fallait attendre une vingtaine de minutes avant de pouvoir la rallumer car le ballast classique ( le pas cher) a transfo était incapable de fournir la tension très élevée nécessaire a son ré allumage sous pression

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Bonjour,

On s’égare un peu, mais c’est intéressant !

Il y a visiblement confusion de @Radiolo entre lampes basses pression et haute pression !
(j’espère qu’il ne m’en voudra pas et me tombera pas dessus a bras raccourci ! et j’espère aussi que ce topic ne partira pas en sucette !)

on trouve (ou trouvais) deux sortes de lampes a décharge au sodium:
-Celle a basse pression , elle sont d’une grande longueur, et éclairent rouge vif au démarrage : leur rendement est excellent mais le temps de chauffe est très long, environ 20 min !
(Elles étaient très utilisées en éclairage routier)
-Celle à haute pression, elle sont plus courtes, et éclairent d’une lumière blanchâtre puis d’un jaune orange sale au démarrage : leur rendement est la aussi excellent , le temps de chauffe est moins long, environ 5 à 7 min
(Utilisées en éclairage routier, ou horticole, et prisé de certains amateurs pour cultiver de la beuh …)

Les deux nécessitent une haute tension à l’allummage, généralement de 2 à 5 kV a froid (aisément obtenue avec un ballast classique a prise intermédiaire, fonctionnant en autotransfo élévateur par décharge capacitive d’un condo dans la portion BT de l’enroulement , pour délivrer la H.T requise)

A chaud, la H.T nécessaire devient de 20 à 40 kV (Seul des dispositifs électronique, ressemblant a l’étage lignes et THT des TV couleur à TRC , peuvent délivrer de telles tensions ! On ne les utilisent pas en éclairage public, trop compliqué et trop couteux …Et on préfère être quitte a attendre 20 min avant réallummage !

certaines (rares) lampes au sodium, dite « plug-in » ou « compatible » mercure, ont leur dispositif d’amorcage intégré a l’intérieur de l’ampoule, et s’utilise avec une simple self en série , pour remplacer les lampes au mercure sans modifier l’installation(ces lampes ont été retiré du marché car d’un rendement moins bon, et posant des problèmes de fiabilité de l’amorceur interne )

toutes ces lampes sont en voie de disparaitre, détroné par celles à LED …

sloup

Il faudrait changer le titre :
Nouvelle unite de surface : le terrain de foot pour jouer en nocturne.
:yum:

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J’aurais bien aimé le voir… avec une pelle et une pioche ! :upside_down_face:

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Tu veux dire Abraraccourcix!

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Personnellement, je ne trouve pas que les savants sont « tordus »!

Tu mélanges des pommes et des poires: le kilogramme est une unité de masse, tandis que le décimètre cube est une unité de volume et le litre est désignation particulière du décimètre cube!

Ne pas confondre le kilogramme (kg, unité de masse) avec le kilogramme force (kgf) qui est une unité de force (et donc aussi de poids) d’un ancien système d’unités qui n’est plus utilisé (celui dans lequel on exprimait les pressions en kgf/cm²)!

Oui, mais pour être tout à fait juste, il faut préciser « à la pression atmosphérique normale » qui vaut 101325 Pa (1 pascal = 1N/m²). Parce que si tu vas au sommet du Mont Blanc, où la pression atmosphérique est inférieure à 101325 Pa, faire bouillir de l’eau, l’ébullition se produira à une température inférieure à 100° Celsius.

bonjour,
on a aussi oublié la surface en nombre de PISCINE OLYMPIQUE :grin:

Et de court de tennis.

A +.